Marie Bascule Dans La Perversité

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Bbw

Marie avait cours à la fac de 10 à 12h ce mercredi matin. Il s’agissait en réalité d’une option qui ne l’enchantait guère, mais essentielle à son cursus. En se préparant, elle se dit qu’elle pourrait faire jalouser un peu Steve en s’habillant sexy. En effet, depuis la dernière fois, Marie adore embêter son copain sur ce domaine en ne l’autorisant à la toucher que dans de très rares cas. Elle s’amuse à lui dire que “l’on ne touche qu’avec les yeux…” faisant enrager Steve. Toutefois, il n’est pas le seul à voir sa libido grandir, car Marie n’a également pas de nouvelles d’Efia ni de Farida pour calmer sa petite chatte… car plus question que Steve la touche!

Ce matin, elle enfile alors ses bas noirs, un porte-jarretelle rouge écarlate, un string noir et un soutient gorge noir push up. Ce dernier lui fait gonfler sa poitrine, tellement que l’on pourrait penser qu’elle n’est pas naturelle. Un chemisier blanc et une jupe s’arrêtant juste en dessous de la lisière des jarretières complète le tableau. S’équipant de ses talons hauts, elle saute dans la voiture pour rejoindre la fac.

Comme à son habitude, elle se gare à sa place dans l’immense parking qui est toujours désert. Celui-ci est placé de tel manière à être à l’abri des regards, et bon nombre d’étudiantes se font sautées dans leurs voitures pendant les heures de pause. Elle descend, puis remonte sa jupe pour prendre une photo de ses bas et l’envoie à Steve pour l’agacer avant d’aller à son cours.

Steve est encore au lit quand il reçoit le SMS avec le cliché de sa copine. Ce dernier n’en croit pas ses yeux, et sa queue commence à gonfler immédiatement lorsqu’il s’aperçoit que Marie est à la fac dans cette tenue. Il se dit qu’elle va encore se faire avoinée son petit cul par les deux furies de l’autre fois. Ou bien se faire prendre par un autre mâle qui aurait vu ce qu’elle porte. Mais, le malheureux ne peut pas se faire plaisir car il a promis aux filles de ne pas se branler… Il part donc à la douche pour faire retomber sa petite chose.

Marie ressort à 12h05 de la fac et rejoint sa voiture. Elle pense voir Steve afin de lui faire profiter de sa tenue, le titiller un peu. Elle enclenche la marche arrière, et entend trop tard le coup de klaxonne! Paf! Sa voiture est emboutie par une autre qui venait d’arriver derrière! Elle sort pour voir les dégâts, ses talons claquent sur le béton froid, et s’aperçoit que dans la voiture il y a Efia et un black. Cette dernière sort:

-Oh mais c’est ma soumise! Regarde ce que t’a fait pétasse! Une voiture toute neuve!

En même temps l’homme sort également et ne comprend pas vraiment:

-Vous auriez pu faire attention tout de même…

-Ne t’inquiète pas mon choux, je la connais cette garce…elle va nous dédommager!

-Ah bon? Comment ça?

-Oh non pas vous… il faut faire un constat, j’en ai un, il n’y a pas de problème, dit Marie.

-Je me fous de ton constat ma belle, dit Efia, tu vas regretter de pas nous avoir vu!

-Mais qu’est ce qui se passe, pourquoi tu lui parle comme ça?

-Avec mademoiselle on a eu une petite discussion dans les toilettes la semaine dernière, et elle s’est montrée très coopérative avec moi et Farida.

-En disant cela, le black comprit exactement vers quoi faisait référence Efia. D’un geste il se précipita vers Marie pour lui attraper les mains et les attacher derrière son dos mersin escort avec sa ceinture.

-Mais!!! Oh non ça va pas recommencer! Que faites-vous!!?

-Tu voulais me revoir, non? Et bien voilà, on va te donner une bonne leçon et tu vas pouvoir te faire une idée d’une vraie queue! dit Efia.

-Tient regarde ce que je fais de ton constat ma belle! Le black prend la feuille et la déchire.

Marie se débat de toute ses forces, mais rien n’y fait. Elle est trop faible. Toutefois, elle réussi à mettre un coup de talon dans le pied du black, ce qui pour réponse une bonne fessée. Efia, voyant ça, lui enleva sa jupe pour permettre à son copain de claquer un peu plus fort les petites fesses de Marie.

-Oh!! Non!! Mon petit cul est tout rouge!! Aiiieee! Mais ça va pas??

En répondant elle se prit deux gifles de la part d’Efia pour lui remettre les idées en place.

Efia et son copain s’amusent alors à lui claquer le cul, puis les choses sérieuses commencent. Elle voit la cravache de Marie qui est sur la banquette arrière, puis la prend avant d’asséner quelques coups sur le cul blanc de Marie. Efia, ne s’arrête pas là, prend du recul et vise la minette de Marie, ce qui a pour effet de la faire gueuler encore plus fort.

En voyant la bosse dans le pantalon de son chéri Efia, lui dit de sortir sa bite pendant qu’elle s’occupe de la petite chatte de Marie.

-Sort ton monstre mon choux et montre lui qui est le patron!

-Pas de problème! En la sortant, Marie s’aperçoit qu’il s’agit d’un véritable engin. 26 cm de chair noire bien dressée! En accompagnant le geste, il fit ouvrir la bouche à Marie pour se faire sucer.

-Oh mais je ne vais pas pouvoir tout prendre dans ma petite bouche!

-Mais si salope, ouvre bien grand! Répond le black en s’enfonçant.

-Mmmpfffff! Marie prend tout d’un coup, puis s’habitue et joue de sa langue le long de la hampe du gland.

Pendant ce temps-là, Efia retire le string de Marie et s’attarde à son petit minou. Celui-ci semble particulière excité par la situation. Marie coule littéralement au contraire de ses dires… Efia engage directement trois doigt dans ce vagin bien lubrifié.

Marie, campée sur ces talons haut, courbée vers l’avant pour sucer le black se fait doigter en même temps. Elle commence à gémir sous le traitement d’Efia, qui s’amuse à s’enfoncer de plus en plus loin. Elle glisse une main et n’arrête pas les vas et vient de sorte à faire hurler Marie. Elle n’oublie pas son petit clito qui émerge sous l’effet. Efia, le prend, le tourne, le pince, le fait rouler tel une petite bille. Elle récupère le constat qui était tombé, le met en boule et l’enfonce dans la chatte de Marie.

-Ahhhh!!!! Mais qu’est ce que c’est???

-C’est ton constat pétasse! Maintenant tu la dans la minette!

Le papier est méconnaissable, si bien que Efia le retire ou du moins ce qu’il en reste. Elle le remplace par la cravache et contraint Marie à le garder en elle. Puis Efia branle le minou au moyen de la poignée.

Marie n’en peut plus, elle veut qu’on la prenne sur le champ! Le black abandonne son poste, pousse Efia, plaque Marie le long de sa voiture et s’enfonce sans protection dans sa chatte. Les 26 cm ont bien du mal à passer. La queue du black s’avance dans ce minou étroit.

-Alors ma belle, dit Efia, on ressent ce que c’est qu’un muğla escort vrai mâle?! Tu a l’air d’aimer ça? Attend je te libère ça sera plus pratique.

Marie prend alors position en levrette sur l’aile avant gauche de sa voiture, sa jambe droite prenant appui sur celle-ci pour mieux ressentir les vas-et-viens du black. Efia, lui déboutonne son chemisier, et lui sort ses gros seins. Ces tétons sont tout tendus. Ils sont si long et tout rouge de cette excitation. Faut dire, que c’est la deuxième queue qu’elle voit! Efia joue alors avec ces bouts et arrive à glisser une main sur son clito.

-Ohh oui! Vas-y prend moi salaud de black! Que c’est bon de se faire fourrer comme ça!

-T’aime ça ma grande? Regarde t’est habillée comme une pute, normal que je te défouraille comme telle! Et regarde tes nichons, ils dansent bien sous mes coups de rein! En disant ça, le black lui assène quelques gifles piles sur les tétons.

-Ohh mais met la moi plus profond! J’ai envie d’être une salope à black! Je me suis faite avoinée comme une garce par deux salopes étrangères et là je me fait démonter par une énorme queue!

-Et en plus tu es une petite raciste? Tient prend ça! Le black lui claque le cul en même temps qu’il la besogne. La cyprine coule à flot, si bien qu’elle retombe sur le haut des bas de Marie.

Efia, de son coté, s’est placée sur le capot de telle manière à se faire manger son minou noir par Marie.

-Tient la garce, tu a du travail pour ta bouche de gueuleuse! Lèche bien toute ma mouille et fait moi jouir, j’en ai bien besoin avec tout ça!

-Oui maitresse!

Sous les coups du black, les talons de Marie claquent sur le sol, sa chatte englobe tous les 26 cm de chair! Le copain d’Efia en a marre de la position, se retire et met Marie en missionnaire sur le capot, les jambes sur ses épaules. Efia de son coté s’assoit directement sur la bouche de Marie. Celle-ci n’arrête pas de jouir sous les assaut de cette queue vigoureuse. Efia, joui a son tour, manquant d’asphyxier Marie par sa cyprine. Elle se tourne et joue avec les gros seins de Marie. Elle lui pince les tétons, lui mordille, ce qui a pour effet de la faire jouir de plus belle!

Toutefois, dans cette position, Marie vient de s’apercevoir que le black n’a pas mis de protection!

-Ohhh non! T’a pas mis de capote??!! Je ne prend pas la pilule! Ne fais pas en moi je t’en supplie!!!

-Chuttt ne t’en fais pas ma belle, cela fait partie du jeu! Mon copain adore engrosser des salopes blanches comme toi! Imagine toi avec des seins énormes, ça sera merveilleux! Rigole Efia devant l’inquiétude de Marie.

-Oh s’il vous plait! Implore Marie.

En disant ça, le black est encore plus excité que jamais! Il laboure Marie, qui malgré cette nouvelle joui! Son clito est sorti et est devenu tout rouge. De la mouille coule sur l’aile et le capot!

-RAHHHHH!!! S’exclame le black en jouissant une quantité gigantesque de foutre dans la petite chatte de Marie.

-Ohh ouiii!!! Se prend à dire Marie. Que c’est bon ce sperme chaud! Mais mais, il y en a combien???!!! Ça ne s’arrête pas????!

-Oh beaucoup ma belle, tu n’est pas habituée à ça, pas vrai?

-Oui, ça coule de ma minette, j’en ai plein les bas…

Efia et le black se remettent un peu et laisse Marie reprendre ses esprits.

Celle-ci reboutonne son chemisier; nevşehir escort remet son string et sa jupe. Le couple lui dit:

– Vivement la prochaine fois que l’on se croise ma belle, et il faudrait que ton copain soit là pour rencontrer le mien!

-Oui maitresse, fait Marie.

Marie voit le couple partir, et regarde l’heure: 14h et 5 SMS de Steve. Elle se met au volant et part chez lui. Durant le trajet, son minou n’arrête pas de refouler la quantité de foutre, en badigeonnant les bas et traversant son string en dentelle. Elle arrive enfin chez Steve qui l’accueille.

-Mais qu’est-ce qui se passe?

-Ah ton avis mon chat? J’ai revu Efia et son charmant copain, qui est aussi noir qu’elle.

-Ils t’ont fait quelque chose?? Demande inquiet Steve.

-Que du bien! Ils ont corrigé ma vilaine petite chatte et il lui a fait le plein, tu veux voir? Marie enlève son haut et sa jupe.

-Mais c’est quoi ça? C’est tout gluant??

-Ça s’appelle du sperme mon grand, et oui il y a beaucoup…

-Il aurait pu mettre une capote, et tu ne prend pas la pilule en plus…

-Oh oui, mais c’est meilleur sans ce bout de plastique. Et j’adore sentir couler ce liquide chaud entre mes cuisses… Oh mais tu es tout dur je vois!! Viens on va s’amuser un peu.

Ni tenant plus Steve suit Marie jusqu’à la chambre. Elle exagère sa démarche, en ondulant du bassin, si bien que des gouttes tombent pas terre…

-Oh, mon chéri, il faut nettoyer ça…

-Tu ne pense pas à que je puisse…

-Si, avec la langue..

Steve s’exécute, et lèche.

-Tu aimes ça?

-C’est salé…

-Aller vient et déshabille toi!

Nu, Steve bande à mort. Il n’a jamais vu sa queue comme ça.

-Ouuuh et bien mon chat, me faire sauter par une grosse bite de noir te fait de l’effet! Surtout qu’elle m’a bien remplie… En disant ça, Marie porte les restes de jus à sa bouche.

-Oh oui, j’ai envie de toi!

-D’accord, mais avant lèche moi!

-Oh non, y en partout…

-Dépêche toi, car je risque de tomber enceinte…

Devant ce risque Steve s’exécute, lèche bien tout et excite le clito endolori pour le plaisir de Marie.

-Vas-y mon grand prend moi! En disant cela, Marie pense bien qu’elle ne va rien sentir après le passage du black…

Steve présente son sexe devant l’entrée encore suintant de sperme. Il prend Marie en levrette, fait quelques vas et viens, puis lui fait remarquer:

-C’est bizarre je ne te sens pas comme avant ma chérie…

-Oui, c’est vrai mon chat… Peut être parce que je me suis fait mettre par une chose de 26 cm de long?

-Quoi? 26? Mais la mienne ne fait que..

-Que 14 mon grand, je sais bien… Alors termine vite ton petit besoin, car je commence à m’ennuyer dans cette position.

Steve s’évertue à prendre Marie, mais rien ni fait, il nage complétement dans son vagin distendu et ne fait refouler le sperme du black vers le fond…

-Aller retire toi mon chéri, je vais te finir, c’est pas grave…

-Mais…tente de répliquer Steve.

-Mais quoi? tu ne veux pas que je te vide?

-Si si!!

-Alors laisse moi faire.. Ça te dirait de savoir comment l’autre me la mise profond et comment Efia à fait de moi sa chienne?

-Oh oui!!

En à peine deux minutes, Marie fait jouir Steve.

-Oh c’est tout mon chat? Que trois gouttes? Je penserai qu’il y en aurait plus dans tes petites couilles?

-Ben c’est normal là non?

-Oui oui, pour la taille c’est normal…

Pendant ce temps, Efia raconte comme Marie s’est fait mettre par son copain à Farida. Ces deux garces ont quelques idées derrière la tête pour le couple.

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Hobie 2 La jolie procureur esclave

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Blonde

Hobie 2 – La jolie procureur esclave de ses sens

Pretty Pimped Prosecutor

Coulybaca / Black Demon

Cette histoire peut se lire seule

mais c’est aussi la suite de Hobie Ch 1 la revanche de l’innocent injus-tement condamné (Con’s revenge II)

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Sharon ne parvenait pas à se concentrer sur l’affaire jugée, elle laissa véritablement passer l’opportunité de faire condamner le malfaiteur à de nombreuses années d’emprisonnement.

La paire de yeux sournois qu’elle sentait dans son dos l’affolait tant qu’elle balbutia pendant le contre interrogatoire.

Elle était si affolée qu’elle prétexta une forte migraine pour se faire rem-placer pour la fin de la séance.

L’inexpérience de son collègue et son irréflexion amena le jury à dis-culper le prévenu en dépit des preuves accumulées contre lui

Assis dans le public, se marrant à la vue de la représentante du ministère publique secouée par sa présence, Hobie lui adressa un large sourire lorsqu’elle leva les yeux sur lui.

Il savait que sa présence la faisait trembler, qu’elle se rappelait forcé-ment les circonstances de leur dernière rencontre.

Etant le seul, avec elle à en connaître les tenants, il se caressait effron-tément se réjouissant de la voir écarquiller des yeux terrifiés.

– “Hey oui l’adorable madame Sharon Hicks perd tous ses moyens en ma présence …” se réjouit Hobie.

Se tortillant sur son siège, Sharon revoyait des images de cet effroyable cauchemar qu’elle avait enduré quelques mois plus tôt.

Ce démoniaque ex-détenu avait tiré une effroyable vengeance de sa condamnation quelques années plus tôt.

Sharon ne l’avait pas reconnu la première fois qu’il avait pris place dans le public après sa libération, puis elle s’était étonnée de le voir suivre une session entière, ignorant qu’en fait il prenait bonne note de son train-train quotidien.

Son corps tout entier était traversé de frissons de peur, elle frémissait se rappelant l’épisode de sa dernière visite à la prison.

Sharon savait depuis ce jour que l’ex-détenu la considérait comme un belle pièce de viande qu’il comptait utiliser selon sa volonté.

C’est sur sa chair qu’avait portée sa vengeance, elle avait été violée par des dizaines de détenus qui l’avaient partouzées dans une salle de ré-union.

Des images de cet ignoble gang bang la hantaient encore maintenant, elle revoyait souvent avec quelle sauvagerie elle avait été violée dans cette prison.

Elle avait déjà lu des compte rendus de viol et entendus des victimes ra-conter leur révoltante épreuve, jusqu’à ce jour fatal où elle avait été elle même la victime d’un ignoble viol en collectivité

Ca avait été d’autant plus pénible que non seulement elle avait du satisfaire la lubricité de solitaires qui se succédaient en elle mais qu’elle dut en satisfaire plusieurs à la fois..

Un mois plus tard, alors qu’elle commençait à récupérer de cette ignoble épreuve, l’homme dans son dos avait frappé à sa porte alors que son mari venait de partir à la pêche.

Sous la menace de voir de le voir mettre en circulation des photos d’elle violée par une foule de noirs, Sharon l’avait laissé rentrer à contrecoeur chez elle l’admettant dans l’intimité de sa chambre qu’elle ne partageait qu’avec son tendre époux.

Ca avait été une épreuve cauchemardesque que Sharon s’était imposée de subir croyant ainsi apaiser les ressentiments de Hobie.

Elle s’était tout d’abord dévêtue lentement eu centre de sa chambre, tout au long de cette première épreuve, elle avait sangloté de honte, puis elle avait du s’étendre sur le lit qu’elle partageait habituellement avec son tendre époux, puis elle s’était masturbée selon les ordres de son maître chanteur.

Sharon revivait un à un les horribles détails de cette journée infâme, allongée totalement nue dans le lit conjugal, l’ex-détenu lui avait fait su-bir de multiples avanies.

Elle avait tout d’abord du s’exciter elle même, se caressant les tétons jusqu’à les faire darder, puis elle s’était manipulée le clitoris jusqu’au moment où un flot de secrétions poissa sa chatte.

Sharon ne se figurait pas encore à quel point sa vie était changée depuis ce sinistre jour à la prison.

Et maintenant, à l’âge de 27 ans elle était à l’entière merci d’un pervers qui adorait la voir se tortiller de peur devant lui.

Elle avait été si gênée de devoir écarter les cuisses l’humiliant encore en l’obligeant a lui demander dire qu’elle voulait qu’il fasse avec elle, com-ment il devait l’utiliser.

Elle s’était doigtée cuisses grandes écartées, elle avait du lui complaire en balbutiant :

– “Je vous en prie … S’il vous plait …… Mettez votre grosse queue noire dans ma petite chatte ….. Videz vous les couilles dans ma foufoune … Baisez moi comme une pute! …..

Elle se rappelait alors comment il lui avait agrippé les chevilles, relevant haut ses jambes, orteils pointés vers le plafond, alors qu’il grimpait dans le lit la pénétrant brutalement diyarbakır escort sans aucun préliminaire.

Lorsque son l’épreuve s’acheva ce jour là, Sharon ne put que sangloter mesurant son malheur.

Même si elle se disait qu’elle n’avait d’autre choix possible que de complaire à son maître chanteur, elle se sentait si coupable d’avoir répondu à ses assauts luxurieux.

– “Pourquoi? …. Pourquoi est ce que je me plie si facilement à ses ordres? ….. Pourquoi est ce que je jouis comme jamais auparavant? …. Et en plus c’est moi qui l’ait supplié de se vider les couilles dans ma foufoune! ……” sanglotait-elle accablée.

Les choses empirèrent encore lorsqu’elle découvrit qu’elle avait été en-grossée lors de la partouze à la prison.

Elle avait été violée par des détenus qu’elle avait grand plaisir à faire en-fermer derrière les grilles.

Ils lui avaient rendu la monnaie de sa pièce, sans une once de miséricorde ils l’avaient violée sauvagement dans tous ses trous, déterminés à humilier cette femme responsable de leur incarcération.

La savoir enceinte à l’issue de son ignoble viol était la cerise sur le gâ-teau.

A l’encontre de sa religion et de ses convictions intimes, elle changea d’opinion à 180 degrés.

Elle ne pouvait pas accoucher d’un bébé conçu de cette manière alors qu’il était le fruit d’un viol perpétré dans la haine et le stupre.

De plus, qu’aurait dit son mari si elle avait donné naissance à un bébé qui ne serait pas le sien ce qui serait évident avec les antécédents noirs de ses géniteurs.

Son mari absent pour un voyage d’affaires programmé à l’avance, Sharon en avait profité un paire de journées de maladie avant le week-end, cela devait lui permettre de se faire avorter en clinique tout en se ménageant le temps adéquat pour une récupération optimum.

Elle se sentait si coupable de programmer cet avortement, sachant que cela allait totalement à l’encontre de ses convictions religieuses, et qu’elle n’avait parlé à son époux ni de son viol, ni de sa grossesse.

La procédure s’était tenue dans une clinique privée et Sharon récupéra extrêmement vite du moins physiquement sinon moralement.

Elle ne parvenait pas à dépasser ce sentiment de culpabilité de s’être fait violer et d’avoir vu sa vie ravagée par une bande de détenus noirs, qui l’avaient engrossé ce qui l’avait ensuite obligée à avorter pour cacher à son mari l’horrible vérité.

Et, quand elle pensait au dernier épisode avec l’ex-détenu dans sa chambre, elle frissonnait en serrant les cuisses l’une contre l’autre.

– “Que ferai-je si … Que ferai je la prochaine fois qu’il me contactera? …” se demandait-elle anxieusement.

Elle savait qu’elle ne pouvait que lui obéir lorsque le pervers maître chanteur exigerait de nouvelles choses d’elle.

Ses yeux se remplirent de larmes, elle devait serrer les cuisses pour en-diguer le flot de cyprine secrétait soudainement par ses glandes excitées par ses pensées lubriques.

Respirant avec difficulté, tétons dardés, une nouvelle Sharon dérapait, empruntant le chemin du plaisir sexuel. Ce n’était plus un sentiment de peur, mais bel et bien une excitation anticipée.

En emmenant du travail à son domicile ce samedi, elle se réjouissait d’attendre un coup de fil de David, sa voix avait le pouvoir de la réconfor-ter.

Il l’appela tôt l’informant qu’il avait un repas d’affaire ce soir et qu’il ren-trerait certainement très tard.

Alors qu’elle reposait le téléphone, Sharon souhaitait que son mari pose-rait bientôt ses bras autour de son cou, la serrant dans ses bras, cela la réconforterait sûrement.

Se mordant les lèvres, Sharon pénétra dans sa chambre, respirant difficilement, elle se posta à l’endroit exact où elle avait du se dévêtir obéissant aux ordres de son vicieux maître chanteur.

Puis faisant comme si l’ex-détenu était avec elle dans la chambre, elle se dirigea tremblante vers le lit comme elle l’avait fait ce jour fatal.

Elle rejouait les épisodes de ce jour funeste, elle commença par agacer ses tétons les faisant raidir, les jambes grandes ouvertes en V, orteils pointés vers le plafond, elle se doigta comme le lui avait ordonné son maître chanteur ce jour là, manipulant son clito jusqu’au moment où elle frémit de plaisir.

Puis, se mordant les lèvres Sharon se redressa et tendit laz main pour retrouver l’objet qu’elle avait sorti du réfrigérateur et amené jusqu’à son lit.

– “Ohhhhhh …….. Ahhhhhhh!….” gémissait-elle s’insérant un énorme concombre de plus en plus profondément dans la foufoune.

C’est alors que son corps fut submergé par un orgasme dévastateur, ses muscles se tétanisèrent sur le postiche remplaçant le sexe masculin.

– “Mon Dieu ….. Qu’est ce qui m’arrive? …..Je dois être complète-ment folle! …… Pourquoi ne puis je plus penser à autre chose qu’au sexe? …….” se fustigeait-elle.

Depuis qu’elle avait été partouzée à la prison, il semblait que son esprit déraillait. edirne escort Elle n’avait jamais pensé tirer du plaisir de tels rapports, et encore moins en se faisant violer sauvagement par des détenus vicieux.

Cependant elle ne pouvait oublier ces nombreux minis orgasmes que son traître de corps s’était octroyé lors de cette journée.

Son esprit la ramenait à ce jour fatal, elle se rappelait comment les quatre noirs l’avaient suspendues en l’air le corps parallèle au plancher, elle avala sa salive se souvenant comment ils l’utilisèrent comme un bé-lier, les hommes qui la portaient la propulsant d’avant en arrière sur les bites des troisièmes et quatrièmes agresseurs.

Elle ouvrait la bouche lorsqu’elle avait le visage en face de l’énorme bite avalant le gigantesque gourdin, puis ramenée vers l’arrière elle enfournait la bite de son chevaucheur de croupe dans sa chatte ou son trou du cul au hasard des allées et venues.

Une fois qu’ils se furent vidés les couilles dans sa bouche et sa foufoune, deux autres queues les remplacèrent, son agresseur de croupe préférait nettement s’enfiler dans son rectum, elle en grimaçait de douleur rétros-pective.

Elle n’aurait jamais cru ressentir du plaisir à se faire violer de façon aussi ignoble, pourtant elle eut plusieurs orgasmes, son corps la trahissait à chaque nouvelle ignominie.

– “Deviendrai-je nympho? …. se demanda-t-elle amèrement.

Puis elle revint au moment où l’ex-détenu était venu lui faire une petite visite.

Après avoir pris son plaisir, en se rhabillant, elle le regardait rire en jetant une carte professionnelle sur le lit, ricanant :

– “Sais-tu que t’es chaude comme l’enfer ma petite salope! …. Une vraie nympho si tu vois ce que veux dire …… Plus on t’humilie plus tu as de plaisir, n’est ce pas salope …. Eh oui ma salope tu adores le sexe vulgaire …… Appelle moi quand tu auras besoin de te faire baiser par des bâtards noirs … Appelle moi et je me débrouillerai pour satisfaire tes appétits lubriques …… Pense à moi qui vais vendre ton cul comme si c’était celui de la plus salope des putes qui font le trottoir!

Sharon frissonnait, son corps était parcouru de frémissements spasmo-diques rien qu’à l’idée qu’un maquereau puisse vendre son corps à des clients pervers.

– “Oh mon Dieu ….. J’ai vraiment besoin de tirer un coup! ….. Je ne suis rien d’autre qu’une sacrée petite salope comme il dit …. Mon Dieu ….. Je voudrai vendre mon corps rien que pour en tirer un plaisir pervers ……Je me remettrai à quatre pattes, je ramperai sur les genoux et le mains pour goûter à leurs grosses bites noires.” haletait-elle.

Sharon avait jeté la carte dans la poubelle le plus proche, se disant :

– “Ce salaud à le culot de penser que je l’appellerai! …..Ce n’est qu’à cause de son chantage que je lui obéis ….”

Elle ne savait pas ce qui l’avait poussée à récupérer la carte le lende-main pour la ranger dans sa commode sous la pile de culottes.

Elle alla jusqu’à sa commode, ouvrit le tiroir et reprit la carte profession-nelle de son maître chanteur, elle sentit son coeur s’emballer dans sa poitrine.

Puis elle la reposa vivement sous sa pile de culottes et referma le tiroir se détournant de la commode.

– “Oh mon Dieu, Comment puis-je seulement penser à faire une chose aussi vulgaire! ….. ” réfléchissait-elle.

Vingt minutes plus tard, la carte de nouveau en main, Sharon faisait le numéro figurant dur la carte.

Mais, en entendant la sonnerie, elle se mit à haleter de honte elle reposa le téléphone sur son support.

Tremblante de honte elle cherchait désespérément à reprendre son souffle alors que son coeur battait la chamade.

Ce qu’elle ne réalisa pas, c’est que son appel était enregistré sur le répondeur de Hobie qui relevait le numéro et l’identité de chaque ap-pelant.

De l’autre coté de la ville, Hobie allait prendre l’appel lorsque la sonnerie se tut. En voyant le nom et le numéro de l’appelant s’afficher, Hobie sou-rit et pouffa de rire.

– “Bien, bien …. La ravissante Sharon Hicks ….. Je me demandais quand tu appellerais ….. Ton mari ne parvient plus à satisfaire ta lubricité! ….. T’as besoin de te faire défoncer sévèrement par n’im-porte qui, chérie? …… T’as besoin d’un bon coup de queue de voyou …… ” pouffa-t-il à nouveau.

Une demi heure plus tard, la sonnerie de son portable sonna à nouveau, il se marra envoyant que c’était encore elle qui appelait.

– “Hey ben ma chérie ….. T’as vraiment besoin de te faire défoncer par une canaille … Tu veux être dégradée par la lie de la société! ….. Tirer un coup vraiment ignoble …. Ha, ha, ha ‘ rigola-t-il gogue-nard.

Réfléchissant quelques secondes, Hobie se rappela deux vieillards à qui il devait une faveur pour l’avoir prévenu lorsque les flics s’intéressaient de trop près à ses activités.

Grace à eux il avait pu se tirer d’affaire et repartir dans une autre voie.

Dans les 24 heures qui edirne escort bayan suivirent, Hobie reçut trois autres appels de la sexy madame Hicks

Il avait déjà prévenu les deux vieux schnocks, Toolman et Wacko qu’il allait leur faire un cadeau pour les remercier. Il leur demanda :

– “Ne lui faite pas trop de mal ….. Faites là vous à la voyou ….. Dégradez là un peu, beaucoup ….. Elle aime ça ….. Giclez sur son visage …. Et même pissez lui dessus ……”

– Ils rirent de bon coeur et Hobie leur demanda où ils créchaient la nuit, ils lui répondirent qu’ils campaient juste sous la passerelle.

Cherchant à résister à la tentation de donner un nouveau coup de fil, Sharon se dit qu’elle devrait mieux se contrôler, qu’elle devait ignorer cette intense brûlure entre ses cuisses.

Après avoir avalé une large rasade de vodka martini, elle trouva la force de se débarrasser de la tentante carte professionnelle, elle la jeta dans les toilettes.

Comme elle se préparait un nouveau verre le téléphone sonna et elle tendit la main pour répondre.

Le combiné sur l’oreille, elle haleta au son de la voix familière lui disant :

– “Je vois que tu as essayé de me contacter à plusieurs reprises chérie … Tu veux te faire un petit extra crapuleux ma chérie?…….

– “How, how ….Comment …” balbutia-t-elle péniblement.

– “J’ai relevé ton numéro et ton nom sur mon répondeur chérie! ……”

Ses épaules s’affaissèrent sous le poids de sa défaite lorsqu’elle réalisa qu’en fait Hobie était au courant de ses appels et qu’il l’avait volontaire-ment laissé mijoter…. De plus il connaissait parfaitement la raison de ses appels! …….

– “Demain soir 9 heures pétante, tu te ranges au bout de l’avenue de la plage, tu descends sous la passerelle et là tu demandes Toolman et Wacko … Ils prendront soin de ton cul ……Je leur ai dit qu’ils pourraient te faire ce qu’ils voudraient …Et même te pisser dessus! …..” l’informa-t-il.

– “Mais …… Mais …..” balbutia-t-elle ne postillonnant, mais il avait déjà raccroché et elle n’entendait plus que la tonalité.

– “La nuit de lendemain?….. Oh, mon Dieu ….. On est invité à dîner chez la soeur de David …” réalisa-t-elle soudainement.

– “Je n’irai pas …… Je ne dois pas succomber à cette tentation dé-gradante …. Si j’ai un peu de respect pour moi-même …… Un peu de volonté …… ” se disait-elle cherchant à se convaincre.

Pantelant elle se rappelait les mots de Hobie :

– “Je leur ai dit que t’aimerais te faire pisser dessus salope …”

L’idée de se laisser dégrader de façon aussi humiliante l’horrifiait.

Pourtant elle ne pouvait empêcher les muscles de sa chatte de se crisper spasmodiquement, alors que des frissons de désirs malsains lui parcouraient le corps.

Le lendemain soir, assise à la table de sa belle soeur, Sharon se tré-moussait sur son siège. Elle ne quittait pas des yeux l’horloge murale du salon.

Elle s’était dit à elle même :

– “NON ” mais elle ne pouvait desserrer les cuisses, ce qui endiguait le flot de cyprine lui inondant la chatte.

Elle se répétait :

– “Cesse de regarder l’horloge, tu n’as aucun moyen de te défiler pour aller te comporter en une bonne petite pute …”

Cependant elle continuait à fixer les aiguilles évaluant les chances qu’elle avait de se dérober.

Une demie heure plus tard, Sharon avait trouvé une bonne excuse pour quitter momentanément la salle à manger, respirant difficilement, le coeur battant la chamade, elle essayait de reprendre son contrôle d’elle-même.

Elle se répétait inlassablement :

– “Non … Non ….. Tu ne peux pas faire ça! ….. Ce serait trop indigne!……”

Mais Sharon ouvrit son sac et prit son portable en main.

Elle commença à composer le numéro, et s’arrêta une fois encore se di-sant :

– “Tu ne vas tout de même pas participer à ta dégradation! ……”

Ouvrant la porte de la salle de bain, elle se dirigea vers la salle à man-ger.

Comme elle s’approchait de la table, elle pressa le bouton d’appel de son portable dans son sac.

Comme elle s’asseyait à sa place, le bippeur de son téléphone se vibra de façon insistante.

Elle le prit, jeta un oeil sur l’écran vide et annonça :

– “Oh … Il y doit y avoir une urgence au bureau …… Excusez moi le temps que les appelle! …..”

Quittant de la salle à manger, Sharon se réfugia au fin fond du vestibule.

Elle prit son téléphone et arrêta le faux appel qu’elle avait enclenché, puis elle parla à voix haute dans le combiné désactivé, elle voulait que les autres convives entendent sa prétendue conversation.

– “Oh Non … Oh mon Dieu ….. Maintenant? ….. Mais on est samedi soir et je suis en famille!……On doit impérativement l’interroger ce soir? …. On ne peut pas le reporter à demain?……. Mais j’en ai au moins pour trois heures de route rien que pour y aller!…… D’accord, d’accord ….. Je vous quitte, je vais voir ce que je peux faire ….. Retenez moi une chambre d’hôtel, et préparez l’interroga-toire! ….. ” intima-t-elle de façon à être entendue de tous.

Revenant dans la salle à manger elle leur jeta un regard découragé, et les avisa :

– “Je suis désolée, mais je vais devoir vous quitter, un problème ur-gent …..”

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Die gezähmte Lehrerin

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Juli 2021

„Ich will Sie!”

Diana hatte das lange nicht mehr gehört, dass jemand sie wollte.

Und dies war der Satz, der alles weitere wie eine Lawine in Gang setzte.

Kapitel 1

„Guten Tag, Frau Velvet”.

Diana reagierte zunächst nicht, sie fühlte sich nicht angesprochen.

Ihre Gedanken waren dröge wie das Herbstwetter. Draußen regnete es, dunkel schimmerte der Asphalt und die Tropfen, die in die Pfützen fielen, versprachen mehr Dramatik, als das traurige Klassenzimmer hergab.

Trostloser und eintöniger als das Wetter draußen war nur noch der muffige Klassenraum mit der schimmeligen Decke und den abgegriffenen Holzmöbeln.

Diane saß an ihrem Pult in ihrem Berufskolleg und machte noch ein paar Notizen.

Es hatte längst zum Schulschluss geklingelt und längst waren die Berufsschüler ins Wochenende hinausgestürmt. Sie hatte gerade noch ein paar Erzieherinnen unterrichtet in Englisch. Sie sahen nicht ein, wozu sie Englisch brauchten, und Diane konnte es ihnen nicht verdenken. Zusammen hatten sie einen Nichtangriffspakt geschlossen. Diana erwartete nicht so viel von den Schülerinnen, im Gegenzug machten sie ihre Aufgaben zumindest einigermaßen. Diese Absprache funktionierte so leidlich, und am Freitag war es schwer. Die jungen Frauen waren alle auf das Wochenende fixiert. Da war es nicht weit mit ihrer Arbeitsbereitschaft. Diana war froh, dass es vorbei war.

Sie schaute aus dem Fenster. Arbeit lag vor ihr. Klausuren, Vorbereitungen, Nachbereitungen, der Haushalt, das Übliche. Sie würde einkaufen gehen, freute sich auf den Tomaten-Mozzarella-Salat, den sie sich zubereiten würde, mit dem teuren Balsamico und dem Olivenöl. Das wäre ungefähr der Höhepunkt ihres Wochenendes. Ein Salat, den sie aß, während auf Netflix eine romantische Komödie lief, der sie mit gebremster Aufmerksamkeit folgte, während sie eine italienischen Flasche Rotwein langsam leerte. Sie wusste, dass ihr Wochenende so verlaufen würde, weil all ihre Wochenenden so verliefen.

Sie sollte sich dieses Mal täuschen.

„Valerie Velvet?”, fragte die Stimme noch einmal.

Diana erinnerte sich. Sie hatte diesen Namen schon einmal gehört.

In der Tür stand eine ihrer Schülerinnen. Theresa. Sie war im dritten Jahr ihrer Ausbildung zur medizinischen Fachangestellten. Eine ganz gute, aber keine herausragende Schülerin. Sie war eher still, ein wenig schüchtern und zurückhaltend. Bislang hatte Diana lediglich ihre unverbindliche Freundlichkeit wahrgenommen.

Theresa trat vorsichtig in den Klassenraum und schloss die Türe hinter sich.

„Hallo Theresa, was kann ich für dich tun?”

Das Mädchen trat an das Pult.

„Wir beide müssen uns unterhalten.”

Diana schmunzelte über die Ernsthaftigkeit der Schülerin. „Worüber?”

Diana hatte den fordernden Ton der Schülerin durchaus wahrgenommen. Aber Schüler verfügten nicht immer über die kommunikativen Kompetenzen, die man sich wünschte, und vielleicht hatte das Mädchen ein Problem.

„Setz dich doch!”, fügte sie hinzu, weil sie nicht zu dem Mädchen aufschauen wollte.

„Nein danke, Valerie. Ich stehe lieber.”

Wieder dieser Name und dieser Hauch eines passiv aggressiven Tonfalls.

Theresa zog einen braunen Umschlag aus ihrer Tasche, legte diesen auf das Pult und schob ihn der Lehrerin zu.

Diana wusste, was sich darin befand. Sie musste nicht hineinsehen. Der Name, den Theresa genannt hatte, hatte es längst verraten.

Diana lehnte sich in ihrem Stuhl zurück und sah das Mädchen distanziert an. Sie sollte ruhig wissen, dass ihre Lehrerin sie durchschaut hatte. Diana war nicht entgangen, dass die Bewegungen der Schülerin Selbstbewusstsein ausstrahlen sollten, aber wie sie ihre Finger auf das Pult legte, vorsichtig, als wäre es vielleicht eine heiße Herdplatte, wie sie den Umschlag zu ihr schob, ein wenig zu schnell, als wollte sie es hinter sich bringen. All diese Winzigkeiten zeigten Diana, dass es mit der Entschlossenheit des Mädchens nicht so weit her war, wie sie glauben machen wollte.

Welch ein Klischee, dachte sie. Ein Umschlag mit Fotos, die Art und Weise, wie das Mädchen sie ansprach, wie es sich vor ihr in ihrem Klassenraum aufbaute, stehen blieb, um auf sie herab zu schauen! Diana ärgerte sich auf der einen Seite, auf der anderen Seite hatte sie auch ein wenig Bewunderung dafür übrig, dass das Mädchen sich Gedanken gemacht hatte. Vielleicht mangelte es ihr am passenden Fingerspitzengefühl, aber sie gab sich Mühe, Mühe um sie.

Diana zog den Umschlag zu sich, öffnete ihn und zog die Fotos heraus. Sie hatte natürlich recht gehabt. Es waren Screenshots von Videos. Eine junge, blonde, nackte Frau, deren ausgestreckte Arme über ihrem Kopf an langen Seilen festgebunden waren in einem leeren Raum mit weißen Wänden. Es war ein erotisches Foto voller Hingabe und Erotik. Die Hilflosigkeit der gefesselten Frau und die pure Erotik ihres Gesichtsausdrucks. Auf einem weiteren Foto war eine ebenso junge Frau zu sehen. Sie trug einfache schwarze Unterwäsche, hielt eine Reitgerte in einer Hand çorum escort und streichelte die Taille der Gefesselten mit der anderen.

Diana kannte die Szene. Lange hatte sie sie nicht mehr gesehen, aber sie hatte sie nicht vergessen, und Erinnerungen an die Bilder kamen nun wieder zurück.

Sie schaute aus dem Fenster, aber dort war nur nasskalte Traurigkeit. Die Fotos, selbst auf den schlechten Farbdrucken, strahlten Wärme aus. Diana erinnerte sich an die Bewegung der Hand, die über die Hüfte der gefesselten Person strich. Warm, vorsichtig, erotisch, voller Zuneigung. Diana erinnerte sich sehr dunkel an diese Bilder. Sie waren schöner als die Realität, vor allem die, mit der sie sich so unversehens konfrontiert sah. Sie blätterte durch die Screenshots, betont gelassen und schaute nicht auf, als sie fragte:

„Was willst du? Gute Noten? Geld? Du weißt, dass das Erpressung ist. Ich könnte dich anzeigen. Nichts hiervon ist illegal. Was du gerade machst, ist es definitiv.”

Es war ein Machtspiel. Diana war das bewusst. Als pokerten sie. Die Frage war nicht, wer die bessere Karten hatte, die Frage war, wer bluffte. Wer entschlossener war. Und Diana hatte einen Trumpf in der Hand, von der Theresa nichts wusste.

Diana sah, dass Theresa etwas überrascht war und unsicher wurde. Sie hatte mit dem Widerstand nicht gerechnet.

„Wollen Sie das wirklich wagen und Ihre Karriere aufs Spiel setzen? Sie wissen besser als ich, was alles passieren wird, wenn das hier rauskommt. Wenn die Welt erfährt, dass Diana Rossberg eigentlich Valerie Velvet ist. Was werden die anderen Lehrer denken, die Schüler, die Schulleiterin? Vor allem die Eltern werden nicht gern sehen wollen, dass eine Lehrerin in Pornos mitgespielt hat. Sie sind doch bestimmt Beamtin. Wollen Sie das aufs Spiel setzen?”

„Menschen lassen sich nicht gerne erpressen.”

„Sie kennen den Preis ja noch nicht, den ich verlange.”

„Was immer es ist, ist zu viel. So einfach ist das. Einfach aus Prinzip. Ich werde dir keine besseren Noten geben.”

„Ich will auch keine besseren Noten. So wichtig sind die mir nicht. Das sollten Sie eigentlich wissen.”

„Und Geld?”

„Ich will was Wertvolleres als Geld.”

„Was könnte das sein?”

„Ich will Sie.”

„Mich?”

„Ja genau.” Theresa schaute auf den Boden, als müsse sie Mut sammeln. „Ist das so ungewöhnlich? Ich will das mit Ihnen machen, was Sie mit sich haben machen lassen.”

Diana sah das Mädchen an. Zum ersten Mal fielen ihr die wasserblauen Augen auf, ihre langen Haare, einige Strähnchen hatten sich verselbständigt und standen von ihrem linken Ohr ab. Diana verspürte den Drang, die Haare zu richten, hinter ihr Ohr zu streichen. Sie sah geradezu ihren Zeigefinger, der mit einer sanften Wellenbewegung die Haare über ihr Ohr strich, dabei einmal kurz ihre Wange berührte, wie zufällig. Aber es wäre natürlich kein Zufall.

Eine vollkommen neue Erkenntnis war das. Man berührte Schüler nicht, schüttelte höchstens mal eine Hand bei besonderen Anlässen. Niemand berührte noch jemanden. Diana konnte sich nicht erinnern, wann sie das letzte Mal in den Arm genommen worden war. Herzlich, bedeutungsvoll, nicht nur so unverbindlich freundschaftlich.

Diana betrachtete das Gesicht des Mädchens, das rund und freundlich war. Ihren Mund, der manchmal süffisant lächelte, als hätte sie eine geheime Wahrheit entdeckt, die sie amüsierte. Ihre Figur, die sehr warm und reich war, wenn sie auch ein paar Kilos zu viel hatte. Sie hatte große Brüste, viel größere als Diana selbst. Aber es waren weibliche Kilos, schön gerundete, weiche Kilo. Die junge Frau brauchte sich nicht zu verstecken.

Diana betrachtete Schülerinnen nicht in dieser Weise, wie sie es in diesem Augenblick tat. Aber das Mädchen hatte das Gespräch in diese Richtung getrieben, und nun ließ Diana sich darauf ein. Es war nicht ihre Idee gewesen.

„Ich soll mich von dir erpressen lassen?”

„Sie sollen sich mir hingeben.”

„Hingeben?” Diana lachte bitter. „Du erpresst mich.”

„Ich würde das nicht so nennen.”

„Sondern?”

Sie schwieg.

„Ich mache bald mein Abschlussprüfung. In einem halben Jahr bin ich durch. Dann sind Sie mich los. Dann haben Sie Ihre Strafe abgeleistet. Bis dahin tun Sie, was ich von Ihnen verlange.”

„Oder ich gehe zur Schulleitung, dann war’s das mit deiner Ausbildung.”

„Und mit Ihrer Karriere? Vielleicht haben Sie Recht, und es wird so laufen. Aber, mal ehrlich, ist es das wirklich wert?”

Diana wollte etwas erwidern, aber das Mädchen war noch nicht fertig. Mit seinem Zeigefinger bedeutete es ihr zu schweigen, und Diana schwieg, was sie im gleichen Moment schon bereute. Sie wollte die Regeln aufstellen und nicht dem Mädchen das Heft des Handelns überlassen.

„Wir machen das so: Ich komme heute Abend bei Ihnen vorbei. Um 7. Ich klingele. Sie überlegen es sich bis dahin. Sie machen mir auf, oder ich werde tun, wozu Sie mir dann keine Wahl lassen.”

Das Mädchen nahm sein Handy heraus und zeigte denizli escort Diana ihre Adresse.

„Da wohnen Sie doch, oder nicht?”

Diana fand es bemerkenswert, dass das Mädchen sich so viel Mühe gemacht hatte, ihre Adresse herauszufinden. Dianas Nummer stand nicht im Telefonbuch, und auch sonst ging sie vorsichtig mit dieser Information um.

Die Blicke der beiden trafen sich für einen Moment, und Diana war sich nicht sicher, was sie in diesem Blick sah. Es war nicht Entschlossenheit, und es war keine Kälte. Vielleicht eher Sehnsucht.

Dann drehte das Mädchen sich um, nickte ihr noch einmal zu und verließ den Klassenraum. Sie schloss die Tür sanft hinter sich.

Zurück blieb Diana. Sie hatte immer noch die Screenshots in der Hand.

Es war plötzlich kühl geworden in dem Raum. Der Mief des Klassenzimmers erschien intensiver geworden zu sein.

Diana umarmte sich, strich über ihre Arme, um sich zu wärmen.

Dann betrachtete sie sich die Fotos.

Kapitel 2

Auf dem Weg nachhause war Diana unkonzentriert. Sie übersah die Vorfahrt eines anderen Wagens, der wegen ihr eine Vollbremsung vornehmen musste. Zuhause angekommen war Diana rastlos, unsicher, wie sie sich entscheiden sollte.

All die langweiligen Pläne, die eigentlich nichts anderes als Routine waren, hatten sich in Luft aufgelöst. Ihr ereignisloses und einsames Leben stand auf dem Spiel. Aber wie hoch war der Einsatz? Wie viel dröges Grau konnte auf dem Spiel stehen? Wie viel Tristesse konnte sie verlieren, wenn sie diesen Weg einschlagen würde, der ihr aufgezwungen, vielleicht aber auch angeboten wurde.

Diana setzte sich an ihr Notebook und googelte ihrerseits nach Theresa. Unter ihrem Namen fand sie nichts, aber sie wusste, dass das Mädchen von ihren Freundinnen Resa genannt wurde.

Sie fand ein ziemlich leeres Facebook-Profil mit einem verschwommenen, unterbelichteten Foto und ein privates Instagram-Profil. Natürlich konnte sie nicht um Erlaubnis bitten, dieses zu betreten. Sie müsste ihre Zustimmung erteilen. War das schon ein Zeichen, dass Diana sie um etwas bitten musste? Wie sie um Gnade bitten müsste, wenn sie sich in ihre Hände begeben würde?

Es ärgerte sie, dass sie so wenig von dem Mädchen wusste. In der Schule hätte sie sich Theresas Akte ansehen können. Eine Adresse hätte sie dort gefunden, vermutlich nicht viel mehr als ein paar nichtssagende Zeugnisse.

Irgendwann ertappte Diana sich dabei, wie sie auf einer Pornoseite gelandet war und dieses Video suchte. Sie hatte keinen Namen, suchte nach Schlagwörtern und fand eine Reihe von Videos, auf denen Frauen andere gefesselte Frauen dominierten. In manchen ging es darum, Lust zu schenken, in anderen darum zu quälen. Die letzteren übersprang Diana. Sie mochte keine Schmerzen.

Sie fand alte Fantasien wieder, die sie vor Jahren verfolgt hatte. So verging die Zeit, die sie besser genutzt hätte, eine kluge Entscheidung zu treffen, wie sie weiter vorgehen sollte. Stattdessen starrte sie auf den Bildschirm und musste sich zurückhalten, dass ihre Hände nicht in ihren Schoß glitten. Es war, als wäre ihr das verboten, als müsste sie sich aufsparen oder gar als hätte ihr Theresa dies verboten.

Stattdessen sah sie irgendwann auf die Uhr und musste feststellen, dass die Zeit vorangeschritten war und sich die 19 Uhr ankündigte.

Diana ging ins Bad, machte sich frisch, wusch ihr Gesicht mit kaltem Wasser, um den Kreislauf anzukurbeln. Sie betrachtete sich im Spiegel.

„Ich will Sie.”

Die Worte bekamen einen neuen Klang.

Ihre Haut erschien durchsichtig, sie musste nicht suchen, um Fältchen um ihre Augen zu finden.

Als sie ein kleines Mädchen gewesen war, hatte eine ihrer Tanten gesagt, sie sähe aus wie eine kleine Prinzessin, wegen ihrer spitzen Nase, der bleichen Haut und der kühlen, grünlich grauen Augen.

Männer fanden sie hübsch, ob sie es immer noch taten, wusste sie nicht. Sie hatte ihr Gesicht immer als zu kalt empfunden und darauf mit warmen Kleidungsstücken reagiert. Bordeaux-Rot, Braun, aber nie dunkles Violett. Nie Velvet. Sie strich sich eine Strähne aus dem Gesicht.

Ihr wurde bewusst, dass sie noch nichts gegessen hatte, doch ihrem Magen war nicht danach. Sie war nervös, bereute, die Zeit nicht besser genutzt zu haben und konnte es doch nicht erwarten, dass etwas passierte.

Die Uhr schlug sieben, dann war es fünf nach und dann zehn nach sieben. Viertel nach sieben fragte sie sich schon, ob Theresa sich überhaupt noch blicken ließ. In diesem Gedanken steckte ein Funken Hoffnung, aber auch der Enttäuschung. Seit Jahren hatte niemand mehr sich so viel Mühe um sie gemacht. Niemand hatte nach ihrem Namen gegoogelt, niemand hatte sich für ihre Biografie interessiert. Außerhalb der Schule schien sie seit Jahren schon nicht mehr zu existieren. Der letzte, der sich um sie gekümmert hatte, war Ben, der dann aber zu dem Ergebnis gekommen war, dass sie nicht zusammenpassten, aber Freunde bleiben sollten. Danach hatte es noch Sebastian gegeben, der aber düzce escort so seltsam gewesen war, dass sie froh war, als sie ihn losgeworden war. Danach war niemand mehr gekommen. Sie hatte sich auch nicht darum bemüht. Es ging auch so, und da war ja noch die Arbeit, die nie nachließ, die immer wichtig und nie getan war.

Es klingelte.

Die Zeit war gekommen.

Diana hätte einfach nichts tun müssen. Sie hätte einfach warten können. Das Mädchen würde noch ein paarmal klingeln, niemand würde öffnen, sie würde irgendwann verschwinden, die Dinge würden ihren Lauf nehmen und eventuell könnte sie ihren Trumpf ziehen und damit alles auflösen.

Diana drückte den Summer und öffnete die Eingangstür.

Wenige Augenblicke später öffnete sie dem Mädchen die Haustür.

Das Mädchen stieg die drei Treppen herauf, und Diana versuchte aus dem Geräusch der Schritte, die durch das Treppenhaus hallten, irgendwelche Informationen abzuleiten. Sie fand keine.

Schließlich stand die Schülerin vor ihr. Theresa trug einen schwarzen Rock über einer dunklen Strumpfhose und eine schwarze Bluse unter ihrer Winterjacke. Sie hatte sich hübsch gemacht, wollte mit ihrer Kleidung sicherlich ihre Position unterstreichen. Sie hatte sich geschminkt, für Dianas Geschmack zu viel. Der Lippenstift war zu rot, sie hatte zu viel Rouge und Lidschatten aufgetragen. Ihr schweres Parfum lag im Treppenhaus.

Ihr Makeup zeigte die typische Übertreibung junger Mädchen, denen die Stilsicherheit fehlte. Trotzdem schmeichelte es Diana, dass das Mädchen sich für sie schön gemacht hatte. Diana kam sich underdressed vor. Schwarz hätte sie auch gewählt, wenn sie für dieses Treffen Kleidung ausgesucht hätte.

Das Mädchen atmete einmal schwer und meinte:

„Hätten Sie nicht ins Erdgeschoss ziehen können?”

Diana fand die lässige Bemerkung unpassend für die Situation.

Ihre Blicke trafen sich schweigsam, und Diana trat aus dem Weg, um sie in ihre Wohnung zu lassen. Theresa zog sich die Jacke aus und reichte sie Diana.

Als sie die Jacke entgegennahm, kam sie sich für einen Moment wie eine Dienerin vor. Dieser Gedanke fühlte sich seltsam an, warm und glatt wie ein plüschiges Kissen. Gleichzeitig nahm Diana aber auch wahr, dass die Augen des Mädchens nervös die Wohnung scannten. Als hätte sie Angst, dass die Polizei auf sie wartete. Es war immerhin eine Möglichkeit.

Diana hing die Jacke des Mädchens an der Garderobe auf und sog das schwüle Parfum ein. Dann zeigte sie ins Wohnzimmer, und zunächst folgte Theresa Dianas Handbewegung, dann besann sie sich, wollte die Situation bestimmen und trat einen Schritt zurück. Sie schaute in Dianas Küche, als wollte sie die Kontrolle über die Situation gewinnen. Schließlich schritt sie ins Wohnzimmer, sah sich auch hier um und setzte sich dann auf die Couch, legte die Arme über die Lehne und schlug die Beine übereinander, um souverän auszusehen. Diana fand, dass es nicht so richtig passte. Dass das Mädchen sich wie ein Mafiaboss in einem drittklassigen Film benahm.

„Darf ich dir was anbieten?”, fragte Diana und musste im gleichen Moment feststellen, dass sie nicht viel dahatte.

„Ein Wasser bitte.”

Die Antwort überraschte sie, aber sie froh, dass sie einem exotischeren Wunsch wie Vodka Redbull oder was auch immer die Jugend trank, keine Absage erteilen musste.

„Gerne.”, sagte sie und kam sich ein wenig wie eine Kellnerin vor, was ein warmer und elektrisierter Gedanke war. Ihr Herz schlug schneller, sie war aufgeregt.

Diana ging in die Küche. Sie hätte sich gerne ein Glas Wein gegönnt, empfand diesen Wunsch aber als unpassend. Die Rollenverteilung gab es nicht her, dass sie Wein trank und das Mädchen Wasser. Sie brachte nur das Glas Wasser für ihren Gast.

Als sie das Glas vor ihr auf den Tisch stellte, hatte das Mädchen Zeit gehabt, sich zu sammeln.

Statt sich zu bedanken, sagte sie nur:

„Setzen Sie sich bitte!”.

Diana war froh darüber und setzte sich ihr gegenüber in den Sessel.

Für einen Augenblick schwiegen beide.

„Schön, dass Sie zur Vernunft gekommen sind.”, sagte Theresa. „Nur, damit wir uns nicht falsch verstehen. Ich hätte meine Drohung wahrgemacht. Sie sind in meiner Hand.”

Diese Worte lösten ein Gefühl aus wie eine scharfe Chilischote, warm, aber auch gefährlich. Es waren fremde Worte von einer Schülerin. Auf der einen Seite schwer zu ertragen, andererseits aber auch unerklärlich ersehnt.

Ob Diana Theresa glaubte, war eine andere Frage, aber auch eine irrelevante. Diana musste sich eingestehen, dass die Situation sie mit Spannung erfüllte.

Das Mädchen hatte sein Selbstbewusstsein zurückerlangt und sprach nun mit Bestimmtheit. Ihre Stimme hatte nun eine Präzision wie ein geschärftes Messer. Es verlieh ihr eine neue Attraktivität. Sie wirkte, als wisse sie, was zu tun sei, und Diana musste keine Entscheidungen treffen, konnte einfach zuhören und reagieren.

„Aber Sie müssen sich keine Sorge machen. Bei mir ist Ihr Geheimnis sicher. Ich bin verschwiegen wie ein Buch. Verstehen Sie? Ich rede eigentlich nur, wenn ich wütend werde. Wenn ich so richtig wütend werde, dann plappere ich wie ein Wasserfall und sage einfach so, was ich denke. Häufig auch die Wahrheit. Und das wollen wir doch nicht, dass ich die Wahrheit sage, und ihr Geheimnis verrate, oder?”

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Wahrheit oder Pflicht 14: Ball

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Abella Danger

Die Geschichte ist reine Fiction. Alle darin enthaltenen Personen, Orte oder Handlungen sind frei erfunden. Sie beschreibt eine lesbische Beziehung zweier Frauen, die in den Bereichen Fetisch und BDSM angesiedelt ist.

Teil 14: Ball

Am nächsten Tag erwachte Saki erst am späten Nachmittag.

Benommen brauchte sie ein paar Minuten, um sich zu orientieren. Ein vorsichtiger Griff an ihre Scheide, der sie zusammenzucken ließ, bestätigte, dass es kein Traum war, was sie letzte Nacht erlebt hatte.

Die Details der letzten Nacht tauchten erst nach und nach in ihren Gedanken wieder auf und sie wurde immer fassungsloser, was ihre Freundin mit ihr angestellt hatte.

Sie erkannte aber, auch wenn sie geschrien und Cat um Gnade angefleht hatte, wurde ihr erst jetzt richtig bewusst, dass die Behandlung gut für sie war. Es war erniedrigend, teilweise schmerzhaft und ab einen gewissen Punkt hatte sich Saki gewünscht, dass ihre Freundin aufhören würde, sie von einem Orgasmus zum nächsten zu treiben.

Aber nun spürte sie, dass es genau das war, was ihr Körper und Geist gebraucht hatten. Sie fühlte sich so befriedigt und erfüllt, wie noch nie in ihrem Leben.

An diesem Tag und auch am nächsten brauchte Saki viel Ruhe und Pflege.

Cat kümmerte sich liebevoll rund um die Uhr um die erschöpfte Asiatin. Sie brachte ihr Essen und Trinken ans Bett und hielt zärtlich ihre Hand, in den Phasen, in denen Saki schlief.

Gegen Abend des ersten Tages traute sich Saki zu, dass Cat ihren empfindlichen Körper im Bett waschen durfte. Das belebte die erschöpfte Saki etwas und danach war sie schon wieder in der Lage mit ihrer Freundin zu lachen.

In der Nacht kuschelte sich die Blondine nackt an den ebenso nackten Körper ihrer Freundin. Aber sie liebten sich nicht, sondern genossen nur die Wärme und Nähe der anderen.

Am zweiten Tag nach der Behandlung fühlte sich Saki wieder stark genug alleine auf Toilette zu gehen und sie war froh, sich nicht mehr im Beisein ihrer Freundin erleichtern zu müssen.

Und am Abend schmusten die beiden sogar schon wieder auf der Couch bei einer Flasche Wein. Cat versuchte spielerisch die Scheide und die Brustwarzen ihrer Freundin zu necken, aber Saki war immer noch zu empfindlich in diesen Bereichen und so wandelte sich ihre Kuschelei bald in freundliches Gerangel.

Über das, was Cat mit ihr angestellt hatte, verloren beide kein Wort. Und Saki fand es gut so. Sie hatte das Gefühl, wenn Sie darüber sprechen würden, würde ein Teil des Zaubers, den sie erlebt hatte, verschwinden.

Bereits an diesem Abend entschied Cat, dass ihre Freundin wieder bereit war weitere Abenteuer zu erleben.

Und so vergingen die Tage und Wochen.

Es war ein Wechselbad der Gefühle, besonders für Saki. Mal führten sie eine glückliche, liebevolle und freundliche Beziehung, wie zwei sich liebende es eben taten. Sie lachten, schmusten, gingen aus, trieben Sport und genossen ihr junges Leben aus vollen Zügen. Sie liebten sich sinnlich des Nachts und genossen die Vorzüge ihrer bezaubernden Körper.

Zwischendurch aber führte Cat die junge Japanerin immer wieder in die skurrilsten Situationen und peinlichsten Erlebnisse. Sie schien eine endlose Quelle an Ideen zu sein, wie sie diese seltene Art des Lustgewinns ihrer Freundin fördern konnte.

Sakis Grenzen, was sie an Demütigung und Erniedrigung ertragen konnte, wurden dabei immer mehr erweitert.

Meist wurde sie während dieser Abenteuer mit immer gewaltigeren Orgasmen belohnt, aber manchmal wurden sie ihr auch verwehrt.

An solchen Tagen wurde sie dann oft in den bizarren Behandlungsraum geführt, wo Cat ihre körperliche Belastungsgrenze erweiterte.

Und auch wenn diese Erfahrungen oft für Saki schrecklich und ungewollt waren, bereiteten sie ihr doch immer große sexuelle Lust. Und sie war stets glücklich danach.

Ihre Liebe und Zuneigung zueinander steigerte sich in dieser Zeit ins schier Unermessliche. Saki entwickelte den sehnsüchtigen Wunsch, dass diese Zeit mit ihrer Freundin niemals enden würde. Und sie spürte auch, dass es Cat ebenso erging.

Aber irgendwann war es dann soweit und die letzte Woche ihres Aufenthalts in Deutschland brach an.

In Saki breitete sich eine Traurigkeit aus, der selbst die stets gut gelaunte Cat nicht viel entgegenzusetzen hatte. Nur während der exhibitionistischen und sexuellen Erlebnisse war sie in der Lage, ihre Trauer über die bevorstehende Abreise zu vergessen.

Am Nachmittag des vorletzten Tages allerdings kam Cat besonders aufgeregt in Sakis Schlafzimmer gestürmt.

Saki riss erschrocken die Bettdecke hoch, um sich zu bedecken.

Sie war gerade dabei gewesen ihre Brustwarzen auf die neu gewonnene Belastbarkeit zu testen. Wohlwissend, dass es nur ein Vorspiel war und wahrscheinlich in einer heimlichen Masturbation geendet wäre. Cat hatte ihr in den letzten zwei Tagen jeglichen Höhepunkt verwehrt, auch wenn sie sie oft genug in dieser Zeit an einen herangeführt hatte.

Cat begriff sofort, was da vor sich ging und zuerst nur sie, dann aber bitlis escort beide, mussten schallend lachen.

Diese überflüssige Scham, die die kleine Japanerin in diesem Moment zeigte, war so unnötig bei dem, was die beiden in den letzten Wochen erlebt hatten.

Trotzdem beschlich diese niedliche Schamesröte Sakis Gesicht, selbst als sie sich wieder entspannte.

Cat setzte sich zu Saki auf das Bett, nachdem sich beide wieder gefangen hatten. Sie nahm bedächtig eine ihrer Hände und schaute ihr liebevoll ins Gesicht. Sie brauchte einige Zeit, bis sie die richtigen Worte fand und Saki wurde immer unsicherer.

„Heute, meine Liebe, ist ein besonderer Tag.” fing Cat langsam an zu sprechen.

„Und ich bin so unendlich glücklich, dass ich ihn mit dir gemeinsam erleben darf.”

Saki schaut nur verwirrt und niedliche, kleine Sorgenfalten bildeten sich auf ihrer Stirn. Cat fuhr fort:

„Die Schwesternschaft feiert jedes Jahr einen Sommer Ball. Dieser Ball findet heute statt und wir können gemeinsam dort hingehen.”

Saki quiekte glücklich auf. Sie würde endlich Gelegenheit bekommen mehr über dieses große Mysterium zu erfahren. Und damit vielleicht auch mehr über ihre Geliebte.

Ihre Sorgen waren kurzzeitig vergessen und sie klatschte vor Freude in die Hände.

Dabei plapperte sie ungestüm los:

„Warum hast du mir das nicht schon früher gesagt?”

„Weil ich tatsächlich bis heute nicht wusste, ob ich dich mit dorthin nehmen darf.”

Sakis Interesse wuchs noch weiter und sie verstummte gespannt.

„Du weißt doch, dass alles bei dieser Verbindung mit Geheimnissen verschleiert ist. So auch dieser Ball, zu dem nicht jeder gehen darf. Und selbst ich brauchte die Erlaubnis dich mitzubringen, da du ja kein Mitglied bist.”

Saki fiel ihrer Freundin um den Hals und drückte sie nach Leibeskräften.

Cat genoss das Gefühl des nackten, eng umschlungenen Körpers an ihr und sie freute sich mit ihrer Freundin.

Als sich Saki wieder etwas beruhigt hatte, fragte sie Cat mit Tränen in den Augen:

„Was soll ich anziehen?”

Cats Lächeln wurde zu einem breiten Grinsen und sie antwortete:

„Das meine Lotosblume, habe ich bereits für dich besorgt.”

Sie stand auf und holte eine Tüte aus dem Wohnzimmer. Die überreichte sie ihrer nackten Freundin und wartete deren Reaktion ab, wenn sie sah, was sie für sie hatte.

Saki kippte den Inhalt der Tüte stürmisch auf dem Bett aus und wich erschrocken zurück.

Ein paar hochhackiger, langer schwarzer Stiefel aus Lack und zwei mit einer Kette verbundenen Krokodilklemmen aus Chrom, war alles, was nun vor ihr lag. Enttäuschung legte sich auf ihr Gesicht und sie schaute Cat fragend an.

„Es gibt viele Regeln in dieser Verbindung und die gelten auch an den Feierlichkeiten.”

Saki schaute immer noch so niedlich begriffsstutzig und Cat holte weiter aus.

„Ich habe dir doch gesagt, dass die Mitglieder in zwei Gruppen aufgeteilt sind. Sie werden dort Doms und Subs genannt, was in etwa so viel bedeutet wie Herrinnen und Sklavinnen.”

Saki wurde bei diesen Worten immer unruhiger.

„Eine Regel lautet, das Subs auf dem Verbindungsgelände niemals ihre Geschlechtsteile verbergen dürfen.”

Cat lies diese Worte erst einmal wirken und die junge, nackte Frau brauchte diese Zeit, um zu verstehen. Dann schaute sie mit großen Augen ihre Freundin unsicher an.

„Was soll das heißen? Ich bin deine Sklavin?”

Cat konnte diese geflüsterten Worte kaum verstehen und auch nicht deuten, ob sie aus Angst oder freudiger Erregung so geflüstert wurden.

„Nein Saki, nein das bist du nicht.”

Saki schluchzte auf.

„Du bist so viel mehr für mich. Ich liebe dich, aus tiefstem Herzen und du bedeutest mir mehr, als es je eine Sklavin könnte.”

Saki schluchzte erneut und eine dicke Träne lief über ihre Wange.

„Aber für die Schwesternschaft musst du heute meine Sklavin sein, damit ich dich dort mit hinnehmen kann.”

Zu der ersten Träne gesellte sich eine zweite, aber Cat konnte ihr nun ansehen, dass es Freudentränen waren.

Sie kniete sich zu ihrer Freundin und nahm sie ganz fest in die Arme.

„Du meine Blume, hast den schönsten Körper, den man sich vorstellen kann. Und ich möchte ihn allen zeigen, um sie vor Neid erblassen zu sehen. Und deshalb trägst du nur diese Stiefel für mich.”

Dann drückte sie ihrer Freundin einen herzlichen Kuss auf die Lippen.

Saki schien zu verstehen, was es ihrer Freundin bedeutete, wenn sie nur in Stiefeln bekleidet auf den Ball gehen würde und sie akzeptierte es.

Als die beiden einige Stunden später im Auto saßen, wurde nicht viel gesprochen.

Cat schien in ihren eigenen Gedanken versunken und Saki traute sich mittlerweile nicht einmal mehr über den bevorstehenden Abend Fragen zu stellen. Ihre Freundin hatte bis dahin alle nur abgeschmettert mit den Worten: „Lass dich überraschen!”

Umso mehr pochte ihr Herz vor Aufregung.

Sie schaute an ihren schlanken Beinen herab bolu escort und musste diese extravaganten Stiefel bewundern. Sie saßen perfekt und das glänzende, lackartige Material schmiegte sich wie angegossen an ihre schlanken Beine. Die Schäfte der Stiefel gingen ihr bis zur Hälfte der Oberschenkel und ließen alles darüber frei.

Cat hatte ihr erlaubt für die Fahrt einen dünnen, schwarzen Ledermantel überzuwerfen, und sie genoss dessen kühlende Wirkung an diesem heißen Sommerabend. Unter dem Mantel konnte sie das leise Klingeln der Kette zwischen ihren Brustwarzen hören.

Der erregende Schmerz, der Klammern an dieser Kette, gesellte sich zu der ebenso erregenden Vorfreude auf diesen Abend. Gedankenverloren spielte sie an ihren kleinen Ohrringen, der einzige Schmuck, der zu tragen ihr erlaubt wurde.

Die neben ihr sitzende Cat trug die gleichen Stiefel wie sie, was ihre Verbundenheit zu ihrer Sklavin ausdrücken sollte. Darüber allerdings wurde ihr Körper von einem hautengen Latex Korsett verdeckt, was ihren traumhaften Körper besonders gut zur Geltung brachte.

Aber auch sie hatte ihre aufsehenerregende Erscheinung vorerst mit einem Mantel verdeckt, um während der Fahrt in dem offenen Cabrio nicht so viel Aufmerksamkeit zu erregen.

Cat hatte viel Aufwand um ihr Make-up betrieben und sie wirkte heute Abend zwar schön, aber auch streng und irgendwie angsteinflößend auf die kleine Asiatin.

In der Nähe der Universität bogen sie auf eine lange Privatstrasse ein.

An dessen Ende mussten sie vor einem gewaltigen, schmiedeeisernen Tor warten, bis es sich öffnete.

Saki verstand nicht, warum ihnen Einlass gewährt wurde, war sich aber sicher, dass es nur ganz bestimmten Leuten erlaubt wurde, dieses Grundstück zu befahren.

Sie fuhren auf einen kleinen Hof und hielten vor einem zweiten Tor, während sich hinter ihnen das erste Tor wieder schloss.

Das Geräusch der ineinander fahrenden Stahlteile hatte etwas Endgültiges an sich und Saki beschlich ein ungutes Gefühl. Sie fürchtete plötzlich, dass sie nun nicht mehr zurück konnte, egal was noch vor ihr lag.

Zu ihrer Rechten konnte sie verspiegelte Scheiben sehen, die zu einer Art Wachhaus gehörten. Wer sich dahinter befand und sie musterte, blieb ein Geheimnis.

Nach kurzer Zeit des Unbehagens öffnete sich das vor ihnen liegende Stahltor und gab den Weg aus der Schleuse frei.

Als sie über das weitläufige Gelände des Anwesens fuhren, blieb Saki der Mund vor Staunen offen stehen.

Es war ein gewaltiges, gepflegtes Grundstück, wie sie es nur aus dem Fernsehen von fremdländischen Königshäusern kannte. Mehrere Minuten fuhren sie über knisternde Kieswege, bis sich vor ihnen das schlossartige Haupthaus erhob. Es hatte enorme Dimensionen und schien mehrere hundert Jahre alt zu sein, konnte sich aber in seinem prunkvollen und gepflegten Zustand mit jedem Königsschloss messen.

Der Wagen fuhr direkt vor den großen Haupteingang.

Dort warteten bereits zwei junge Frauen auf Sie, um ihnen mit gesenkten Blicken die Türen zu öffnen. Die beiden schienen gänzlich nackt zu sein, bis auf die hochhackigen Schuhe, die sie trugen.

Erst beim Aussteigen konnte Saki sehen, dass ihre Brüste mit schwarzen Seilen umwickelt waren. Die Busen quollen schmerzhaft hervor und hatten sich blau verfärbt.

Beide Mädchen trugen Ball Gags, wie auch Saki in letzter Zeit häufiger tragen durfte.

Eine der demütigen Frauen setzte sich hinter das Steuer und fuhr davon, anscheinend um den Wagen zu parken.

Die andere kniete sich demütig auf die Kiessteine am Fuße der breiten Treppe, welche zu dem pompösen Haupteingang führte.

Saki staunte, wie beherrscht die Unbekannte ihre schmerzhafte Haltung auf dem Kies ertrug. Der Anblick einer offenbar Gleichgesinnten ließ das Kribbeln zwischen ihren Beinen zunehmen.

Cat riss sie aus diesem Bann und trat direkt vor sie. Sie schaute ihr tief in die Augen und sprach eindringlich:

„Ganz egal, was du da drinnen sehen wirst, du musst wissen, dass alles freiwillig geschieht.”

Saki schaute ihr verunsichert in die Augen und musste schlucken.

„Auch wenn es nicht immer danach aussehen wird, hier hat jeder das Recht nein zu sagen. Das gilt auch für dich.”

Saki bekam es mit der Angst zu tun und Cat spürte das deutlich.

„Du brauchst keine Angst zu haben, ich bin bei dir. Aber egal was du tust, verlasse nie alleine dieses Gebäude.”

Durch Zufall wurde ihre Drohung von dem fernen Gebell großer Hunde unterstrichen.

Ein ängstlicher Schauer fuhr über Sakis Rücken.

„Halte dich nur an mich und genieße den Abend.”

Mit diesen Worten streifte sie den Mantel über Sakis Schultern und entblößte sie damit völlig. Saki schaute sich verlegen um.

Dann ließ Cat ihren eigenen Mantel zu Boden fallen und nahm ihre Freundin bei der Hand, um sie die Treppe hinauf zu führen. Graziös erhob sich die kniende Sklavin, um die Mäntel einzusammeln.

Die Eingangstüren, die von zwei weiteren nackten Sklavinnen geöffnet wurden, burdur escort führten sie in eine gewaltige Empfangshalle.

Diese Halle, genauso wie offenbar das gesamte Gebäude, war luxuriös und prunkvoll eingerichtet. Der Stil bewegte sich irgendwo zwischen der Eleganz eines mittelalterlichen Schlosses und der sterilen Bizarrheit von Cats Behandlungszimmer.

Cat wurde freundlich von zwei anderen Frauen begrüßt, die ganz offensichtlich auch zu den Herinnen gehörten. Sie waren elegant, aber mehr als nur aufreizend gekleidet.

Saki ignorierten sie offenbar, was die aber nicht störte, weil sie fasziniert ihre Umgebung in sich aufsaugte.

Die Halle, genauso wie die sich anschließenden Säle, waren mit unzähligen Frauen gefüllt. Und selbst für die unerfahrene Japanerin wurde der Unterschied der zwei Klassen sofort klar ersichtlich.

Und ihre Schande wegen der eigenen Nacktheit lies etwas nach, als sie sah wie viele der anderen Frauen hier ebenso, oder sogar noch nackter waren, als sie.

Doch selbst bei denen, die zum Teil obszöne Fetisch Bekleidung tragen durften oder mussten, waren die freiliegenden Geschlechtsteile eher noch mehr zur Geltung gebracht, als bei den ganz Nackten.

Viele von ihnen trugen Schmuck oder Sexspielzeuge an den Brüsten oder in ihren Körperöffnungen. Saki hatte schnell jeglichen Anstand verloren und starrte gebannt auf die Brüste und Scheiden der fremden Sklavinnen. Ihr Anblick erregte sie ungemein und sie spürte das zunehmende Kribbeln in ihrem Kitzler.

Cat führte ihre vor Staunen sprachlose Freundin an der Hand durch einen der großen Ballsäle.

Und Saki fühlte sich unweigerlich in ihren unvergessenen Alptraum zurückversetzt, den sie vor einigen Wochen hatte. Es befanden sich ausschließlich Frauen in diesen Hallen und es wirkte eher wie eine gewaltige Orgie, als wie ein Ball.

Die meisten der Frauen waren ganz eindeutig Sklavinnen und es gab nicht eine hässliche unter ihnen. Die wenigen Herrinnen unter ihnen waren deutlich in ihrer Erscheinung zu erkennen und es schien, als ob die ihnen untergebenen Frauen um ihre Gunst buhlten.

Das ganze Gebäude war erfüllt von einem verstörenden Geräuschkulisse, eine Mischung aus klassischer Musik und dem lustvollen Gestöhne unzähliger Frauen.

Viele von ihnen tanzten, entweder sinnlich miteinander, oder wie in Trance alleine.

An vielen Stellen lagen eng umschlungene Körper auf dem Boden oder Tischen, die sich schamlos miteinander vergnügten. Im Vorbeigehen konnte Saki teilweise gar nicht erkennen, wie viele Frauen in den Menschenknäulen es miteinander trieben.

Saki konnte sich überhaupt nicht satt sehen an den vielen Eindrücken.

An den Wänden hingen einige angekettete Sklavinnen und viele von ihnen wurden von anderen bespielt, die ihnen Lust oder auch Schmerz zubereiteten. Meist aber beides.

Gelegentlich drang ein spitzer Schrei aus einem dieser Münder, als sich eine von ihnen ihrem Orgasmus ergab.

Im Raum verteilt standen Gestelle, in die hilflose Frauen gespannt waren. Ihre exponierten Geschlechtsteile luden zur unverfänglichen Benutzung ein. Was auch gerne von einigen Gästen genutzt wurde.

Selbst Saki konnte den Drang spüren, an eine der wehrlosen Hand anzulegen. Die meisten waren mit Binden geblendet und konnten nicht einmal sehen, wer sich da an ihnen verging. Das nässende, empfindliche Fleisch einer wehrlosen zu betasten, übte einen verdorbenen Reiz aus, aber Saki konnte ihm widerstehen. Ihr flüchtiger Drang es einmal zu probieren, beschämte sie innerlich aber sehr.

Selbst auf großen Buffett Tischen gefesselte Sklavinnen, die offenbar lediglich als Verzierung dienten, wurden von sich bedienenden Gästen beiläufig befingert oder gepiesackt.

Eine scheinbar besonders verruchte Herrin nutze sogar die Scheide eines dieser Mädchen, um kleine Häppchen zu befeuchten, die sie sich genüsslich in den Mund schob. Offenbar gab es den Speisen ein besonderes Aroma.

Das hilflose Mädchen wimmerte erniedrigt bei dieser herabwürdigenden Benutzung auf.

Auf einem Tresen hockten mehrere gefesselte Mädchen, aus ihren Scheiden ragten Flaschenhälse und mit zaghaften Hüftbewegungen schenkten sie den Gästen Getränke in davor gehaltenen Gläser. Zwei dieser Mädchen hatten keine Flasche in ihrer Vagina. Trotzdem wurden ihnen von kichernden Sklavinnen leere Gläser vor ihre Spalten gehalten.

Saki schaute angewidert weg und ging weiter.

Sie blieb fassungslos stehen, als sie eine junge, hübsche Sklavin entdeckte, die auf ein liegendes Kreuz gefesselt war. Eine beherrscht wirkende Herrin in einem steifen Ledermantel ließ unbarmherzig ihre mehrschwänzige Peitsche auf die ungeschützte Scheide der Gefesselten niederfahren. Erst auf dem zweiten Blick konnte Saki erkennen, dass sich zwischen den Beinen der Herrin ein weiteres Beinpaar befand. Von dem langen Mantel verdeckt, konnte Saki nur ahnen, dass eine weitere Sklavin offenbar den Po der peitschenden Frau bediente.

Die Scheide der gepeitschten Sklavin war mit roten Striemen übersät. Zwei weitere Sklavinnen saugten derweil an den Brüsten der Wehrlosen und sie schien zwischen Schmerz und Lust hin und hergerissen. Aber die Lust schien zu überwiegen, so feucht war sie und mit jedem Schlag der Peitsche spritzten ein paar Tropfen ihres Lustsaftes durch die Gegend.

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Mitsuki 7v8

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Amateur

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Vorwort _ Es ist an der Zeit, meinen Nachlaß zu ordnen. Aus den verschiedensten Gründen standen meine Geschichten auf unterschiedlichen Seiten mit wechselnden Pseudonymen. Nun möchte ich die Arbeit von Jahren bündeln. Eine Nachbearbeitung findet nur rudimentär statt.

Alle Personen in dieser Geschichte sind über 18 Jahre alt.

Erstveröffentlichung zwischen 2005 und 2008.

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Mitsuki – Schmerzhafte Tradition.doc

Seit drei Wochen benahm sich Sakura höchst merkwürdig. Sie vermied es, sich vor ihrer Mitbewohnerin auszuziehen, sie lief nicht mehr, wie sie es sonst so gerne tat, nackt durch die Wohnung, im Bad schloss sie die Tür hinter sich zu, und wenn sie auf ihr Verhalten angesprochen wurde, tat sie so, als ob sie nicht verstehen würde, was Mitsuki eigentlich von ihr wolle. Es wäre doch alles in Ordnung.

Nichts ist in Ordnung, dachte Mitsuki, wenn sie wieder einmal mit leeren Worthülsen abgespeist wurde. Normalerweise waren sie nach den Vorlesungen nach Hause gefahren, hatten zusammen gelernt und dann den Abend gemeinsam, oder mit Jolanda und Carola verbracht. In der letzten Zeit aber kam Sakura mit immer neuen Ausreden daher, um ihr Verschwinden am Nachmittag zu erklären. Für Mitsuki stand inzwischen fest, dass Sakura eine Affäre hatte. Einen Kerl, oder eine andere Frau, der Gedanke daran fraß sich jeden Tag ein Stückchen tiefer in Mitsuki hinein und ihre Gefühle schwankten zwischen Eifersucht und tiefer Traurigkeit. Sakura, darauf angesprochen, wies das natürlich weit von sich. Es gäbe eine ganz einfach, und bei weitem harmlosere Erklärung für ihr Verhalten, aber sie dürfe darüber nicht sprechen. Eine Wahrheit, mit der Mitsuki nichts anfangen konnte, und die ihren Argwohn nur noch mehr schürte.

Und dann kam der Tag, an dem es Mitsuki wissen wollte. Sie würde ihrer Freundin folgen, sie des Fremdgehens überführen und anschließend hochkant aus der Wohnung werfen!

Mitsuki folgte dem Taxi, in das Sakura gestiegen war, mit vorsichtigem Abstand. Die Fahrt führte sie in ein Villenviertel am anderen Ende der Stadt, und als das Taxi am Straßenrand anhielt, parkte Mitsuki mit hundert Meter Abstand auf der anderen Seite. Sie wartete, bis ihre Freundin auf dem Grundstück verschwand, stieg aus, verriegelte den Wagen und ging auf das Haus zu, in dem Sakura verschwunden war.

Die Grünanlagen machten einen etwas heruntergekommenen Eindruck, links und recht des Weges standen auf stämmigen Säulen Steinfiguren, die der japanischen Mythologie entstammten, und der wilde Wein, der an dem Außenmauern rankte, verlieh dem Haus etwas Geheimnisvolles.

Sakura war weit und breit nicht zu sehen, und Mitsuki überlegte sich ihr weiteres Vorgehen. Im Schutz hoher Büsche ging sie um das Haus herum und wunderte sich, dass selbst auf der Rückseite überall die Fensterläden geschlossen waren. Sie wollte schon den Rückzug antreten, als sie aus einem der Kellerfenster einen schwachen Lichtschein bemerkte. Vorsichtig schlich sie sich heran, schob die Zweige lautlos zur Seite und hockte sich vor das schmale Fenster.

Der Raum war quadratisch und nicht sehr groß. In der Mitte befand sich ein etwa 20 Zentimeter hohes Podest. Es schien aus Holz zu sein, und an jeder der vier Seiten ragten massive Balken empor. In der Mitte der zwei Mal zwei Meter großer Plattform, und das war das Merkwürdigste, befand sich, wiederum auf einem halbhohen Podest, etwas, was einem Reitersattel nicht unähnlich war. Zwei Zapfen ragten aus dem Sattel hervor, und Mitsuki schüttelte verwundert den Kopf.

Mitsuki überlegte, was sie nun tun sollte, als sich eine Tür öffnete und zwei junge Japanerinnen den Raum betraten. Zwischen ihnen: Sakura. Angetan mit einem schlichten, weißen Umhang, schritt sie mit nackten Füßen auf das Podest zu, stellte sich breitbeinig über den Sattel und ließ sich vorsichtig auf ihm nieder. Mitsuki lief es heiß und kalt über den Rücken, als die an die Zapfen dachte, die eben noch aus dem Sattel herausragten. Sakura, nun fest auf dem Leder sitzend, breitete die Arme aus. Die beiden jungen Frauen legten um ihre Handgelenke breite Manschetten, die sofort mit Haken an den Balken befestigt wurden. Ebenso wurden Sakuras Fußgelenke am Boden des Podestes befestigt. Mitsuki wurde ein wenig bang um ihre Freundin und kurz dachte sie an die Möglichkeit, mit ihrem Handy die Polizei zu rufen, als zwei Frauen, sicherlich beide weit jenseits der 50, den Raum betraten. Sie begutachteten erst die gefesselte Sakura, dann scheuchten sie die jüngeren Frauen aus dem Raum. Die Tür fiel ins Schloss und Sakura war allein mit den beiden alten Japanerinnen.

Die Frau, die vor Sakura stand, schien etwas zu ihr zu sagen, denn Sakura nickte ein paar Mal. Dabei vermied sie es die Alte anzuschauen, starrte stattdessen auf den Boden. Die Frau, die sich hinter Sakura auf den Boden gekniet hatte, schlug das Hinterteil des Umhangs zur Seite, betrachtete Sakuras Rücken, nickte wohlgefällig und griff zu einen Stück Tuch, aus dem sie zwei, etwa 30 Zentimeter lange, Stöckchen auswickelte. Dann begann bursa escort sie, mit großer Vorsichtig wie es schien, auf Sakuras Rücken zu schlagen.

Obwohl sich Mitsuki keinen Reim auf das machen konnte, was sie vor sich sah, ergriff sie eine eigenartige Unruhe. Zu gerne hätte sie gesehen, was hinter Sakuras Rücken passierte.

Sakuras Blick war nun nach vorne gerichtet, und obwohl schon nach kurzer Zeit die ersten Tränen über ihr Gesicht liefen, hatte Mitsuki den Eindruck, ihre Freundin wäre überglücklich über das, was gerade mit ihr geschehe.

Eine halbe Stunde mochte vergangen sein, als Sakuras Kopf nach vorne sackte und auf ihrer Brust verharrte. Die beiden Alten unterhielten sich kurz, eine rief etwas, und sofort ging die Tür auf und die beiden jungen Frauen betraten den Raum. Eine der Beiden packte Sakuras Haare und drehte sie blitzschnell zu einem Zopf, während die andere schon ein Seilstück in den Händen hielt, welches sie geschickt um die schwarz glänzenden Haare schlang. Das Seil wurde, an einem für Mitsuki unsichtbaren Balken an der Decke befestigt. Als dies vollbracht, und noch einmal auf Festigkeit überprüft, war, verließen die Jungen den Raum so schnell, wie sie gekommen waren.

Nach kurzer Zeit hatten die beiden alten Frauen ihren Rhythmus gefunden. Etwa zehn Minuten schlug die Eine auf Sakuras Rücken ein, dann hielt sie kurz inne und Sakura bekam zwei saftige Ohrfeigen, die sie aus ihrer Lethargie rissen.

Eine weitere Stunde mochte vergangen sein, langsam verschwand die Sonne vom Himmel, und Mitsuki starrte immer noch gebannt auf das Schauspiel, das sie ihr bot. Sakura schien inzwischen am Ende ihrer Kräfte angekommen zu sein, denn immer kürzer wurden die Abstände zwischen den Ohrfeigen. Bis die Frau, die vor Sakura stand, ein kleines Kästchen aus ihrem Gewand zog und es aufklappte. Sie teilte Sakuras Gewand auf der Vorderseite, und im nächsten Augenblick schrie Sakura laut auf. Mitsuki konnte nicht sehen was mit ihrer Freundin geschah, aber das sie Schmerzen litt, war offensichtlich.

Wie lange das noch ging konnte Mitsuki nicht sagen, denn jegliches Zeitgefühl war ihr inzwischen abhanden gekommen. Irgendwann ließen die beiden Alten von Sakura ab, verließen ohne ein weiteres Wort den Raum, bis kurze Zeit später die beiden Mädchen kamen und Sakura aus ihrer Position befreiten. Gestützt auf die Beiden verließ Sakura den Raum.

Mitsuki hatte genug gesehen. Sie verstand zwar nichts von dem, was sie gesehen hatte, aber dass sich ihre schlimmsten Befürchtungen nicht bewahrheitet hatten, beruhigte sie erst einmal. Ohne auf sich aufmerksam zu machen, verließ sie ihren Beobachtungsposten, schlich vom Grundstück des jetzt noch viel mysteriöser erscheinenden Hauses, trat auf die Straße, stieg in ihren Wagen und fuhr nach Hause.

In ihrer Wohnung angekommen, legte Mitsuki den Schlüssel und ihre Handtasche auf die Kommode, ging ins Bad um sich zu erleichtern und anschließend die Zähne zu putzen. Als sie in ihrem Zimmer auf der Bettkante saß, und sich eine Zigarette ansteckte, hörte sie die Wohnungstür.

“Hey du!” Sakura steckte den Kopf durch die Tür und grinste Mitsuki an. “Noch auf?”

“Raucht du noch eine mit?”, fragte Mitsuki und hielt Sakura auffordernd das Päckchen hin.

“Gerne. Aber lass mich erst die Sachen in mein Zimmer bringen.”

Die Beiden saßen sich gegenüber, und in Mitsuki rumorte es gewaltig. Sie hatte so viele Fragen auf der Zunge liegen, dass sie fast daran zu ersticken drohte. Andererseits plagte sie das schlechte Gewissen, weil sie Sakura hinterher spioniert hatte. Nur zu gerne hätte sie sich bei Sakura entschuldigt.

“Weißt du eigentlich, was für ein Tag am Samstag ist?”, brach Sakura das Schweigen.

“Samstag. Was sonst?”, antwortete Mitsuki viel patziger als sie es wollte.

“Ja. Auch. Und am Samstag habe ich Geburtstag!”

“Liebste Freundin!” Mitsuki schaute Sakura mitleidig an. “Du hattest gerade eben erst Geburtstag!”

“Nach eurem Kalender. Nicht nach unserem!”

“Und wie alt wirst du? Wenn ich dich das überhaupt noch fragen darf?”

“21. Ich werde volljährig. Endlich bin ich eine richtige Frau!” Sakura strahlte, obwohl ihr das schlechte Gewissen ins Gesicht geschrieben stand.

“Schön! Erinnere mich daran, dir zu gratulieren.” Mitsuki drückte ihre Zigarettenkippe aus und sah Sakura an. “Ich bin müde. Ich möchte jetzt schlafen.”

In der Tür stehend, drehte sich Sakura noch einmal um. “Schlaf schön, und träum was süßes!”

“Du auch”, antworte Mitsuki und blickte in die tränenfeuchten Augen ihrer Freundin, bevor sie das Licht löschte und sich die Decke über den Kopf zog.

*

Am nächsten Morgen, es war der Freitag vor Sakuras Geburtstag — nach ihrem Kalender! — saßen sich die Beiden am Frühstückstisch gegenüber.

Sakura blickte kurz über den Rand ihrer Kaffeetasse und sah, wie Mitsuki verlegen ihren Blick senkte. Sie legte die Hand auf die ihrer Freundin und sagte leise: “Morgen hat das alles ein çanakkale escort Ende. Und dann beantworte ich dir jede Frage, die du mir stellst. Versprochen!”

Mitsuki spürte die Wärme, die von Sakuras Hand ausging. Sie blickte ihrer Freundin in die Augen und ein schmales Lächeln zog sich über ihr Gesicht. Sie nickte langsam, holte tief Luft und sagte: “Eine Frage musste du mir aber heute beantworten. Sofort!” Und als sie sah, wie Sakura sie, ohne etwas zu sagen, fragend anschaute, fuhr Mitsuki fort: “Gibt es da eine andere Frau? Oder vielleicht einen Kerl, von dem ich wissen sollte?”

Sakura streichelte liebevoll über Mitsukis Hand. “Nein! Weder, noch! Das verspreche ich dir hoch und heilig!” Und nach einer kleinen Pause: “Das würde ich dir nie antun! Meine Gefühle für dich sind noch viel stärker, als du es dir vielleicht vorstellen kannst. Und ich werde es dir beweisen. Morgen!”

Mitsuki fiel eine zentnerschwere Last von der Seele. Sie schaute Sakura an, und unfähig auch nur einen einzigen Ton zu sagen nickte sie.

“Ich lasse die Vorlesungen heute sausen”, sagte Sakura, stand auf, und stellte ihre Tasse in die Spüle. Hinter Mitsuki stehend, legte sie ihre Hände auf ihre Schultern, und massierte die Nackenmuskeln ihrer Freundin, so wie sie es gerne hatte. “Ich muss heute noch einmal weg. Das letzte Mal!”

Sakura zog die Wohnungstür hinter sich zu, und Mitsuki saß immer noch am Tisch und weinte still vor sich hin. Eigentlich wusste sie gar nicht, warum sie wieder Tränen vergoss. Ihre schlimmsten Befürchtungen waren nicht eingetreten, denn sie glaubte Sakura jedes Wort, das sie gesagt hatte. Sie steckte sich eine weitere Zigarette an, zog geräuschvoll die Nase hoch und musste urplötzlich laut lachen. Ihr Blick fiel auf die Uhr an der Wand, es war Zeit für sie zu gehen. Doch dann fiel ihr ein, dass sie kein Geschenk für Sakura hatte. Sie überlegte einen Augenblick, dann kam ihr der richtige Gedanke. Sie würde ebenfalls die Vorlesungen schmeißen, und stattdessen in die Stadt fahren. Sie ging in ihr Zimmer und rief eine Freundin an, um ihr mitzuteilen, dass sie und Sakura heute nicht kämen.

“Natürlich kopiere ich euch die Sachen. Ist doch wohl Ehrensache!”, kicherte die Freundin übermütig. “Wir wissen uns doch zu helfen. Oder etwa nicht?”

Nachdem sich Mitsuki frisch gemacht hatte, war sie in ihren Wagen gestiegen und zum Stadtpark gefahren. Die Schwüle der letzten Tage war einer angenehmen Wärme gewichen, der Himmel zeigte sich wolkenlos und die Enten auf dem kleinen See schnatterten um die Wette, während sie um die Brotkrumen rangelten, die eine Gruppe kleiner Mädchen ihnen zuwarfen.

Mitsuki lächelte und setzte ihren Spaziergang fort. Vorbei an einer Bank, auf der sich drei Rentner über das Fußballspiel am Vortag stritten, und einer Frau, die in der einen Hand ein Buch hielt, während sie mit der anderen ihren Kinderwagen schaukelte, nahm sie Platz auf der dritten Bank, streckte die Beine weit von sich und schloss die Augen. Tausend Gedanken schossen ihr durch den Kopf, aber keines der losen Enden ließ sich mit einem anderen Verknüpfen. Was würde ihr Sakura wohl erzählen? Sie hatte keine Ahnung!

Eine halbe Stunde war vergangen, die Frau mit dem Kinderwagen war inzwischen aufgestanden und weggegangen, und die Rentner stritten sich immer noch. Mitsuki warf ihre ausgedrückte Zigarettenkippe in den Mülleimer zu ihrer Seite, dann stand sie auf und machte sich auf den Weg zu Parkplatz, wo ihr Wagen stand.

Nach einigem Suchen fand Mitsuki das Geschäft in einer wenig frequentierten Seitenstraße. Die japanische Angestellte verbeugte sich auf traditionelle Art, und als sie Mitsukis Wunsch hörte, huschte ein Strahlen über ihr Gesicht.

“Einen Moment bitte”, verbeugte sich die Verkäuferin erneut, und tippelte mit kleinen Schritten, der knöchellange, eng geschnürte Kimono ließ nichts anderes zu, zu einem Regal, welches sich hinter einer Art Theke befand. Sie nahm eine Tasche aus feinstem Stoff heraus, legte sie auf das Glas, öffnete die kleinen Knöpfe an der Seite und nahm den Inhalt heraus, den sie aufgefaltet auf ein Seidenpapier legte. “Ein sündhaft schöner Kimono”, sagte die Verkäuferin andächtig und blickte fast liebevoll auf das kurze Kleidungsstück.

Mitsuki berührte vorsichtig mit den Fingerspitzen die Seide, die so schwarz war, dass sie alles Licht zu verschlucken schien.

“Möchten Sie ihn vielleicht probieren?”

Mitsuki schüttelte den Kopf. “Er ist für eine liebe Freundin. Nur sie soll ihn tragen.” Und kaum hörbar fügte sie hinzu: “Ich habe eine große Schuld abzutragen.”

Die Verkäuferin senkte für einen Moment den Kopf, dann begann sie, den Kimono zusammenzulegen und in das Seidenpapier einzuschlagen. Die Stofftasche schob sie vorsichtig in eine Plastiktasche, auf der ein stilisierter, goldener Drache auf schwarzem Grund abgebildet war. Sie nahm Mitsukis Kreditkarte und reicht ihr den Beleg zur Unterschrift. Mitsuki die Tür aufhaltend, sagte sie leise: “Ihr Freundin wird Ihnen verzeihen. çankırı escort Haben Sie keine Angst!” Mitsuki nickte stumm und trat hinaus auf die Straße.

*

Sakura wurde wach, weil jemand sie vorsichtig am Arm berührte. Schlaftrunken öffnete sie die Augen. Die Leuchtanzeige des Weckers zeigte die erste Minute des neuen Tages. “Sakura?”, flüsterte sie leise.

Anstatt eine Antwort zu bekommen, spürte sie, wie ihre Bettdecke angehoben wurde, ein weicher, warmer Körper an sie heranrutschte und ein Arm zärtlich über ihren Bauch streichelte. “Natürlich bin ich es”, flüsterte Sakura. “Oder hast du jemand anderen erwartet?”

“Du bist eine dumme Nuss”, sagte Mitsuki leise in die Dunkelheit hinein. Sie drehte sich zu Sakura, und ihre Hand berührte flüchtig die Brüste ihrer Freundin. Sie stöhnte auf, denn mit einem Schlag wurde ihr so richtig bewusst, wie sehr sie in den letzten Wochen Sakuras Zärtlichkeiten vermisst hatte. Die Lippen der Beiden fanden sich und sie verschmolzen in einem nicht enden wollenden Kuss.

“Ich weiß, dass ich dir in den letzten Wochen sehr weh getan habe”, sagte Sakura leise, und Mitsuki ahnte, dass ihre Freundin in diesem Augenblick heiße Tränen vergoss.

“Das ist wahr”, antwortete Mitsuki mit einem Klos im Hals. Dann erinnerte sie sich, welcher Tag war, und sie schlang ihren Arm um Sakura. “Ich wünsche dir einen ganz lieben Geburtstag! Und dass sich all deine Wünsche erfüllen, das wünsche ich dir am meisten!”

“Du hast mir also verziehen?”, fragte Sakura.

“Du wirst mir noch einiges erklären müssen”, sagte Mitsuki, die inzwischen den Schlaf abgeschüttelt hatte. “Aber ja. Natürlich habe ich dir verziehen.” Sie richtete sich ein wenig auf und sagte in Sakuras Richtung: “Machst du mal das Licht an? Ich habe nämlich eine Überraschung für dich.”

“Später”, flüsterte Sakura und rollte sich über Mitsuki, die unter dem Gewicht ihrer Freundin aufstöhnte, gleichzeitig aber die Schenkel spreizte und die Beine über Sakuras Po verschränkte. Sakura begann sofort, ihren Unterleib gegen den ihrer Freundin zu pressen und zu reiben. “Fass meine Nippel”, keuchte sie, und als Mitsuki vorsichtig die steif gewordenen Brustwarzen zwischen ihren Fingern hin und her rollte, stöhnte Sakura geil auf. “Fester!”, keuchte sie und wieder “Fester!”, bis Mitsuki Sakuras Tränen auf der Brust spürte. “Fester! Fester!”

Ehe sie sich versahen, war aus den zärtlichen Anfängen eine handfeste Liebesrangelei geworden. Die über die letzten Wochen aufgestauten Emotionen entluden sich fast schon gewalttätig, keine stand der anderen in irgendetwas nach, und weder Mitsuki noch Sakura waren gewillt, auch nur einen Zentimeter Boden aufzugeben. Inzwischen hatte sich das Blatt gewendet, und Sakura lag mit dem Rücken unten, während Mitsuki mit dem Rücken auf Sakuras Bauch lag. Sakura hatte ihre Beine um Mitsuki geschlungen und spreizte mit aller Kraft die Schenkel ihrer Freundin. Mit einer Hand hielt sie Mitsuki Mund und Nase zu, während sie mit der anderen derb in ihren Schritt packte. Sich dort festzuhalten war allerdings fast unmöglich, denn Mitsukis Möse produzierte eine solche Menge an glitschigem Saft, wie sie es noch nie erlebt hatte. Sakuras Nippel dagegen brannten derweil wie Feuer, so hart drückte und zerrte Mitsuki an den empfindlichen Lustknospen.

Als sie einige Zeit später, erschöpft, und nach Luft hechelnd, ihre Rangelei einstellten, und sich stattdessen liebevoll in den Armen lagen, sagte Mitsuki leise: “Darf ich dir jetzt dein Geschenk geben? Ich möchte so gerne sehen, ob du dich darüber freust.”

Sakura strich mit der Rückseite ihrer Hand über Mitsukis Flanke. “Ich muss dir aber vorher noch etwas beichten.”

“Beichten …?”

“Na ja. Beichten, sagen, zeigen … Und ich habe ziemlichen Schiss davor.”

Mitsuki legte ihre Hand auf Sakuras. “Du hast mir gesagt, dass meine Eifersucht unbegründet war. Und ich habe dir jedes Wort geglaubt! Was könnte es noch geben, was dir solche Angst macht?”

“Ich habe Angst, dass du mich danach nicht mehr liebst, oder mich vielleicht aus der Wohnung wirfst … “

“Nun mach aber mal halblang!”, begehrte Mitsuki auf, und in ihrer Stimme schwang ein richtig böser Unterton mit. Sie setzte sich auf, drückte den Schalter der Nachttischlampe, und sah aus dem Augenwinkel heraus, wie sich Sakura blitzschnell das Bettdeck bis zum Kinn hochzog. Mitsuki reichte ihrer Freundin eine Zigarette, nahm eine weitere aus der Packung und schnippte mit dem Feuerzeug. Sie inhalierte tief und stieß den Rauch durch die Nase wieder aus. “OK”, sagte sie. “Um es sich leichter zu machen, entschuldige ich mich bei dir zuerst.”

Sakura hielt mit der einen Hand immer noch krampfhaft die Bettdecke über ihrem Busen fest, während sie in der anderen die Zigarette hielt. “Für was willst du dich entschuldigen?”

Mitsuki nahm noch einen Zug, dann sagte sie: “Ich habe dir hinterher spioniert!” Sie blickte auf Sakura, die aber nicht mal mit den Wimpern zuckte. “Na ja. Ich war halt überzeugt davon, dass du eine andere hast. Und irgendwann wollte ich einfach Gewissheit haben. Deshalb bin ich dir nachgefahren, habe dich in dem Haus verschwinden sehen, und … “

“Hast mich durchs Kellerfenster beobachtet!” Über Sakura Gesicht zog breites Grinsen, als sie den entsetzten Gesichtsausdruck ihrer Freundin sah.

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Neue Kollegin

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Babes

Meine neue Arbeitskollegin fand ich sofort als ich sie sah ausgesprochen sexy. Sie heißt Beate, ist zierlich und schlank hat dabei aber recht große Titten. Natürlich weiß sie wie sie auf Männer wirkt und es scheint ihr zu gefallen denn sie zieht sich auch immer sehr sexy an.

Dass sie mir auch sehr gefällt hatte sie nicht bemerkt. Ich wollte sie unbedingt verführen und deshalb lud ich sie zu einem Stadtbummel am Samstag ein. Beate freute sich sehr da sie noch neu in der Stadt war.

Und so zogen wir samstags los und bummelten durch die Geschäfte. Schließlich kamen wir an einem Sexshop vorbei und ich sagte ihr, dass ich noch schnell was besorgen möchte. Sie wurde rot und meinte sie würde lieber draußen warten. Aber ich ließ das natürlich nicht zu. Ich gab nicht eher Ruhe bis sie endlich einverstanden war mit hinein zu gehen.

Es war das erste Mal dass Beate einen Sexshop betrat.

Drinnen schaute sie sich mit großen neugierigen Augen um. Zunächst war Beate noch sehr gehemmt aber nach und nach wurde sie endlich lockerer und die Blicke der anwesenden Männer schienen sie auch nicht mehr zu stören.

Wir stöberten bei den Toys und so manches der Teile landete schließlich in unserem Einkaufskorb. Anschließend gingen wir zu ihr nach Hause und tranken Kaffee. Natürlich packten wir unsere neu erworbenen Schätzchen neugierig aus.

Ich hatte einen Umschnalldildo, balıkesir escort Handschellen und einen Monsterdildo samt Gleitgel gekauft. Beate hatte sich Liebeskugeln und einen Vibrator mitgenommen.

Ich konnte Beate ansehen, dass sie neugierig war ihr Spielzeug auszuprobieren. Zumal sie mir gestanden hatte, dass sie bisher nie Spielzeug benutzt hatte.

Schließlich öffnete Beate eine Flasche Sekt und ich schlug vor unsere Spielsachen zu testen. Beate schaute mich ungläubig und erstaunt an aber ich konnte die Erregung in ihren Augen sehen.

Ich wusste wenn ich sie rumkriegen wollte dann war das jetzt die Gelegenheit. Also ließ ich ihr praktisch keine Wahl. Ich stand auf und zog mich vor ihren Augen langsam aus bis ich völlig nackt vor ihr stand.

Dann nahm ich mir den riesigen Dildo und setzte mich mit gespreizten Beinen auf einen Sessel. Zunächst streichelte ich über meine Titten und dann ganz langsam über mein schon feuchtes Fötzchen.

Beate starrte mich an. Ihr Gesicht war knallrot. Ich wusste, dass sie bei dem Anblick geil wurde. Meine Fotze wurde immer feuchter und ich nahm mir nun den Dildo vor. Langsam drückte ich ihn in meine nasse Fotze. Ich stöhnte leise auf als er endlich tief in mir steckte.

Beate fasste sich nun unter ihren Rock und begann sich verschämt zu streicheln. Wir schauten uns an und lächelten bartın escort uns zu. Ich wusste, dass dies nun meine Chance war. Ich zog den Dildo aus meiner Fotze raus, stand auf und ging zu Beate hinüber.

Ich setze mich neben sie und gab ihr sanft einen Kuss auf ihre Wange. Sie war total überrascht und drehte den Kopf zu mir. Ich presste meine Lippen auf ihre Lippen. Und endlich entspannte sich Beate. Sie öffnete ihren Mund und unsere Zungen spielten miteinander.

Während Beate sich weiter streichelte zog ich ihr die Bluse und den BH aus. Zum Vorschein kamen wundervolle pralle Titten. Ich beuge mich etwas nach unten, nahm einen Nippel in meinen Mund und saugte daran was Beate mit einem Stöhnen quittierte.

Schließlich streifte sie ihren Rock und String ab und ich konnte einen Blick auf ihre glatt rasierte wundervoll nass glänzende Fotze werfen. Sofort kniete ich mich zwischen ihre gespreizten Schenkel. Ich beugte mich vor und begann ihre saftige Fotze mit meiner Zunge zu lecken. Immer wieder ließ ich meine Zunge zwischen ihre Schamlippen gleiten bis zu ihrem Kitzler während ich mit den Händen ihre wundervollen Titten kräftig massierte.

Dann stand ich auf und legte den Umschnalldildo an. Beate meinte lachend, dass das doch jetzt wohl nicht mein ernst sei aber ich ging zu ihr und forderte sie auf sich auf den Boden zu knien. batman escort Sie gehorchte und ich kniete mich hinter sie. Ich setzte den Dildo an und schob ihn in ihre nasse Fotze.

Zuerst langsam und dann immer schneller und härter. Beates Titten wippten wild vor und zurück während ich sie immer brutaler fickte. Dann verlangte ich von Beate die Hände auf den Rücken zu legen. Sie tat was ich ihr befohlen hatte und ich legte ihr die Handschellen an. Ich drehte Beate um und legte sie auf den Rücken und spreizte ihre Schenkel.

Ich griff nach dem Monsterdildo. Beate sagte entsetzt, dass der viel zu groß für sie sein aber ich lächelte sie nur an und sagte ihr sie solle sich entspannen. Dann setzte ich den riesigen Dildo an. Ganz langsam drückte ich den Dildo in ihre geile Fotze. Beate keuchte. Ich nahm noch etwas Gleitgel und schob ihr den Dildo schließlich ganz in ihre Fotze.

Immer fester ficke ich Beate mit dem Dildo bis sie schließlich laut stöhnte. Inzwischen war ihre Fotze richtig offen und gedehnt. Und ich nutzte die Gelegenheit um den Dildo nun durch meine Finger zu ersetzen. Beate stöhnte immer lauter und ich spürte, dass sie kurz davor war zu kommen.

Also drückte ich vorsichtig alle Finge in sie und schließlich ließ ich meine ganze Hand in ihre saftige Fotze gleiten. Das war zuviel für Beate sie stöhnte und kam während ich sie mit der ganzen Hand fickte.

Danach legte ich mich auf den Rücken und Beate leckte meine Fotze bis ich zu einem wundervollen Orgasmus kam.

Tja, das war mein Erlebnis mit meiner geilen Arbeitskollegin. Natürlich haben wir seither weitere „Einkaufsbummel” unternommen und es war jedes Mal ein ganz besonderes Erlebnis.

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Vanessa Es Geht Weiter

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Vanessa und es geht weiter.

Vanessa ist Anfang 20 und ist im ersten Semester. Sie studiert Sport in einer größeren Stadt nicht weit von ihrem Wohnort. Mit Ihrem Freund Alex wohnt sie zusammen in einer kleinen Wohnung. Er arbeitet in Schichten in einem großen Betrieb auf Montage. Auch oft an den Wochenenden. Da kommt es schon mal vor, dass beide sich nur kurz oder auch manchmal nicht sehen.

Einen besseren Partner als Alex kann Vanessa sich nicht denken. Er ist so tolerant und gibt ihr alle Freiheiten. Beide vertrauen blind einander. Es gibt keine Geheimnisse. Alex weiß von Vanessas Gefühlen für Frauen und hat kein Problem damit.

Das Studium ist sehr ansprechend und sicher auch nicht für jeden geeignet. Vanessa lag es und sie ging gerne in die Uni. Von anderen Menschen umgeben zu sein. Gefordert zu werden. Leistungen zu zeigen und auch durch gute Noten sich einen gewissen Stand zu erarbeiten. Nun konnte sie allen zeigen, was wirklich in ihr steckt.

Kurz hatte sich ihr Verlangen nach einer Frau gelegt. Zu viel neues war auf sie eingeströmt. Dieser Zustand hielt aber nicht lange an. Gerüchte um eine Dozentin holen sie zu ihren Gedanken um eine Frau zurück.

Erst war es nur so kleines Getratsche. Dann schien doch was Wahres daran zu sein. Eine Dozentin hatte ein festes Verhältnis zu einer Frau. Sie hieß Koch und war um die Mitte 30. Sie war eine sportliche Frau. Schlank und attraktiv. Doch dann war es Gewißheit. Ja, sie lebte mit einer Frau in einer lesbischen Beziehung.

Für Vanessa war es ein aufregender Gedanke. Wenn sie vor der Klasse stand, stellte sie sich vor, wie sie mit der anderen Frau kuschelt und auch Sex hat. Sie freute sich schon darauf, wenn sie Unterricht bei ihr hatte. Vanessa musterte sie genau. Sie kannte jede Bewegung welche Sie zu verschiedenen Situationen machte. Sie wollte mehr über sie erfahren. Vanessa wollte wissen, was sie für ein Mensch ist und was sie so macht. Dazu kam ihr wieder das Internet zu Hilfe.

Mit einigen anderen Mitschülern wurden die Kontaktdaten von Facebook ausgetauscht. Abends und an den Wochenenden wurde etwas geschrieben. Dort fand Vanessa sie. Ja das war sie. Sie hatte sie wirklich gefunden. Da waren ihre Bilder und es stand ihr Name…

Sina Koch!

Gespannt versuchte sie alles zu lesen was das über sie geschrieben stand. Vanessa fand auch ihre Partnerin dort. Es war Bianca. Über Bianca konnte sie nicht viel erfahren. Ein paar Bilder, aber sonst nicht viel. Die Seite von Sina war viel aufschlußreicher. Sina ihr Hobby war zeichnen und was für schöne Bilder! Es waren einige zu sehen. Auch welche von ihr und Bianca.

Vanessa ihre Gedanken kreisten wenn sie Ruhe hatte und alleine war.

Dabei ließ dabei ihren Gefühlen freien Lauf. Sie hatte die wildesten Gedanken um Sina.

Wie macht sie es mit Bianca? Ist sie sexuell offen oder doch etwas ruhiger? Ob es da auch so was wie spontanen Sex gibt? Einfach mal so in der Küche oder im Bad? Oder haben sie etwa das Licht dabei aus und es läuft nur so ab? Nein, so was langweiliges konnte sie sich bei Sina nicht vorstellen.

Vanessa erwische sich immer öfters, dass sie an Sina dachte wenn sie Sex mit Alex hatte.

Wenn sie abends schlafen ging, passierte es immer öfters, dass ihre Finger zwischen ihre Beine wanderten uns sie an mit dem Gedanken um Sina einschlief. Es gab auch Gelegenheiten, wo sie sich bis zum Orgasmus streichelte. Dabei waren die Vorstellungen, Sina ihre Muschi zu lecken. Ja, warum auch nicht? Es sind ihre Gedanken und warum sollte sie es unterdrücken?

Vanessa freute sich immer mehr Sina in der Schule zu sehen. Dann schlug ihr Herz gleich immer schneller und sie hatte Angst, das Sina was bemerken konnte. Es wäre ihr peinlich gewesen, wenn Sina merken würde wie es um sie steht.

Eines Tages stand Sport auf dem Stundenplan. Frau Koch war zu der Sportstunde eingetragen. Alle trafen sich dazu in der Turnhalle. Vanessa suchte sich einen Platz weit vorne.

Irgendwie wollte sie nah bei Sina sein. Sina hatte eine enge Gymnastikhose an. Als Oberteil trug sie ein weit ausgeschnittenes Shirt. Vanessa fragte sich, ob Sina einen BH trägt. Sie musterte sie genau aber unauffällig. Nur sie konnte es nur ahnen oder raten. Gewißheit hatte sie nicht.

Nach ein paar Aufwärmübungen ging es um verschiedene Bewegungen, welche verschiedene Muskeln beanspruchen sollten. Sina machte die Bewegungen vor, welche die Klasse nachmachen sollten. Dazu beugte sie sich weit und langsam nach vorne. Nun bekam Vanessa einen Einblick, den sie sich schon so lange erhofft hatte.

Es dauerte nur einen kurzen Augenblick. Das was Vanessa sehen konnte prägte sich sofort ein. Bilder, die wie auf einer Festplatte für immer gespeichert waren. Nun war es gewiß, Sina trug keinen BH. Vanessa konnte es sehen. Schöne feste Brüste. Vanessa traf es wie ein Messerstich. Es durchfuhr sie durch den ganzen Körper. Es war wie ein Blitz der sie traf… und zwischen ihren Beinen endete…

Was war nun los? Sie war urplötzlich aufgewühlt. Es durchfuhr durch ihren ganzen Körper. Sie merkte wie ihr Kitzler anschwoll und ihre Muschi feucht wurde.

Vanessa bayburt escort glaubte sich nicht mehr im Griff zu haben. Könnte Sina was merken? Mehren die Anderen was? Hat sie einen roten Kopf vor Erregung? Könnte ihre Feuchtigkeit durch die enge Hose und den winzigen Slip den sie trug nach außen dringen? Sie versuchte sich abzulenken, sich auf den Unterricht zu konzentrieren. Vanessa war froh, als die Sportstunde zu ende war.

Schnell fuhr sie mit ihrem kleinen Auto nach Hause. Wie erwartet was sie dort alleine. Sie hatte immer wieder die Bilder vor Augen…

Sina beugt sich nach vorne uns sie hat freien Blick auf ihre Brust. Ihre enge Hose, wo sich ihr String deutlich abzeichnete…

Sie hatte die Augen geschlossen und lag in der Stube auf dem Sofa. Sie hatte ihr Jeans geöffnet und Vanessa ihre Hand war darin verschwunden. Sie streichelte sich. Saugt dabei tief die Lust in sich. Ihr Atem wurde immer schwerer und tiefer. Sie liegt ohne Schuhe auf dem Sofa, nur in Socken. Ihre Füße beginnen die Zehen einzukrallen. Gedanken kreisen… Sina… Ihre Brüste, der Einblick…

Es kommt heftig über Vanessa.

Mehrere Wellen eines starken Orgasmus überschütten sie.

Es dauert lange bis sie zu sich kommt. Sie öffnet die Augen.

Liegt da und bewegt sich nicht. Ihr Blick geht ins Lehre aus dem Fenster, in den Himmel. Sie bemerkt nicht die Wolken, welche vorüberziehen…

Vanessa schaute sich immer wieder die Zeichnungen von Sina im Internet an. Was muss man nur für eine Gabe haben, um so zeichnen zu können. Vanessa faßte einen Entschluß, den sie auch bald in die Tat umsetzen würde.

Sie wartete eine passende Gelegenheit, ab um Sina in der Uni alleine zu treffen. Dann war es soweit. Sie hatte wieder Unterricht bei ihr und die Stunde war zu enden.

Alle anderen verließen schnell den Raum. Sina packte ihre Sachen zusammen und Vanessa ließ sich viel Zeit ihren Hefter und Bücher zu verstauen.

Dann war Sie alleine mit ihr im Unterrichtsraum.

Sie traute sich und sprach sie an. „Frau Koch, darf ich sie mal was fragen?”

Die Worte kamen leise über ihre Lippen. Innerlich war sie aufgeregt.

Hoffentlich bemerkte Sina es nicht. „Na klar Vanessa, was möchten sie denn wissen” war die Antwort. „Ich habe ihre Zeichnungen gesehen und finde sie wunderschön. Zeichnen sie auch für andere?” „Das habe ich noch nicht gemacht” erwiderte sie „Wie meinen sie dass Vanessa?”. „ob sie mich mal zeichnen würden? Es sollte ein Bild für meinen Freund sein”.

Sina überlegte und sagte „Da muss ich erst mal darüber nachdenken, ich sage ihnen Bescheid”

Tage vergingen. Vanessa hatte Sina in der Uni nicht gesehen. Sie unterrichtete ja auch nicht jeden Tag.

Dann sah Vanessa sie von weitem. Sina entdeckte sie auch und rief „Vanessa” laut über den Flur. „Ich hab nachgedacht und warum soll ich es nicht mal versuchen Sie zu zeichnen. Übermorgen, am Freitag, haben wir die letzte Stunde zusammen Unterricht und danach können wir es ja machen. Ich bringe alles mit was ich brauche. Passte es ihnen da?” Natürlich passte es Vanessa und wenn nicht, würde sie es schon so einrichten, dass es klappt. „Also dann bis Übermorgen” und schon war Sina verschwunden.

Vanessa konnte den Freitag nicht erwarten. Der Vormittag wollte nicht vergehen. Dann kam die letzte Stunde. Sina kam zur Tür herein und hatte eine größere Tasche dabei. Sicher waren dort die Utensilien für das Zeichen verstaut. Also würde es klappen!

Die Stunde war nicht Langweilig. Nicht nur das Sina einen guten Unterricht machen konnte, Vanessa beobachtete jede Bewegung von ihr. Sie hoffte, dass es nicht so auffiel, wenn sie Sina so in Augenschein nahm.

Die Stunde war zu ende. Alle waren froh die Uni zu verlassen und stürzten sich in das Wochenende.

Vanessa blieb auf ihren Stuhl sitzen. Sina packte etwas zusammen und sagte nebenbei zu Vanessa „Na, da wollen wir beide gleich loslegen”.

Vanessa hätte jetzt am liebsten eine zweideutige Bemerkung gemacht, aber sie ließ es lieber sein. Statt dessen antwortete sie „Ja, es ist schön, dass sie mich zeichnen wollen. Mein Alex wird sich sicher sehr freuen, wenn er das Bild sieht”.

„Na, so schnell geht es nicht” erwiderte Sina. „Ich zeichne nur ein paar Skizzen. Den Rest mache ich dann zu Hause in Ruhe fertig. Ich habe heute noch was vor und meine Partnerin wartet auf mich.” Vanessa hörte die Worte und wusste nicht recht was sie nun sagen sollte. War es eine Anspielung auf ihr lesbisches Verhältnis oder auf den Zeitdruck?

„Vanessa” sagte Sina „wir können das Sie lassen, wenn keiner weiter dabei ist. In der Uni wird es nicht gerne gesehen wenn Schüler und Dozenten „du” zu einander sagen. Ich finde es zwar richtig affig, aber so sind nun mal die Regeln. Ich habe das „Sie” nicht gemacht und kann es auch nicht ändern. Wenn du es akzeptierst mich vor anderen mit Sie anzureden, hätte ich damit kein Problem.” Vanessa stutzte kurz und holte Luft. Doch bevor sie was sagen konnte, meinte sie „sag einfach Sina”. „Ähm, das wäre mich sehr recht und für mich ist es sowieso Okay” antwortete Vanessa.

In der bilecik escort Zwischenzeit hatte Sina einen großen Zeichenblock und Stifte ausgepackt. „So nun will ich dich mal in Position bringen”.

Mit diesen Worten ging sie auf Vanessa zu und rückte sie auf dem Stuhl zurecht, wie sie es für richtig hielt. Selber setzte sie sich an einen gegenüber stehenden Tisch und begann zu zeichnen.

Vanessa schaute was sie da auf das Papier brachte. Das soll ein Bild werden? Sina schien den skeptischen Blick zu sehen.

„Nein, keine Angst, es sind nur ein paar Skizzen. Zu Hause werde ich mir dann in Ruhe überlegen wie ich dich genau zeichne. Es soll doch ein Portrait werden” fragte sie. Vanessa hatte sich darüber noch nicht wirklich Gedanken gemacht. Eigentlich war es ja für sie ein Vorwand, um mit ihr alleine ins Gespräch zu kommen. Ja wie wollte Sina sie denn sonst zeichnen?

Als Antwort sagte sie „ach, du wirst das schon machen.” Sina zeichnete mit einer sehr flotten Hand. Sehr schnell brachte sie Vanessa ihr Gesicht auf das Papier. Zwischendurch stand sie auf und rückte Vanessa in eine andere Position.

Vanessa suchte das Gespräch und wollte das Thema auf ihre lesbische Seite lenken. Belanglos fing sie an zu reden. „Was hast du denn mit deiner Partnerin heute noch vor? Oder ist das geheim?”

Sina schaute sie kurz an. Vanessa sagte weiter „im übrigen habe ich kein Problem damit, dass du eine Partnerin hast”.

Sina hörte auf mit zeichnen. „Weißt du” sagte sie „noch vor Jahren habe ich es versucht geheim zu halten. Doch da gab es hinter meinem Rücken immer Gerede”. „Es ist besser wenn ich damit nicht hinter den Berg halte, da gehe ich den vielen Gerüchten aus dem Weg und ich fahre viel besser damit”. „Außerdem wenn es so ist, dann ist es so”. Die Offenheit gefiel Vanessa. Sina redete weiter. „Wir wollen heute Abend in einen Club, zu einer Art Stammtisch. Da treffen sich solche Paare, wie wir eins sind. Es ist immer schön, mit anderen zu reden, was zu trinken und Spaß zu haben. Deshalb will ich auch meine Bianca nicht warten lassen.”

„Das verstehe ich gut” sagte Vanessa, „es ist auch besser, wenn man manchmal mit offenen Karten spielt. Nur das kann ja nicht jeder.”

Ich hatte auch schon was mit Frauen und sehne mich danach” sagt Vanessa.

Sina erwiderte „Das habe ich vermutet, irgendwie weiß man dass dann.” „Aber nun hältst du mal besser still, damit ich fertig werde”.

Vanessa sagte kein Wort mehr. Hatte Sina bemerkt, dass sie auf sie steht? Das war nicht ihre Absicht und es war ihr fast peinlich! Oh man, wenn sie wirklich wüsste was für Gedanken sie hat!

Sina hatte einige Blätter mit Zeichnungen gefüllt. Sie klappte den Block zusammen und sagte „so, ich denke ich habe was ich brauche”. Sie stand auf und schob Block und Stifte in die große Tasche. Vanessa erhob sich ebenfalls und nahm ihren Rucksack. „Dann wünsche ich dir ein schönes Wochenende” sagte Sina. „Ich muss noch abschließen und den Schlüssel wegbringen, dann fahre ich auch nach Hause.” Vanessa wünschte auch ein schönes Wochenende und viel Spaß. Sina lächelte nur.

Am Montag bekam Vanessa Sina nicht zu sehen. In dieser Woche hatte sie auch keinen Unterricht bei ihr.

Dienstag Vormittag entdeckte sie ihr Auto auf dem Parkplatz. Also musste sie ja in der Uni sein.

Gegen Mittag sahen sich beide in der Mensa. Sina kam auf Vanessa zu und sagte „Vanessa, ich habe etwas für Sie”.

Sie gab Vanessa eine große Mappe. „Danke Frau Koch” mehr konnte sie nicht sagen und Sina war durch die Tür verschwunden.

Einige Mitschüler machten neugierige Blicke und wollten sicher wissen was in der Mappe war. Vanessa versteckte die Mappe unter den Tisch und öffnete sie nicht. Natürlich war sie sehr neugierig, aber es ging ja niemanden etwas an.

Nach der Schule stieg sie in ihr Auto und öffnete die Mappe. Die Zeichnung von Sina war wunderschön. Darauf schien es als wenn ihre Augen glänzten. Ein kleiner Zettel kam noch zu Vorschein. Darauf hatte Sina geschrieben … ich hoffe es gefällt deinem Freund. Gruß Sina … mehr nicht.

Am Abend schaltete Vanessa den Computer an und ging bei Facebook online. Ja, Sina wurde auch als „on” angezeigt. Vanessa schrieb sie einfach an.

Vanessa:

Hallo Sina, vielen Dank! Das Bild ist wunderschön. Mein Alex hat sich sehr gefreut. Er ist gleich losgefahren und hat einen passenden Bilderrahmen besorgt. Zusammen haben wir dann einen schönen Platz in unserer Wohnung ausgesucht. Nun hängt es schon!

Was bekommst du für deine Mühe?

Es dauerte nur eine Minute und Sina antwortete.

Sina:

Großer Quatsch, dafür will ich nichts haben. Außerdem musst du dich auch bei meiner Bianca bedanken. Sie hat einen sehr guten Geschmack und mir dabei geholfen wie ich dich zeichnen soll. Sie ist Fotografin und hat für die Perspektive und so was einen guten Blick.

Hauptsache es gefällt euch!

Vanessa:

Oh, ich wollte euch aber nicht die Zeit für das gemeinsame Wochenende nehmen!

Kannst du deiner Frau ein wirkliches Danke von mir sagen?

Sina:

Es ist schon Okay. Wir haben doch auch so bingöl escort die Zeit miteinander verbracht und hatten ein schönes Wochenende zusammen.

Vanessa:

Ihr wolltet ja zu dem Stammtisch. Wie war es denn, wenn ich fragen darf?

Sina:

Sehr schön! Die meisten kennen wir ja schon länger. Aber zu erzählen gibt es ja immer was.

Vanessa:

Mein Alex schaut sich immer wieder das Bild an und staunt. Er sagt gerade so, wenn es ein Bild gäbe, wo ich nackt darauf gezeichnet wäre… Das würde er in das Schlafzimmer hängen wollen.

So sind eben die Männer!

Sina:

Kann ich schon verstehen, wie er das meint. Von uns gibt es ja auch solche Fotos und Zeichnungen.

Vanessa:

Würdest du so eins auch von mir machen?

Sina:

Weiß nicht. Von Fremden habe ich so was noch nicht gemacht.

Vanessa:

War ja auch nur so eine doofe Frage…

Es verging ca. eine halbe Stunde, bis Sina eine Antwort schrieb.

Sina:

Habe mich gerade mit Bianca darüber unterhalten. Sie hat mir zugeredet dich als Akt zu zeichnen. Sie meinte es wäre für mich mal etwas anderes und man könnte nur daraus lernen. Wann würde ich schon so eine Gelegenheit wieder bekommen.

Vanessa:

Verstehe ich es richtig? Du würdest es machen?

Sina:

Ja, aber sicher nicht in der Uni. Würdest du dazu zu mir nach Hause kommen?

Vanessa:

Das verstehe ich doch! Wäre auch in der Uni unpassend… Ja, klar würde ich das tun!

Sina:

Habe gerade mit Bianca gesprochen. Wäre es dir am kommenden Sonnabend recht? So gegen 15 Uhr?

Vanessa:

Ja, würde bei mir passen.

Sina:

Gut, halten wir das mal so fest. Ich erkläre dir dann noch persönlich wo ich wohne und wie du am besten fahren solltest.

Es ist schon spät und wir wollen ins Bett. Sehen uns dann Morgen in der Uni.

Tschüß und schlaf gut!

Sina war dann gleich off. Vanessa musste sich den Verlauf noch ein paar Mal durchlesen, um zu begreifen was da so geschrieben stand. Sie würde zu Sina nach Hause fahren und sich vor ihr nackt ausziehen. Was würde sie da erwarten?

Am nächsten Tag, es war ein Donnerstag, stand Sina ihr Auto auf dem Parkplatz. Es war ja schon fast Winter geworden und auch geschneit. Das Auto hatte eine kleine Haube aus Schnee.

Sie hatte aber in anderen Klassen eine Vorlesung.

Es war Mittagspause und Sina tauchte plötzlich auf. „Vanessa, kommen sie mal bitte” rief sie. „Ja, Frau Koch” erwiderte Vanessa.

Beide gingen etwas abseits auf den Flur. Sina gab Vanessa einen Zettel. Darauf standen ihre Anschrift und eine Wegbeschreibung. Darunter eine Festnetznummer. Sie gab Vanessa noch ein paar Erläuterungen und sagte dass sie auch anrufen könnte, wenn sie es nicht gleich finden würde. Sie sagte noch dass 15 Uhr sehr gut wäre. Mehr Zeit zum reden war nicht und Sina war schon verschwunden.

Der Tag verlief recht unspektakulär. Die Vorlesung war mehr öde als interessant. Vanessa hatte den Zettel von Sina vor sich und kannte mittlerweile jedes Wort auswendig. Einiges an der Stecke kannte sie und in Gedanken sah sie sich schon im Auto sitzen und zu Sina fahren.

Ob da Bianca auch dabei sein würde? Oder war sie mit Sina alleine? Sie stellte sich selber viele Fragen, auf die sie keine Antwort wusste. Es war ja auch egal, nur sie würde Sina am Sonnabend wieder näher sein.

Die Vorlesungen waren zu ende. Am Abend war Vanessa alleine zu hause. Ihr Alex war wie immer auf Montage.

Vanessa ließ sich Wasser in die Wanne und stieg ein. Zuvor hatte sie ein paar Kerzen angezündet und das Licht ausgemacht. Die Kühle des Tages, der kalte Wind, ließ die Temperaturen richtig frostig erscheinen.

In der Wanne war es sehr angenehm. Sie lag da und hatte die Augen geschlossen. Dachte an Sina und was am Sonnabend so passieren würde.

Machte sie wieder nur ein paar Skizzen und das war es dann?

Es tauchten in ihren Gedanken wieder die Bilder auf, wo sie in Sina ihr Shirt schauen konnte. Was denkt eigentlich Sina über sie? Vanessa stellt sich vor, wie Sina heiße Gedanken über sie hat. Sich dabei selber streichelt… Ihre Hand versinkt im heißen Wasser und streichelt sich über den Bauch weiter abwärts zwischen ihre Beine…

Der Sonnabend war da! Vanessa hatte die Nacht vor Aufregung nicht gut geschlafen. Im Bett ständig von links nach rechts gedreht und wieder zurück.

Sie verbrachte lange Zeit in der Schlafstube und suchte Sachen aus, welche sie anziehen wollte. Mit der Unterwäsche hatte sie so ihre Bedenken. Es sollte nicht so einfach sein, aber auch nicht zu aufdringlich oder provozierend. Schließlich hatte sie doch noch das passende gefunden.

Jetzt Wasser in die Wanne lassen. Baden und frisch machen. Rasieren musste sie sich ja auch noch.

Schließlich würde ja Sina ihre Muschi sehen. Alles sollte doch glatt und ansprechend sein. Bei ihren Vorbereitungen hätte sie doch fast die Zeit verpasst. Nun musste sie sich aber beeilen um nicht zu spät zu kommen.

Sie stieg in das Auto und fuhr los. Je näher sie ihrem Ziel kam, um so aufgeregter wurde sie. Ihre Hände wurden feucht und rutschten über das Lenkrad. Es war alles leicht zu finden. Genau so wie Sina es aufgeschrieben hatte. Es war ein kleines Haus und sie hatte es gefunden. Ein Haus am Rande einer großen Stadt. Aber doch etwas abgelegen.

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Die Urlaubsbekanntschaft Teil 01

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Amateur

Endlich kam ich nach einer kleinen Oddysee mit dem Taxi in meinem Hotel an.

Das Einchecken ging zum Glück recht schnell. Die Dame an der Rezeption war auch sehr freundlich und sprach sogar deutsch. Sie hätten überwiegend deutsche Gäste, erklärte sie mir, als sie mein überraschtes Gesicht bemerkt hatte.

Als ich schließlich auf meinem Zimmer angekommen war, legte ich meinen Koffer aufs Bett und inspizierte zunächst das ganze Zimmer. Ich hatte eine schöne, frisch renovierte Dusche, ein Doppelbett und sogar einen recht großen Balkon mit zwei Liegestühlen und einem herrlichen Blick auf das schöne, blaue Meer über dem gerade die Sonne unterging.

Schließlich packte ich meinen Koffer aus und war froh mir endlich etwas “Luftigeres” anziehen zu können. Im Vergleich zu hier, war es in Deutschland noch recht kühl als ich abgeflogen war, so dass ich nun definitiv zu warm angezogen war.

Ich zog alle meine Klamotten aus, die ich einfach auf den Boden fallen lies und genoss nun die leichte Meeresbrise, die durchs offene Fenster über meine schweißnasse Haut streichelte.

Als ich schließlich alle meine Sachen verstaut und kurz geduscht hatte, zog ich meine Hotpants und ein T-Shirt an. Normaler Weise trage ich solche Sachen gar nicht mehr, da ich mir mit meinen 31 Jahren, für so ein Outfit eigentlich schon zu alt vorkomme. Doch hier, in meinem wohlverdienten Urlaub, war mir das einfach egal, zumal ich auch ziemlich stolz darauf war, dass ich noch immer eine schlanke, knackige Figur hatte, so dass man mich durchaus auch noch für 25 hätte halten können.

Ich ging noch in der Hotelbar eine Kleinigkeit essen und beschloss nach einem kurzen Spaziergang zurück in mein Zimmer zu gehen, da ich doch noch recht kaputt war.

Am nächsten Morgen ging ich gegen 9 Uhr hinab zum Frühstücksraum und setzte mich an einen kleinen Tisch. Das Buffet war recht üppig und so holte ich mir ein paar Brötchen mit allerlei Aufschnitt und etwas Rührei.

Inzwischen war der Frühstücksraum schon recht voll und wie ich an den Gesprächsfetzen die ich aufschnappte erkennen konnte, waren es tatsächlich überwiegend deutsche Touristen.

Ich trank gerade meinen Kaffee als plötzlich eine asiatisch aussehende junge Frau den Frühstücksraum betrat, sich kurz umsah und auf meinen Tisch zu steuerte.

Als sie schließlich an meinem Tisch angekommen war, fragte sie höfflich in akzentfreiem Deutsch, ob sie sich zu mir an den Tisch setzen dürfte. Natürlich hatte ich nichts dagegen und so setzte sie sich mir gegenüber.

Nachdem sie sich ebenfalls etwas vom Buffet geholt und sich wieder gesetzt hatte, hielt ich es für angebracht, mich zumindest kurz vorzustellen. Also sagte ich: “Hallo, mein Name ist übrigens Katja.”

“Hallo. Freut mich Dich kennen zu lernen! Ich heiße Yajing.”

“Kommst Du auch aus Deutschland?” wollte ich wissen.

“Ja, aus Hamburg.” und nach einer kurzen Pause fügte sie hinzu “Meine Mutter ist aus Thailand aber mein Vater kommt aus Hamburg.”

Und während wir noch ein wenig weiter Smalltalk machten, bemerkte ich, wie ausgesprochen hübsch sie war. Ihr schulterlanges, schwarzes Haar glänzte in der Morgensonne. Und obwohl sie eindeutig asiatischer Abstammung war, hatten ihre Augen und ihre Gesichtsform doch auch deutliche europäische Züge. Ich vermutete, dass sie etwas über 20 Jahre alt war, obwohl das bei Asiaten ja immer schwierig zu schätzen ist.

Da ich inzwischen auch schon fertig gefrühstückt hatte, verabschiedete ich mich von ihr und ging zurück auf mein Zimmer.

In wenigen Minuten war ich fertig für den Strand und machte mich auch sofort auf den Weg. Der Strand war nur wenige Minuten vom Hotel entfernt und begann sich schon langsam zu füllen.

Das Meer war tatsächlich so himmelblau wie im Prospekt abgebildet und der Sand war sehr fein und fast weis.

Ich breitete mein Handtuch aus, platzierte meine Sachen darum und zog mein Klamotten aus, so dass ich nur noch meinen Bikini anhatte, den ich darunter gezogen hatte.

Ich schaute mich um und bemerkte, wie hell meine Haut noch im Vergleich zu all den anderen Touristen war. Zu meiner Überraschung bemerkte ich, dass es hier offenbar üblich war, dass die Frauen oben ohne herumliefen. Mir war das nur recht, denn schließlich war ich immer sehr stolz auf meine strammen Brüste, also zog ich kurzerhand auch mein Bikini-Oberteil aus.

Schließlich legte ich mich auf mein Handtuch und holte meinen Erotik-Roman aus meiner Tasche und begann darin zu lesen. Es war schon seit Jahren eine kleine Schwäche von mir, dass ich immer so ein Schmuddelzeug las und seit einiger Zeit interessierte ich mich besonders für Lesben-Geschichten. Warum weiß ich nicht genau, denn eigentlich war ich immer “normal” und hatte auch gerade erst eine langjährige Beziehung mit einem Mann hinter mir. Aber ich muss gestehen, dass mich die Vorstellung, Sex mit einer Frau zu haben schon immer sehr angemacht hatte. Doch nie wäre ich auf die Idee gekommen, diese Fantasien auch in die Tat umzusetzen.

Ich las schon eine ardahan escort Weile in meinem Roman, als ich plötzlich merkte, wie sich jemand neben mich stellte. Als ich aufsah, bemerkte ich, dass es Yajing war. Sie fragte, ob sie sich zu mir legen dürfe. Natürlich hatte ich nichts dagegen, also breitete sie ihr Handtuch und ihre Sachen neben meinem aus.

“Was liest Du da?” wollte sie wissen.

Etwas verlegen hielt ich ihr das Cover des Buches hin. Sie lachte kurz und meinte: “Kenn ich! Sehr erregend!” und grinste mich verstohlen an.

Etwas errötet, legte ich das Buch zur Seite und sah ihr verstohlen aus den Augenwinkeln dabei zu, wie sie sich auszog, bis auch sie schließlich nur noch ihr Bikini-Höschen anhatte. Sie hatte eine wirklich super Figur und war knackig braun, vermutlich nicht nur von der Sonne, sondern vor allem, da sie so wie so ein recht dunkler Hauttyp war.

Als sie sich schließlich neben mich auf ihr Handtuch setzte konnte ich ihre Brüste von der Seite sehen und stellte fest, dass sie wunderschöne straffe, nicht zu große Brüste hatte, mit kleinen dunkel braunen Nippeln.

Ich fragte sie: “Bist du schon länger hier?”

“Ja, seit fast einer Woche.” antwortete sie.

“Und, wie findest Du es bis jetzt hier?”

“Eigentlich ganz ok. Man kann hier abends ganz gut tanzen gehen.” und nach einer kurzen Pause fügte sie hinzu:

“Wenn Du Lust hast, können wir ja heute Abend gemeinsam ausgehen. Ich kenne da einen Club, wo echt gute Musik läuft.”

“Klar, warum nicht.” antwortete ich und freute mich, da ich sie wirklich sehr nett fand und es bestimmt ein unterhaltsamer Abend werden würde.

“Du bist ja noch ganz bleich. Soll ich Dich eincremen? Sonst holst Du Dir noch einen Sonnenbrand!” fragte sie.

“Ja, das wäre echt nett.” antwortete ich dankbar und gab ihr die Tube mit meiner Sonnencreme.

Sie nahm die Sonnencreme und schwang ihr Bein über mich und ehe ich es mir versah, kniete sie über meinem Hintern bzw. saß mit kaum Gewicht darauf. Ich legte meinen Kopf auf meine Hände und sie begann die Sonnencreme auf meinen Rücken und meine Schulter zu träufeln. Dann legte sie die Tube zur Seite und begann mit ihren Händen die Creme über meinen Rücken zu verteilen. Ganz langsam und zärtlich streichelte sie meine Haut und während sie sich vorbeugte um auch meine Schultern einzureiben, spürte ich plötzlich wie ihr Hintern oder war es sogar ihre Muschi über meinem Hintern im Rhythmus ihrer Bewegungen vor und zurück strich.

Ein Schauer durchlief meinem Körper, als ich mir vorstellte, dass es vielleicht auch ein klein Wenig ihre Muschi war, die da über meinem Hintern auf und ab rieb.

Noch ganz in meine Phantasie vertieft, bemerkte ich plötzlich, dass ihre zärtlichen Hände inzwischen an der Seite meines Körpers auf und ab streichelten und dabei auch nicht Halt vor meinen Brüsten machte. Ich muss gestehen es erregte mich, als ich spürte, wie sie die Seiten meiner Titten streichelte.

Schließlich hatte sie meinen Oberkörper offenbar fertig eingerieben und rutsche nun weiter hinab und kniete schließlich zwischen meinen Beinen.

Erneut lies sie wieder die Sonnencreme auf meine Haut träufeln, diesmal auf meine Beine und meine Oberschenkel.

Sie begann damit meine Füße einzureiben und arbeitete sich langsam meine Waden entlang aufwärts. Als sie schließlich langsam bei meinen Oberschenkeln angekommen war, rieb sie zunächst die Außenseite meiner Schenkel ein, bis hinauf zu meinem Hintern. Zu meiner Überraschung schob sie ihre glitschigen Hände nicht nur entlang des Randes meines, zugegeben ziemlich knappen, Bikini-Höschens, sonder hob den Rand etwas an und massierte die Sonnencreme auch über meinen ganzen Hintern ein.

Ihre Hände, die zärtlich meinen Arsch streichelten und die Tatsache, dass mein Bikini-Höschen, dadurch das sie ihre Hände darunter geschoben hatte, weiter nach oben gezogen wurde, so dass das Bisschen Stoff zwischen meinen Schenkeln immer weiter in meine bereits leicht erregte Muschi hinein gezogen wurde, führte dazu, dass meine Erregung immer mehr zunahm.

Und dann kam das, was ich bereits befürchtet hatte: Sie machte nun Anstalten auch die Innenseite meiner Oberschenkel einzureiben. Als sie dazu meine Beine auch noch etwas weiter auseinander schob, befürchtete ich, dass sie nicht nur sehen konnte, dass mein spärliches Bikini-Höschen inzwischen tief in meine Spalte gerutscht war, wodurch sicherlich meine Schamlippen deutlich zu sehen sein würden, sondern viel mehr befürchtete ich, dass sie eventuell bemerken könnte, wie sehr mich ihre Streicheleinheiten erregt hatten, so dass meine Muschi bereits ziemlich feucht geworden war und sich eventuell sogar ein feuchter Fleck auf meinem Höschen zu sehen sein könnte.

Doch von alle dem unberührt, hörten ihre Hände nicht auf, immer weiter die Innenseite meiner Schenkel weiter nach oben zu wandern.

Immer weiter und weiter wanderten ihre Hände.

Als ihre Hände schließlich nur wenige Millimeter vor meinen geschwollenen artvin escort Schamlippen zum Stehen kamen, durchliefen mich kalte und warme Schauer und fast hätte ich mir gewünscht, Ihre Hände hätten nicht Halt gemacht.

“Soll ich auch Deine Vorderseite einreiben?” fragte sie mit freundlicher Stimme.

Vorstellungen von Ihren Händen auf meinen nackten Brüsten schossen durch meinen Kopf.

Nicht dass mir die Vorstellung nicht gefallen hätte, aber das wäre sicherlich zu viel für mich gewesen.

Also antwortete ich schnell: “Nein Danke! Dass mache ich lieber selber.”

“Wie du willst.” flötete sie und stieg über meine Beine und legte sich wieder zurück auf ihr Handtuch.

Ich drehte mich um, setzte mich auf und nahm die Tube mit der Sonnencreme.

Ich rieb zunächst mein Gesicht, meine Beine und meine Arme ein.

Als ich schließlich meinen Bauch einrieb und gerade im Begriff war auch meine nackten Brüste einzureiben, sah ich zur ihr hinüber und bemerkte, dass sie mir offenbar die ganze Zeit aufmerksam zugesehen hatte und mich dabei breit angrinste.

Als ich schließlich auch meine Brüste eincremte, durchlief mich ein Schauer, nicht nur weil sie durch meine Erregung inzwischen sehr sensibel geworden waren, sondern auch, weil ich wußte, dass sie mir dabei ganz genau zusah.

Kaum war ich damit fertig und hatte meine Tube Sonnencreme in meinem Rucksack verstaut, fragte sie mich: “Reibst Du jetzt bitte auch mich ein?” und hielt mir ihre Flasche mit Sonnenöl hin.

Ich konnte wohl kaum ablehnen, also antwortete ich: “Natürlich, gern!”

Sie legte sich auf den Bauch und ich kniete mich neben sie.

Dann träufelte ich ihr Kokos-Öl über ihren Rücken und ihre Schulten.

Ich stellte die Flasche zur Seite und begann das Öl in ihren Körper einzureiben.

Sie hatte ihren Kopf zur Seite gelegt und dabei ihr wunderschön schwarz glänzendes Haar über die Seite nach vorne gestrichen. Ihre Augen hatte sie geschlossen, so dass sie fast aussah, als würde sie schlafen. Sie war einfach umwerfend sexy! Ihre schöne braune Haut glänzte vom Kokos-Öl, dass ich mit zärtlich kreisenden Bewegungen über ihren Rücken und ihre Schulter verteilte.

Ich lies es mir auch nicht nehmen an ihren Seiten hinab zu streicheln und dabei ganz leicht die Seite ihrer Brust zu berühren.

Schließlich war ich mit ihrem Oberkörper fertig. Ich kniete mich nun zwischen ihre Beine und machte mich daran ihre Beine einzureiben.

Ich rieb zunächst ihre Füße, dann ihre Waden ein und schließlich wanderten meine Hände auch ihre Oberschenkel hinauf.

Ich war noch nicht weit gekommen, als sie sich plötzlich bewegte und ganz langsam ihre Beine ein ganzes Stück weiter spreizte. Ich hatte nun einen ungehinderten Blick direkt zwischen ihre Beine. Und was ich dort sah, verschlug mir fast den Atem. Ihre Schamlippen zeichneten sich klar und deutlich durch den hauch-dünnen Stoff ihres Bikini-Höschens ab und ich war inzwischen so erregt, dass ich am liebsten das Bisschen Stoff zur Seite geschoben hätte und meine Zunge tief in ihre geile Möse geschoben hätte. Doch stattdessen lies ich meine Hände immer weiter die Innenseite ihrer Schenkel nach oben gleiten. Erst wenige Zentimeter vor ihrer süßen kleinen Muschi machten meine zitternden Finger Halt.

Dann lies ich meine Hände weiter zu ihrem knackigen Hintern gleiten und hob, so wie sie es bei mir getan hatte, etwas ihr Höschen an und lies meine öligen Hände über ihren wunderbar knackigen Hintern kreisen.

“So fertig!” sagte ich schließlich.

“Würdest Du bitte auch meine Vorderseite einreiben?” fragte sie und drehte sich auf ihrem Handtuch um.

Ich wusste nicht, was ich davon halten sollte. Wo ich herkam, war es eigentlich nicht üblich, dass man auch die Vorderseite von jemand anderem einreibt. Aber vielleicht ist das ja wo anders üblich und da ich nicht unhöfflich oder verklemmt wirken wollte, sagte ich: “Klar!”

Also träufelte ich erneut Kokos-Öl in meine Hand und begann wieder bei Ihren Füßen und massierte ihre Beine immer weiter nach oben.

Dieses Mal sah ich ihre Möse, die sich durch ihr Bikini-Höschen abzeichnete noch genauer und ich konnte erkennen, dass sie offenbar komplett kahl rasiert war, da ihr Venushügel vollkommen glatt zu sein schien.

Wieder wanderten meine Hände bis kurz vor ihre Schamlippen, doch diesmal schob ich meine Hände nicht unter den Rand ihres Höschens, sondern setzte meine Streicheleinheiten erst knapp unter ihrem Bauchnabel fort. Ich hatte mich inzwischen wieder neben sie gekniet und hatte nun ihre wunderschönen Brüste direkt vor mir. Sie hatten genau die richtige Größe, etwas mehr als eine Hand voll und es schien mir, als wären ihre Nippel leicht erregt, da sie spitz nach oben aufgerichtet waren.

Sie hatte noch immer ihre Augen geschlossen und schien meine Behandlung durchaus zu genießen. Also träufelte ich das Öl über ihren Bauch und ihre Brüste und rieb es mit kreisenden Bewegungen langsam in ihre weiche Haut.

Schließlich bodrum escort streichelten meine Hände um ihre Brüste zu ihren Schultern und dann wieder gerade herab direkt über ihre Brüste. Ich spürte ihre harten Nippel unter meiner Handfläche und lies sie langsam durch meine Finger streichen. Ich war wie hypnotisiert und hätte am liebsten nicht mehr damit aufgehört, ihr süßen kleinen Titten zu massieren, als ich plötzlich bemerkte, dass Yajing ihre Augen geöffnet hatte und mich angrinste.

Schnell nahm ich meine Hände von ihren Titten und sagte: “So, fertig!”

“Danke schön!” bekam ich von ihr als Antwort.

Ich legte mich wieder zurück auf mein Handtuch und wir sonnten uns eine Weile, ohne dass einer von uns auch nur ein Wort sagte.

Erst nach einer ganzen Weile, fragte ich sie: “Kommst Du mit ins Wasser?”

“Gerne! Ich könnte auch eine Abkühlung vertragen!” lachte sie und wir sprangen gemeinsam ins herrlich kühle Wasser.

Es dauerte nicht lange, bis wir anfingen wie kleine Kinder herumzualbern. Wir spritzen uns gegenseitig nass, tunkten uns gegenseitig unter und lachten ausgelassen.

Der Tag verging schnell und wir hatten eine Menge Spass und verstanden uns super.

Und ich muss gestehen, ich fühlte mich sehr zu ihr hingezogen. Sie war so unglaublich sexy und dabei doch so natürlich und ihr asiatisches Aussehen gab ihr noch einen exotischen Touch, der einem fast den Atem raubte.

Schließlich war es Abend geworden und wir gingen wieder zurück ins Hotel und aßen gemeinsam zu Abend. Beim Abendessen verabredeten wir, dass ich sie gegen 21 Uhr in ihrem Zimmer abholen sollte und wir dann gemeinsam in die Disco gehen würden, von der sie mir erzählt hatte.

Sie gab mir ihre Zimmernummer und jeder ging auf sein eigenes Zimmer.

Bis 21 Uhr waren es noch etwas mehr als 2 Stunden, also hatte ich noch jede Menge Zeit.

Ich überlegte mir, was ich anziehen sollte. Es sollte auf jeden Fall sehr sexy sein, denn ich wollte, dass auch Yajing mich attraktiv findet.

Ich zog alle meine Kleider aus, bis ich splitternackt vor dem Spiegel stand und begann dann ein Kleidungsstück nach dem anderen aus dem Schrank zuholen und es vor dem Spiegel vor mich hin zu halten um entscheiden zu können, welches wohl am besten dafür geeignet war.

Während ich so vor dem Spiegel posierte, kamen mir wieder die Bilder in Erinnerung, wie wir uns gegenseitig eingerieben hatten und wie sehr es mich erregt hatte.

Schon beim Gedanken daran, wie sie auf meinem Hintern gesessen hatte und wie ihre Hände meine Schenkel hinauf gestreichelt hatten, wurde ich wieder sehr erregt.

Als mir die Bilder in den Sinn kamen, wie ich ihre süßen kleinen Brüste gestreichelt hatte, legte ich die Klamotten zur Seite und nahm stattdessen meine beiden Brüste in die Hand und streichelte sie so, wie ich es bei ihr getan hatte und schaute mir dabei im Spiegel zu.

Inzwischen war ich wieder so erregt, dass ich spürte wie ich immer feuchter zwischen meinen Schenkeln wurde. Ich legte mich aufs Bett und begann nun auch meinen Bauch und die Innenseite meiner Oberschenkel zu streicheln. Doch dieses Mal machte ich nicht Halt, sondern streichelte weiter über meine Schamlippen bis hinauf zu meiner Klit, die ich mit leichtem Druck meines Mittelfingers in kreisförmigen Bewegungen massierte, wobei ich mir vorstellte, es wäre ihre Klit, die ich so liebkoste. Mit meiner anderen Hand rieb ich meine Spalte hinab und wieder hinauf. Dann hielt ich mit einer Hand meine Schamlippen auseinander, während ich mit der Spitze meines Mittelfingers die Innenseite meiner feuchten Spalte auf und ab rieb und schließlich ganz langsam meinen Finger immer tiefer in mein heißes Loch hinein schob, bis er ganz darin verschwunden war.

Dann begann ich mich mit meinem Finger in langsamen, gleichmäßigen Bewegungen zu ficken. Ich stellte mir dabei vor, ich würde sie mit meinen Fingern ficken, oder besser noch ich würde sie mit meiner Zunge ficken. Ich zog meinen Finger wieder aus meiner feuchten Möse und leckte ihn genüsslich ab, nur um den Geschmack einer geilen Möse zu schmecken, ihrer geilen Möse. Ich stellte mir vor, wie es wäre ihren Mösensaft zu trinken, ihn von ihrer feuchten Muschi zu lecken, ihn aus ihrer geilen Fotze zu saugen. Ich legte meine Handfläche auf meine inzwischen stark geschwollene Klit und rieb sie in schnellen Bewegungen auf und ab und stellte mir vor, es wäre ihre Zunge, wie sie mich leckt und an meiner Klit saugt.

Immer schneller stieß ich meine Finger in meine bebende Fotze. Immer schneller und schneller! Und dann geschah es! Es überrollte mich ein unheimlich heftiger Orgasmus! Mein ganzer Körper verkrampfte und eine Welle nach der anderen lies meine Scheidenwände um meine Finger zusammenzucken. Mein Unterkörper bäumte sich auf, während ich am liebsten meine Lust hinausgeschrieen hätte, es aber gerade noch unterdrücken konnte, damit meine Zimmernachbarn nicht hörten, wie ich gerade abging.

Nur ganz langsam, lies mein Orgasmus nach.

Ich wunderte mich wie sehr diese kleine Thailänderin mich offenbar geil machte und ich fragte mich, ob es mir wohl gelingen würde, sie dazu zu bringen, diese schmutzigen Fantasien in die Tat umzusetzen. Wenn ich ihre kleinen Zeichen und Signale heute am Strand richtig gedeutet hatte, bestand dazu durchaus berechtigte Hoffnung.

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Mistress Maker

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Lesbian

Mistress Maker

In the world of Ds relationships, BDSM has a role to play. The D in BDSM refers to Discipline that can be used to reinforce the position of a sub in the relationship, or how she should behave in her daily life. A Mistress after having spent valuable time teaching her sub how she wants her to behave, then slowly lets the lead slacken to see how her sub performs in public. Every Mistress is different and every sub knows that.

There are symbols that a Mistress would use to identify herself to others, most experienced subs don’t need to be told how to approach a Mistress, it is part of their inner being, it just comes naturally. Their instinct tells them who a person is, a Domme, another sub or just a plain vanilla type. Sometimes a Mistress needs a guiding hand to bring a sub under her control

That’s where I come in.

My good friend Constance Brookes or Connie to us who are close to her, had insisted I go out with her as her ‘Plus 1’ to a birthday party. A distant mutual friend I was told was turning the big FOUR O, she needed an escort to go with her. The comedian inside of me told her to go and hire one. I told her she would be guaranteed to be laid if she did. I laughed as I said it. We were both going through a dry spell. Mine by choice, hers by just plain working too much.

I said no, repeatedly, I wasn’t up to going out. Having lost a long-term partner, who one day just suddenly said she didn’t want a live-in arrangement any longer. I didn’t know she didn’t love me anymore. She got up and just left. I was going to do the whole dating thing all over again. I must admit the romance had left us some time ago, but I seriously thought we would make it together. But not to be. I tried hard to rekindle the romance, flowers, and gifts, and then, turning up unexpectedly to take her out to dinner, not expecting to find her in bed with one of her friends. Mind you that was eighteen months ago and I still didn’t feel like going out. Love hurts, as the song goes.

She kept on at me until I caved in. Against my better judgment, I reluctantly said OK. It was easier than always being poked and prodded when we caught up. The event was still a couple of weeks away so if I changed my mind I still had enough time to work out a feasible excuse to ‘cry off’ I thought.

Connie is a good friend, she stood by me when I gave her and the rest of my friends excuses not to. I was a mean bitch. I sulked, I cried, I got drunk and I picked up strangers in nightclubs for one-night stands. I wasn’t a nice person to be around. But she stuck by me until I came out the other end. She spent countless Sunday afternoons just sitting and talking with me, not to me, or down to me, just with me. She saw me come through it all.

A good friend.

I decided to go to the birthday event, and to go that extra yard, to pay her back, even though she would never want anything for being who she was.

The birthday event came around soon enough, and I was true to myself. I had a hair appointment, for a cut and colour, I went dark, almost black. I had them style it in a short pushed-back style, something I had seen in a movie and thought it looked hot. It looked hotter on the actress in the film than on me, but it would do.

I did my nails, trimmed them short and filed them smooth, just in case.

I dressed in a tight black suit, complimented with a black silk blouse and a red tie, loose not done up at the neck. The red tie matched my lipstick, or was it the other way around?

I looked the goods, I told myself. I was over 5’10” and still wore 2″ heels, I had an arrogant look about myself. It suited me, the Mistress in me enjoyed how I intimidated the femmes I had met. I was into BDSM and taught many younger subtypes how to behave.

The time came and Shelia picked me up, she looked stunning, in a 50s-style rock-n-roll dress, lots of petticoats and free-flowing, a belt around her midriff, and plenty of bosoms on display all in a subtle pink, which matched her complexion. She scrubbed up alright did our Ms Brookes.

I smiled at her as she walked up the pathway to my front door. I was there to greet her. “Looking good. Have your eye on someone do you?” I asked mischievously.

“The same could be said of you,” She told me.

“Not likely, once bitten and all that jazz,” I fell silent as we walked to the car. I opened the passenger door for her as she passed the keys to me. I just smiled my thank you to her.

“Don’t go and spoil it now, come on cheer up, you look fantastic and you never know who is around the corner,”

“I’m not looking for anyone, OK?” I replied rather too firmly.

“Don’t be such a grouch,” Connie insisted and rested a hand on my knee. I smiled at her. It was the little things she did that helped me.

The drive to the party was swift and pleasant. We talked about what would happen if either of us got lucky. I refrained from replying. I told her that if I had to I would get a cab home. She just smiled back at me and tapped aksaray escort my knee.

“So you do have your eye on someone,” I asked again. She shut up shop straight away and just smiled. I nodded, “Do I know her?”

“I don’t think so, she is a friend of a friend, so to speak,” She was looking side-eyed at me, nervously.

“OK, then you better point her out when we get there, just so you can get my approval. So to speak,” I came back at her. She chuckled and nodded before replying.

“I wasn’t aware I needed your approval but OK,”

“You looked after me when you know who left, so I think it is only fair I make sure your bed partners are up to scratch,”

“This once only. You’re not my daddy you understand,” She said with a smirk on her face.

“Agreed, on both counts,”

The party was in full swing by the time we rolled up. I parked the car some three houses down the street and we walked hand in hand up to the front door. It was opened as we arrived. The birthday girl herself greeted us. The noise inside the house as she opened the door would have woken up the whole street.

Rita and Helen were married, officially, with Rita wearing a very nice choker chain complete with interlocking loops on display. I must admit she holds her age well. She welcomed us and had a delightful look on her face when she saw me. She bowed her head, then looked up at me and said politely, “Mistress Bobbi, thank you for coming tonight. I know Helen will be delighted to see you,”

I took hold of her hand and kissed her cheek, and a flood of memories flashed back as I took in her perfume. Some good some not so good. No sooner had we stepped inside the front door, than many other familiar faces greeted us. A lot of people were waving as Rita didn’t let go of my hand and pushed through the throng of people in their lounge room. I was smiling at the people I knew and trying to talk to everyone who said hello. Rita took us over to the bar and planted a neat Fireball in my hand, normally I take it two fingers deep, but she added some for good measure. She then went up to the DJ and got her to cut the music before yelling out over the noisy crowd. “Hey everyone, this is my very dear friend, Bobbi. And yes she is on the open market again…..Woo Hoo,” There was a lot of cheering and laughter, and a few “Pick me, Pick me,” came from some wag at the back of the room.

I stopped and looked at her. I didn’t have to say anything but whispered to her. “I will have words with your Helen if you don’t behave,”

“I’m on a promise tonight, so please do, a good spanking always makes for a fun night,” She smiled back at me. “She was in the kitchen last time I saw her,”

I turned around looking for Connie, but she had vanished. I looked around the room and couldn’t spot her. So headed towards the kitchen. Helen was talking to a rather large-chested woman, tall even by my standards, and lots of cleavage on display. Helen wasn’t tempted, her motto was simple, ‘why go out for hamburger when you have steak at home’.

Helen spotted me as soon as I entered the kitchen and held up her hand, “Hey, stranger, over here,” I smiled and lifted my drink in her direction. Then slowly walked towards her.

The woman she was talking to had a much younger woman on a leash attached to a leather collar with the word ‘owned’ embossed on it, totally naked. Slim, small, pale and flat-chested. I checked her out and noticed she had been crying, the tear stains that ran down her cheeks were still wet. The sub had her head bowed and neither looked at anyone nor said a word. The first thing I noticed was her backside, it was still red and had cane marks embedded into her cheeks. She had had a good thrashing not so long ago I suspected. I didn’t say a word, nor did I acknowledge her.

As I approached Helen I held out my hand, she took it and pulled me in close and hugged me, in a masculine way. “Good to see you Bobbi,”

“Hell, it’s good to see you too,” Which was my customary way of greeting her. She laughed.

“It’s been a while since I heard that turn of phrase,” She said then turned to the woman standing next to her. “Bobbi, I want you to meet Jacquie. Jacquie is new in town, she is Olive and Richard’s friend,”

I held out my hand and smiled at the tall woman before me. Her long red hair flowed down over her shoulders, and her green eyes sparkled. The freckles across her nose looked cute and the tight jeans she was wearing hid nothing. I didn’t look at the sub. I didn’t expect an introduction either.

She took my hand in a firm grip and shook it gently. I kept my eyes looking into hers, even though there was a strong desire to look down into her cleavage. “Good to meet you Jacquie,”

“Likewise Bobbi,” Came her reply.

I could tell that Helen was enjoying the torment she saw on my face. Dying to find out what had happened to the pixie-like imp standing next to this gorgeous woman. I sipped on my drink and savoured the taste swilling around in my mouth amasya escort before I let it slowly roll down my throat. The quiet moan I gave left no one within earshot of how much I enjoyed the smooth-tasting Fireball.

I returned to speak to Helen and cheekily stated. “Your wife needs an extra one from me later tonight,” I winked at her.

“Why am I not surprised,” Helen told me. She leant back against the kitchen cupboards and folded her arms before saying, “It’s been too long Bobbi, you should get out more often,”

“Yeah, maybe,” I told her. Before taking another sip. “I’m going to go and mingle, and keep an eye on my ride home,”

Jacquie looked at me and offered me the leash attached to her sub. “Would you mind looking after this wayward little minx while I refresh my drink and seek out where my other two are?”

“Sure, she seems harmless enough,” I replied. “You brought three along, you are a busy girl and a game one,”

She shrugged and explained that she hadn’t had the three out together and wanted to find out if she could manage.

“They should manage themselves in public. Have you done all of their training,” I asked innocently.

“No, they came partially trained, I am just adding my finishing touches,”

“Hhhmmm, are you now,” As I looked at the backside of the young woman. The warning signs were all there, but I gave her the benefit of the doubt.

She saw my look as I started the slap the leather leash into the palm of my hand. She stopped briefly and looked into my eyes, making certain she had my attention, before saying, “She has had enough for one night,”

I had a wry smile on my lips and told her, “Since when has it ever been about the needs of the sub?”

I heard Helen spluttering as she took a sip of her drink, knowing full well I meant the young sub no harm. Jacquie just looked at me. “I won’t be five minutes,” then wagged a finger at me.

I shrugged my shoulders and told her to take her time. She didn’t know how to take my answers. As soon as she was out of the door Helen burst out laughing. “You bitch,” She said jokingly, “This poor thing is scared stiff I bet,” She turned to the young woman, “Are you scared little one?” She asked.

The sub kept her head bowed and I waited and knew then that she was well trained.

“You may speak,” I told her.

Then in a squeaky voice, she said quietly, “Yes,”

“Good Girl,” I told her.

She mumbled to me. “Thank you Mistress,”

“What name has your Mistress given you?” I asked.

“My name Miss? It’s Pixie, Miss,” She answered again her voice was quavering and quiet.

“Lift your head Pixie, and hold this for me please,” I handed her the end of the leash. “Now go into the bathroom and wash your face, I don’t want anyone to see me with a sub who has been crying,” My voice was soft and gentle. I looked at Helen and she pointed to the hallway and told her, “Second door on the left,”

Helen smiled at me, “Why on earth did she want to get away from you?”

Knowing she was referring to my ex I answered her, “When relationships collapse under the weight of life or something like that. She wanted out so I let her go. AND Yes, it hurt, it hurt a lot,” I hung my head. I knew I was going to cop questions like this sooner or later.

“I’m so sorry Bobbi, I thought you two were solid,” Helen told me. I could see the sincerity in her eyes and heard it in her voice. I just nodded slowly.

Pixie returned still crying. “What did I tell you when I sent you to the bathroom,” I asked her. My voice wasn’t loud, but my tone was severe.

“That you didn’t want to be seen with a crying sub Mistress,” She hung her head as she spoke. She knew how to behave.

“So why are you crying Pixie?

“Mistress a woman slapped my backside,”

“Why didn’t you call out to me?”

“Because Mistress Jacquie said I was to be available to anyone for anything, Mistress,”

“I am looking after you now. Go and get dressed, and meet me back here,” The instructions were plain and simple.

I turned to Helen. “How long have you known Jacquie?”

“Not that long, a few months. Olive and Richard vouched for her,” Helen replied.

I will have a word with her and then the woman who manhandled a sub in my care. I promise I won’t cause a scene,”

“Let me handle it Bobbi, my house and all that. What do you want in return,” She asked.

“Just an apology,”

“To you?” Helen had an incredulous look on her face.

I screwed my face up. “No, to Pixie,”

Helen disappeared into the noisy family room, as soon as the kitchen door opened the noise rushed in. I leant up against the kitchen island and rested a hand on the counter as I sipped on the Fireball. It took a lot of those drinks to make me overreact these days. So I sipped on it slowly making it last.

Jacquie came rushing back in and looked around the room. “Where is she?”

I knew who she meant but I was feeling sarcastic at that precise moment so asked, antalya escort “Who, Pixie or Helen,”

“Pixie of course. Where is she?”

“I sent her to get dressed. She behaved extremely well, you are a lucky woman Jacquie,”

“You do realise that she is here to be toyed with tonight, kind of my gift to Rita and her friends,” She continued.

“You do realise that you gave her care over to me and while in my care she was interfered with, that doesn’t sit well with me,”

“I was gone for less than 5 minutes and this happened. I was warned about you,” She told me.

“5 minutes, 5 hours or 5 years. In my care is in my care and I couldn’t give two fucks about what you have heard about me,” came my reply. I was softly spoken but the look in my eyes told her to calm down. “This is Rita’s birthday party, not some munch meeting for you to put your subs on display, so you can find out how good you are. You should have found someone to tell you that you aren’t that a good Mistress, YET,”

Her face hardened as she glared at me. Pixie returned and stopped in the doorway uncertain what was happening. Here was her Mistress, someone she had committed to and another Mistress a stranger to her, who had been given the responsibility of caring for her. She was still under the guidance of this new Mistress until she was formally returned to her own Mistress. They were obviously having words with each other, she was certain it was about her and what had happened. She knew she had done no wrong.

I saw the puzzled look on her face. I looked at her and made certain she was looking at me and not her Mistress. Then I glanced at a spot on the floor next to me and returned my look to Jacquie. Pixie, without saying anything walked over to the spot and stood there head bowed.

Jacquie had an inquisitive look on her face. She looked hard at me and I absorbed it, ignoring it.

“Pixie come here,” She said in a raised voice.

I put my arm out across in front of Pixie, a sign anywhere in the Fet World that says she shouldn’t move. “Haven’t you forgotten something?”

“Look here miss know it all, all I asked of you was to look after her while I was gone for 5 minutes, she is under my care,”

Before she could continue, I finished her sentence for her, “When I return her to you and I will once she has had an apology from the person who smacked her tender backside,”

I could see this gorgeous woman was starting to get flustered. I stood there, not showing any emotions. “Jacquie,” I said to her. “I am in control of the situation, do you understand?”

She stammered her reply, “Ye…s,” Then she regained some of her composure, “Yes, yes I do. Sorry, I didn’t realise she was hurt,”

“Jacquie she is your sub so there is no need to say sorry to me. You should have realised. Having three subs at a friend’s birthday party and then allowing one to be a toy is a big ask for any experienced Domme, let alone you and you my love are not experienced enough to handle one sub,”

I leant forward and kissed her lips gently, smiled at her and made certain she saw me look down her cleavage.

She blushed and put her fingertips to her mouth and stared at me. “You kissed me,”

Helen entered the room with an older woman in tow, I recognised her immediately. Strong Dommes were few and far between and I knew them all. Imogen The Empress Fleming was one, and a good one at that. Her face lit up when she saw me as did mine. She came over and shook my hand, her grip was firm and strong and her shake vigorous, it shook your whole arm.

“Long time no see. You’ve been missed,” She told me. I just nodded.

“This is the culprit,” Helen explained to me.

“Bugga, I should have guessed,” I replied almost laughing.

The Empress looked at the sub who was standing on my left shoulder next to me. She hadn’t moved or said a word.

“Oh Jesus, is she yours? I thought she belonged to the big-titted redhead over there,” nodding in the direction of Jacquie. “She said she was a toy for the night,”

I looked over at Jacquie, she had fire in her eyes but didn’t say a word. I just shrugged my shoulders and explained that Jacquie was her Mistress I was just holding on to her while she checked on her other two. The Empress just rolled her eyes and smirked.

“Sorry Bobbi, if I had known I would have shown more respect. But then again if she was yours her arse wouldn’t be red and she wouldn’t be a toy,”

Pixie lifted her head slightly and looked up at me. A warm smile was on her face. I winked at her and she put her head down.

Before I could say anything The Empress stepped forward looked me in the eye and gave me a sincere apology.

“It’s not me you have to apologise to,” I told her. Her face hardened and she scratched the back of her head. We both knew that for a true Mistress to apologise to a sub was not an easy thing to do. Hard enough in the privacy of your own home, let alone in front of other people, other Mistresses at that. I knew that and turned to Helen and Jacquie and before I said anything Helen was headed for the door and called Jacquie to follow her.

“I will be just outside the door, come and have a drink with Pixie and me when you have finished. I patted her on the shoulder and left her to it. No more would ever be said about it.

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