L’enfer de Naira Ch. 03
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Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n’est réel. Les personnages irréels de ce texte sont tous consentants à y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leur vie inexistante sans aucune séquelle ni blessure. Un peu comme n’importe quel personnage imaginaire d’un livre, d’un conte, d’une nouvelle…
Ce texte étant quand même très très violent, je ne le recommande qu’aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après, si c’est pour commenter que ce texte est violent, voire très ou trop violent, que cela se termine mal, que cela vous choque, que c’est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire.
Il est réservé à un public majeur, tous les personnages sont majeurs. Il contient, suivant les chapitres, toutes les perversions les plus abjectes de la zoophilie à ce que vous pouvez imaginer de pire. Donc, si vous n’aimez pas ça, ne lisez pas. Après, ne venez pas dire que je ne vous avais pas prévenus.
Pour les amateurs du genre et mes fans, je vous souhaite bonne lecture.
Le lendemain matin, Éloïse est déjà levée quand les filles se lèvent. Toutes passent à la douche. C’est Lena qui demande:
– On doit mettre les tenues de stagiaires?
– Oui, c’est obligatoire pour que votre statut dans l’entreprise soit reconnaissable au premier coup d’œil.
Toutes le mettent donc. Maelly est rassurée quand elle passe sa tenue. C’est un tailleur sage, dont la jupe arrive au genou. C’est bien plus court que ce qu’elle met d’habitude, mais cela ira. C’est surtout classique et absolument pas sexy. Outre la jupe, il y a un chemisier et une veste de tailleur. Ensuite, Éloïse guide les huit jeunes femmes au réfectoire pour un petit-déjeuner continental. Café, thé, jus de fruits, viennoiserie, fruits, pain, beurre, confitures, j’en passe et des meilleurs. C’est plus que complet et il y en a pour tous les goûts.
Avant la fin du petit-déjeuner, Miguel les rejoint. Il entre dans le réfectoire en compagnie d’une Rosetta très fatiguée. Elle marche en boitant bas et en marchant les jambes arquées. Toutes lisent, sur le visage de la magnifique italienne, la douleur que lui impose le simple fait de marcher. Stéphanie Commente aussitôt :
– Cela sent une nuit torride avec sodomie.
– Beurk
C’est Lena qui vient de faire ça. Toutes les autres filles rigolent. Elles ne se connaissent pas depuis longtemps, mais suffisamment pour savoir que si une pratique sexuelle dégoûte Lena, c’est que ce ne doit pas être au top. Stéphanie est étonnée.
– Tu ne pratiques pas la sodomie?
– Non. C’est le seul truc dans le sexe qui me dégoûte. Une éjac faciale, je veux bien, mais ça, non. Plutôt crever. Et toi?
– J’ai essayé avec mon ex-mari. Mais il n’est jamais rentré, alors, cette pratique, on l’a abandonné.
Après un sondage, auquel même les vierges participent, elles se rendent compte d’un nouveau point commun : toutes sont vierges de l’anus. Sauf Naira, bien entendu, mais elle fait la fille vierge de l’anus pour ne pas avoir à parler de son horrible viol anal dont elle porte encore les séquelles aujourd’hui.
Lena se met à pouffer. Stéphanie l’interroge alors:
– Il y a quoi de drôle?
– On a toutes pensé que Miguel était pédé, à priori, vu la démarche de Rosetta, je peux vous dire qu’il est tout sauf pédé.
Stéphanie et les autres pouffent également. Cette dernière rajoute alors:
– Ou alors il a juste voulut savoir si le petit trou d’une fille est différent de celui d’un garçon. Dans ce cas, Rosetta marche comme Lucky Luke pour rien!
Ignorant pourquoi les filles rigolent, Miguel s’approche du petit groupe. Il regarde Éloïse qui n’ose pas le regarder dans les yeux.
– Éloïse, vous pouvez disposer. Je m’en occupe jusqu’à l’attribution de leurs maîtres de stage. Vous les reprenez en main à midi pour le déjeuner.
– Bien, Monsieur.
Éloïse regarde le petit groupe de stagiaires:
– Je vous dis à tout-à-l’heure mesdemoiselles.
Toutes la salut quand elle les quitte. Miguel prend une tasse de café et s’assoit en attendant que les jeunes femmes finissent. Rien n’est pressé, l’attribution se faisant à huit heures trente du matin, et il n’est que sept heures quarante-cinq.
À huit heures précises, tous se retrouvent dans la grande salle de réunion de l’étage trois des étages de direction. Bien que l’immeuble compte cinquante-trois étages, du cinquante-et-unième au cinquante-troisième, le nom est différent. Ce sont les étages directionnels trois à un. Les trois comptant les cadres dirigeants les moins importants, le un comptant les plus importants. Rapidement, une femme brune à la peau mate, typiquement espagnole entre dans la pièce. La cinquantaine, elle est encore très belle. Elle rayonne aussi bien par son physique que par la froideur qui en ressort. Ce qui pour une Hispanique est assez rare. Naira voit que même Miguel est impressionné par la femme.
– Je suis Lucia trabzon escort Alvarez. Je fais partie du conseil d’administration de la société Pablo Nino. Je fais partie de ce que vous entendrez appeler les « Cinq ». Avez-vous une idée de ce que sont les cinq?
Personne ne répond, alors la femme reprend:
– Pablo Nino est le 1 bis de la société. Le numéro un étant le propriétaire Igor, PDG de Igor International, dont vous avez sûrement entendu parler.
Là, tous acquiesce de la tête. Qui n’a pas entendu parler de la seule société française en pleine expansion qui commence à se rapprocher rapidement des plus grandes multinationales du monde.
– Pablo est entouré d’un conseil d’administration de cinq membres qui le seconde dans chaque décision importante à prendre, même si Pablo reste le seul décisionnaire final. On appelle ce conseil les Cinq. On est tous, à égalité, les numéros deux de cette entreprise. Il y a quatre hommes et une femme, moi. Supervisant les ressources humaines, vous dépendez donc toutes de moi. On sera souvent en contact, il faudra m’appeler madame et me donner la plus grande déférence si vous voulez un jour avoir une chance d’être embauchée chez nous.
Bien sûr, il n’y a pas que son apparence qui soit froide, sa personnalité est glaciale, pense une Naira impressionnée par la dirigeante.
– Miguel vous a déjà sûrement parlé de la Société. Vous vous êtes sûrement renseigné sur Internet. Mais sachez que les chiffres que vous avez vus sur votre ordinateur sont largement minorés. Au total, la société Pablo Nino emploie vingt-cinq mille employés. Dont quinze mille en Espagne, sur nos sites de Madrid, Barcelone, Séville, Valence, mais aussi dans de nombreuses succursales dans d’autres villes et villages. Nous sommes aussi présents en Argentine, en Colombie, au Mexique et aux USA pour la forte population hispanique se trouvant là-bas. Nous avons des succursales assez importantes dans chaque pays non cité auparavant et dans chaque grande ville d’Amérique du Sud et Centrale. Nous avons une société sœur, avec laquelle nous menons des actions essentielles, de lobbying notamment, située au Portugal. Elle supervise et est implantée dans les pays lusophones, dont le Brésil. Le siège est à Lisbonne, mais cette société compte des sites comme le nôtre à Porto et Rio notamment.
Ils sont vraiment impressionnés par une telle réussite dans un monde en crise.
– Tout cela a été possible suite à notre rachat par « Igor International » il y a sept ans maintenant. Jusqu’à eux, nous n’avions que huit cent employés, dont beaucoup étaient inutiles. Maintenant ici, de la balayeuse à Pablo Nino, chacun et chacune a son importance. Vous avez six mois de stages pour faire vos preuves. Nous allons vous superviser, vous étudier, vous décortiquer. Suivant ce qui en ressortira, on pourra vous offrir un poste mineur, comme agent d’accueil, à un poste de cadre dirigeant à l’étage 1 de la direction. Dans tous les cas, vous aurez un bon salaire et un logement pas cher. Mais si nous ne sommes pas satisfaits, on mettra immédiatement fin à votre stage avec renvoi immédiat chez vous. Que vous en ayez encore un ou pas. Rien n’est fermé, c’est à vous de jouer.
Naira, comme les autres, n’a pas le choix, elle va donner le meilleur d’elle-même pour aller le plus haut possible. Et si elle doit finir balayeuse, elle le fera, au moins elle aura un salaire et un logement.
– Sur les dix dernières années avant le rachat, la société Pablo Nino a eu sept fois un bénéfice net de cinq millions d’euros, deux fois de sept millions. Avec l’affaire qui nous a frappé, qui a débouché sur la condamnation de l’ex-femme de Pablo, ainsi que de plusieurs ex-employées, la dernière année avant le rachat, nous avons accusé une perte de cinquante millions d’euros. Nous étions au bord du dépôt de bilan, l’existence de la société n’étant assurée que pour les trois mois suivants. Le rachat, en plus d’une bouffée financière, a amené un professionnalisme que nous n’avions pas. Quatre ans plus tard, nous avons atteint le milliard de bénéfice, tout en multipliant par quinze nos effectifs. Ces années, pour le huitième bilan après le rachat, nous allons dépasser les deux milliards de bénéfices.
Naira pose une question intelligente ou presque.
– Combien cela va rapporter aux actionnaires?
– Zéro, nous n’avons pas d’actionnaires. La multinationale « Igor International », toutes ses branches ou sociétés lui appartenant, ne sont pas cotées en bourse. Les bénéfices sont partagés en quatre parts. Un quart pour tous les employés et dirigeants de la société bénéficiaire, un quart pour Igor et les patrons des sociétés tierces lui appartenant. Un quart est envoyé dans les caisses d’Igor International. Là, toutes les sommes des entités bénéficiaires sont partagées en trois, un tiers pour Igor, un tiers pour tous les employés et dirigeants, un autre tiers va dans les caisses de la multinationale. Tout comme le dernier quart des bénéfices de Pablo Nino va dans les caisses tunceli escort de l’entreprise.
– Pour les employés, cela ne doit pas faire beaucoup…
Commente Stéphanie.
– Stéphanie, c’est ça?
– Oui, c’est ça.
– En France, par exemple, en moyenne, combien un technicien de surface d’une multinationale a-t-il eu de participation au bénéfice?
– Je ne sais pas, je dirais mille euros.
– La plupart du temps, zéro, pour les autres, une centaine d’euros. Chez « Igor International », il a touché en primes environ vingt-quatre mille euros, soit une deuxième année de salaire. C’est ce que l’on touche, une autre année de salaire si les bénéfices sont bons. Bien entendu, plus votre poste est élevé, plus votre salaire est fort, plus votre deuxième année est importante.
Rêveuse, aucune des filles ne commente. Plusieurs personnes entrent alors dans la pièce. Lucia ne les présente pas.
Lucia reprend:
– Bon, on va passer à vos postes. Miguel ici présent dirige le service du personnel avec François, un de vos compatriotes, mesdemoiselles. Anna et Océane iront avec lui. Il vous placera lui-même dans un des services qui dépendent de lui.
Les deux filles se mettent donc près de Miguel.
– Stéphanie Tu iras au service paie. Tu vas être sous les ordres de Juan, Sofia, tu iras aussi au service paie, avec Ali.
Deux cadres à l’air sympathique leur font signe, elles s’en approchent.
.
– Lena et Amina, vous allez aller à la Résidence. Vous serez logées sur place, il y a également un réfectoire. Lena tu seras sous les ordres d’Alberto, Raul et Julian. Ils sont les responsables du service loyer.
Trois sexagénaires lui font un signe de main. Elle qui espère un jeune et beau chef de service ou un cadre dirigeant, ben c’est raté.
– Amina Pour toi, ce sera avec Meyer, au service Relations clients. Vous serez logées dans un deux pièces. Il y a également un réfectoire à l’étage. Vous ne perdez pas aux changes, c’est également un grand chef qui s’occupe de la cuisine.
Lena sourit, l’homme qui va la superviser est aussi vieux que les siens. Amina et elle se rapproche de leur superviseur.
– Pour finir, Maelly et Naira, vous serez avec moi. Maelly, tu m’auras comme superviseur au service Ressources humaines. Plus précisément, au service recrutement. Quant à toi, Naira, ton superviseur qui dirige le service discipline est en vacances, donc pendant les trois prochaines semaines, je te supervise. Jusqu’à son retour.
Comme les autres, Maelly et Naira se rapproche de Lucia Alvarez. Consciente que de toutes, elles sont les moins bien loties. Leur superviseur a l’air d’un dragon comparé aux autres. Aucune des deux ne se doute qu’elles sont bien en dessous de la vérité.
Lucia n’en a pas fini :
– Mesdemoiselles, je vous ai parlé des primes qui peuvent atteindre une année de salaires. Cela peut aussi vous concerner. Souvent, quand on est sur un projet à mener à bien, il faut faire des heures supplémentaires. Chez Pablo Nino, nous n’aimons pas payer d’heures supplémentaires. Donc voilà, cela se passera pour vous comme pour une personne embauchée. Soit on vous paie toutes vos heures sup’, ce qui correspond en moyenne à cent cinquante heures par an, soit on ne vous les paie pas, et vous serez éligible aux primes sur les mois de votre présence. Le choix se fera pour vous, avant de commencer quoi que ce soit, auprès de vos superviseurs.
Stéphanie qui a vraiment besoin d’argent demande:
– Si on refuse le paiement des heures supplémentaires, on aura donc une prime sur un an à mille euros, divisée par deux vu que l’on ne fait que six mois ici?
– Non. Votre salaire est un salaire de stagiaire. Si vous participez à des projets, les revenus desdits projets ne seront pas ceux de stagiaires, mais de pro. Nous vous donnerons donc le minimum salarial d’un employé sur ce projet. Et sur l’année complète. Donc, au minimum, si le salaire des participants à ce projet est de deux mille euros, vous toucherez les vingt-quatre mille euros de primes intégralement. Si vous participez à un projet où le salaire minimum des participants est de trois mille euros, ce sera donc trente-six mille euros de primes.
Aucune des filles ne revient de ce qu’elles viennent d’entendre. Toutes savent qu’elles vont refuser le paiement des heures sup’ pour passer au système de primes.
Lucia termine sa conférence:
– Vous aurez, quelle que soit votre réussite, une ultime épreuve. Passé en rendez-vous personnel avec notre patron, Pablo Nino. Cette entrevue décidera de votre grade et de votre contrat. Elle aura lieu dans les derniers jours de votre stage, pour celles qui seront encore parmi nous. Mesdemoiselles, en attendant, c’est le début officiel de votre stage. Vous devez avoir la tenue que l’on vous a remise dès que vous êtes en dehors de vos quartiers. Si cela rassure certaines, vous pouvez les rallonger ou les raccourcir pour les plus audacieuses. Amina et Lena, vous allez chercher uşak escort vos affaires, vos superviseurs vont vous accompagner. Océane, tu changes de chambre et tu passes avec Stéphanie et Anna. C’est tout pour moi. Naira et Maelly, suivez moi, que je vous présente à mes équipes, ce sont elles qui vont vous gérer pour l’instant. Pour les autres, suivez vos superviseurs. Bonne journée et bonne réussite pour vos stages.
De toutes, Lena est la plus déçue. Non seulement elle a trois superviseurs, contre un seul pour les autres. Donc, son plan de proposer une pipe contre un contrat vient de tripler, il en faudra au moins trois. Mais en plus, les trois papy, comme elle les appelle, n’ont pas fait preuve d’une joie folle, en voyant qu’ils allaient devenir les chefs de ce canon blond aux yeux verts et au corps de fou. Ils seraient pédés que cela ne l’étonnerait pas. Mais par contre, ce qu’a dit Lucia n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Elle peut raccourcir sa tenue. Lena décide d’employer les grands moyens. S’ils sont hétéro, il est possible que ses trois superviseurs aient une crise cardiaque en la voyant. Sinon, cela peut être mort pour elle.
Une fois arrivées à leur chambre, Amina et Lena remettent leurs affaires dans leurs sacs-à-dos et leur valise. Les superviseurs les attendent dans la pièce à vivre du milieu. Amina est la première à finir. Elle regarde son amie :
– On y va?
– Vas-y, je finis et j’arrive de suite.
– OK, tant pis pour toi si je deviens leur préférée pour ne pas les faire attendre.
La phrase de la Black fait rire les deux nouvelles amies. Dès que la porte se referme, Lena sort une paire de ciseau de sa valise. Des ciseaux de couture. Elle se met en face d’un miroir. Elle met la lame des ciseaux pour déterminer la hauteur à laquelle elle va couper. Elle pense : « Je vais faire salope là-dedans. Mais je me sens déjà si pute par rapport au toubib, que je ne pourrais jamais le refaire. Même pour un job, je ne vais pas pouvoir en sucer un seul. Alors risquer qu’ils me demandent de coucher… Alors je vous en prie, mon Dieu, faites qu’en me voyant dans cette tenue, cela soit suffisant. Amen. » Lena détermine ce que l’on appelle une longueur ras-la-moule et commence à couper. Tant pis si les trois font une crise cardiaque.
Quand elle ressort, Lena estomaque tout le monde, les hommes se mettent à bander. De face, on voit le petit triangle correspondant à la naissance de son string. De dos, ce sont les boursouflures correspondant à la naissance de ses fesses que l’on découvre. Elle n’a plus que sa veste de tailleur, laissant voir les côtés de ses seins. Elle est plus qu’un appel à la baise. Lena ne le sait pas encore, mais elle vient de faire la pire erreur de sa vie, celle qui va la précipiter dans un enfer sans nom.
Naira et Maelly suivent Lucia. Elle marche d’un pas rapide et décidé, sans se préoccuper de savoir si les deux stagiaires la suivent ou pas. Tant bien que mal, les deux jeunes femmes y arrivent. Devant l’ascenseur, sans se retourner, Lucia leur explique :
– Dans la partie que je dirige, vous allez devoir me prouver que vous méritez d’évoluer. Au début, cela va vous paraître lassant, inutile. Mais si vous vous donnez à fond, il n’y aura pas de limites à vos succès.
Maelly, très timide, n’ose rien dire. Mais Naira se lance :
– Aucune limite? Vraiment?
– Pour l’instant, je suis la seule femme dans les cinq. Pour une seule raison, nous avons été les seuls à soutenir Pablo lors de la crise. Mais il croit vraiment à ce qu’il fait maintenant, à donner sa chance aux femmes. C’est pour cela qu’il y en a quatre-vingt-quinze pour cent dans la société. Par remerciement, Pablo ne va jamais changer les Cinq. Par contre, il va s’agrandir, on sera six l’année prochaine. Et ce sera une femme. Si vous le méritez, vous pouvez être cette personne. Surtout que dès que l’un des cinq prendra sa retraite, à ce moment, la parité sera réelle, avec trois hommes et trois femmes. Donc il y a même des termes de la place pour vous deux. Un conseil, ne me décevez pas. Je vous ai choisies, car je pense que vous serez les deux meilleures du groupe. Mais j’accorde toujours une seconde chance. Je ne vais pas vous arrêter à la première bourde, par contre à la seconde, ce sera la rue. Compris?
En chœur, Naira et Maelly répondent à Lucia:
– Compris, Madame.
– Bien, j’espère que c’est sincère. Dans ce cas, l’avenir sera à vous.
Aucune des deux jeunes filles ne se doute qu’elles vont se jeter dans la gueule du loup.
Pour celles qui restent au siège, la première semaine de travail est assez chiante. Entre photocopie, café et trucs ennuyants, aucune ne fait vraiment rien d’intéressant avec son superviseur. Mais cela leur permet d’apprendre à connaître les gens de leur équipe. Si les six filles s’entendent bien, des affinités se font, surtout entre binômes. Une amitié est en train de naître entre toutes les filles du siège, tandis que Amina et Lena, isolées à la résidence, deviennent amies, surtout entre elles deux. Naira découvre en Maelly une jeune fille douce et gentille. Issue d’une famille très catho, les choses du sexe la gênent donc elle n’en parle jamais. Ce qui arrange bien Naira, car depuis son viol anal et buccal, le sexe la dégoûte. Rien que d’y penser… Beurk.
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