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Marie soumise par Jérôme 05

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Cumshots

Pendant que Jérôme se défoule sur Angèle, à l’extérieur ses trois créanciers continuent de désorienter Marie, qui ne sait plus du tout où elle en est, bringuebalée entre leurs mains, les seins pincés, les joues en feu à force de recevoir des claques, sa robe ne tient plus que sur sa taille! Finalement, le tatoué l’arrête par les épaules :

– Il est temps de passer aux choses sérieuses? Enlève ta robe!

Elle est peut être encore saoule, mais pas au point d’obéir à ce genre d’ordres?

– Ça ne va pas, non! Laissez-moi partir!

Le tatoué lui allonge alors une violente baffe, qui l’envoie rouler au sol. Le grand l’attrape alors par les cheveux, il la relève sans ménagement. Le tatoué reprend.

– C’est le premier avertissement! Enlève ta robe!

Elle veut encore résister.

– Non, jamais!

Le tatoué lui envoie une claque monumentale sur l’autre joue, projette à nouveau Marie au sol. Le grand la relève à nouveau par les cheveux, elle est en pleurs, la tête en feu.

– C’est le deuxième avertissement, la prochaine fois, je te casse le nez? Pour la dernière fois, fout-toi à poil!

Marie, toute volonté de rébellion étouffée, fait glisser péniblement sa robe à ses pieds, elle se retrouve nue devant les trois loubars, seulement vêtue de ses hauts-talons!

Le barbu s’approche d’elle.

– T’es sacrément bien roulée, quand même! Il lui pelote les seins, les fesses, lui glissant une main entre les cuisses.

Le tatoué reprend.

– Et tu n’as pas goûté son cul. C’est le top de la qualité bourgeoise. S’adressant à Marie.

– Toi, va te mettre en position sur la table.

Marie, tremblante de peur, essaie de reculer :

– Non, pas ça à nouveau, s’il vous plaît?

– Je t’ai dit que c’est la dernière fois que tu refuse d’obéir! Il s’approche d’elle qui essaie de protéger son visage, il lui décoche un violent direct à l’estomac?

Marie s’écroule par terre, elle vomit tout l’alcool qu’elle a ingurgité, secouée de spasmes, se tenant le ventre à deux mains. Le tatoué se met à genoux près d’elle, il lui relève la tête par les cheveux, il lui dit d’une voix douce.

– Tu vas aller jusqu’à la table à quatre pattes, tu vas te mettre sur la table comme tout à l’heure, les cuisses écartées, tu vas écarter tes fesses des deux mains pour qu’on voit bien ton trou du cul. Ensuite, tu attendras bien sagement ainsi. Sinon?

Il laisse ainsi en suspens les menaces de rétorsion.

Marie, en larmes, se redresse péniblement sur ses mains, se met à quatre pattes comme demandé, elle rampe maladroitement jusqu’à la table de pierre en sanglotant. S’aidant du plateau, elle se redresse, se plie en deux sur le plateau froid.

– Écarte les cuisses et les fesses.

A contrecœur, elle écarte ses jambes, elle saisit ses fesses, les écarte également, libérant la vue sur son anus offert.

Le grand s’approcha d’elle.

– Je vais te faire le cul sans te toucher autrement qu’avec ma bite, tu vas aimer ça.

Il pose son gland contre ses sphincters contractés. Marie marmonne des non, non, s’il vous plaît, mais ça ne risque pas d’attendrir ses bourreaux. Le grand laisse de longues secondes son sexe en position, il fait monter l’appréhension dans le cerveau embrumé de Marie.

– Écarte moi ça un peu mieux.

Au moment où elle écarte encore un peu plus ses magnifiques lobes fessiers, il l’encule d’un brutal coup de rein, s’enfonçant d’un seul coup au plus profond de ses entrailles lubrifiées par le sperme du tatoué.

Marie crie de douleur, elle se cambre sur la table en relâchant ses fesses. Le grand, fiché dans son cul, lui envoie une claque sonore sur les fesses, en rugissant.

– Écarte tes fesses, où je te chauffe tellement le cul que tu ne pourras plus t’asseoir pendant dix jours!

Mortifiée, Marie rabat à nouveau les bras le long de son corps pour écarter ses fesses, le grand se met à la sodomiser à grands coups de reins, il l’écrase sur la table à chaque fois, il laboure ses tendres parois anales, il lui arrache à chaque poussée des cris de souffrance.

– C’est vrai que t’es sacrément étroite, on dirait une pucelle de 15 ans?

Et il continue de lui ramoner le rectum sans douceur, pendant kahramanmaraş escort qu’elle doit maintenir ses fesses écartées pour éviter les coups, facilitant ainsi bien malgré elle les pénétrations au plus profond de son dos! Les deux autres matent sans vergogne la sodomie, rajoutent des plaisanteries grivoises qui humilient encore plus Marie.

– Vas-y, éclate-lui la rondelle, elle va finir par aimer ça?

– Si tu élargis bien le passage, on pourra essayer des trucs?

– On va te remplir tellement le cul de sperme que ça va te sortir par la bouche!

Pendant ce temps, le grand continue sa sodomie brutale, avec des hans à chaque pénétration.

– T’es vraiment une des meilleures bourgeoises que j’ai baisé, il va falloir que tu nous donnes ton adresse pour qu’on vienne te faire des visites de temps en temps!

Marie sanglote de rage et de honte sous les coups brutaux du grand, ses seins nus, frottent contre la table de pierre brute à chaque poussée, ça les irritent terriblement.

– Écarte encore plus, que je viennes te titiller les amygdales, s’esclaffe le grand, tout en lui claquant violemment la fesse droite, il fait crier Marie de douleur.

Il accélère soudainement le rythme de sa sodomie. Elle couine, écrasé sur la pierre froide par chaque coup de butoir, elle finit par relâcher ses fesses pour essayer de se retenir sur la table et protéger ses seins meurtris par les frottements, pendant que le grand l’encule de plus en plus vite.

A force de ramonage, ses muqueuses anales semblent anesthésiées, des sensations équivoques commencent à envahir les reins de Marie, ou se mêle souffrance et plaisir? Elle gémit à chaque pénétration, elle ne sait plus elle-même si c’est seulement de la douleur ou?

En essayant de protéger ses tétons râpés, elle doit se cambrer, ce qui resserre le fourreau de son ventre sur le sexe qui la laboure, augmentant la pression sur ses muqueuses sensibles.

Soudainement, le grand lui saisit les seins à pleines mains, d’une ultime poussée, il décharge son jus au plus profond de ses entrailles, dans un rugissement de plaisir.

Le contact de ses mains chaudes sur ses seins sensibilisés, après la pierre froide et le déferlement simultané de liquide séminal dans son intestin, sont les sensations de trop pour les sens de Marie. Elle pousse un long feulement signe d’un orgasme incontrôlé, elle jouit par le cul pour la deuxième fois de la soirée. Elle s’écroule à nouveau exténuée, sur la table froide, pendant que le grand se retire de son cul avec un ploc peu ragoutant.

– Putain, quel cul de malade? Tu a raison, Bob! En plus, elle finit par jouir comme une folle. Je suis sûr qu’elle n’a jamais eu d’orgasme comme ça de toute sa vie!

Ils se tapent dans les mains, réjouis du bon coup qu’ils ont trouvé.

– En tout cas, elle aime être dominée, renchérit le barbu, ça c’est mon rayon?

Ses deux compagnons s’esclaffent. Le barbu retire son ceinturon, ainsi sans prévenir, cingle les fesses offertes de Marie. Celle-ci hurle de douleur, soudainement tirée de sa torpeur, elle se redresse face à son bourreau.

– Pitié, arrête de me frapper!

– Alors viens te mettre à genoux devant moi, lèche mes bottes!

Marie, désemparée par cet ordre abject, essaie soudainement de fuir, détalant aussi vite qu’elle le peut dans le jardin?

Les loubars éclatent de rire de la voir courir nue en talons dans la pelouse, ils ne semblent pas la poursuivre. Elle croit un instant pouvoir leur échapper. Elle entre dans la maison par la porte-fenêtre, traverse le salon le plus vite qu’elle peut, son fondement défoncé la met à la torture. Elle atteint la porte d’entrée qu’elle met quelques secondes à ouvrir car elle est fermée à clé, elle bondit dehors!

Mais le grand a fait le tour de la maison plus vite qu’elle, il lui fit un croc-en-jambe dans le noir au moment où elle sort de la maison. La Marie s’étale de tout son long dans l’allée, sous les rires du mecs. Elle veut se relever, mais il l’attrape vivement par la chevelure, il la traîne dans la maison malgré ses cris de douleur. Arrivant tranquillement par la porte-fenêtre, le barbu et le tatoué discutent tranquillement.

kastamonu escort Bascule moi cette salope sur le canapé, qu’elle ait sa punition!

Le grand relève Marie sans ménagement, il la plie en deux sur le dossier du canapé, il lui plaque le visage dans les coussins. Son cul se trouve exposé en bonne position, tandis qu’elle essaie de se libérer en battant des jambes désespérément.

– Je crois que mon copain t’a dit que c’est ta dernière désobéissance, je suis obligé de te punir.

Il lui envoie un nouveau coup de ceinturon sur les fesses. Elle hurle dans les coussins, elle gesticule pour échapper à cette souffrance atroce, son cul se pare d’une marque violacée, presque noire tellement le coup a été violent.

– Pour cette fois, ce sera seulement trois coups!

Il lui cingle à nouveau les fesses, lui arrachant un nouveau cri de douleur, elle n’avait jamais ressenti de souffrance aussi vive. Avant qu’elle ne reprenne son souffle, il envoie un terrible troisième coup de ceinture, Marie croit qu’elle va défaillir. La douleur est si vive qu’aucun son ne franchit ses lèvres. Le grand relâche sa tête, mais elle est trop en état de choc pour faire quoi que ce soit.

– Maintenant, viens te mettre à genoux et lèche mes bottes.

Elle sanglote de douleur, elle met du temps pour se dégager de sa position inconfortable et descendre du canapé.

– Un peu plus vite, sinon?

Terrorisée, elle se jette à genoux, elle s’approche du barbu, se penche vers ses bottes. Elle a cependant un temps d’arrêt, réalisant ce qu’elle va devoir faire.

– Lèche, maintenant! ordonna-t-il!

Soumise, elle se met à lui lécher les bottes, dans une posture terriblement humiliante. Le barbu laisse passer de longues secondes, puis ordonne à nouveau.

– Maintenant, redresse-toi, sors ma bite et suce moi!

La Marie, complètement dominée, obéit dans un état second, elle se redresse pour dégrafer le pantalon du barbu. Fait glisser le jean, elle entraîne par la même occasion le caleçon douteux du barbu, ce qui fait jaillir son sexe. Elle n’a jamais vu un sexe aussi gros?

Il n’est pas encore complètement bandé. La bite du barbu fait bien vingt six cm de long et surtout elle est d’un diamètre colossal, peut-être sept où huit cm? Elle reste interdite, contemple le monstre poilu qu’elle va devoir prendre dans sa bouche. Une gifle violente la ramène à la réalité.

– C’est pour aujourd’hui ou pour demain? Suce ma queue et fais ça bien!

Mortifiée, elle prend le sexe dans sa main. Elle ne peut même pas en faire le tour avec ses doigts, elle l’approche de ses lèvres. L’odeur est épouvantable, cependant elle aurait fait n’importe quoi pour éviter d’être à nouveau frappée, elle ouvre la bouche pour gober le gland.

L’engin est si énorme qu’elle doit distendre ses mâchoires pour réussir à le prendre en bouche, elle commence à essayer de le sucer, mais elle ne peut en prendre qu’une petite partie avant d’être incommodée!

– Redresse-toi pour me sucer, qu’on voit bien ton cul!

Marie se relève tant bien que mal, elle se trouve maintenant pliée en deux pour le sucer? Cette nouvelle position a l’avantage qu’elle est plus à l’aise pour le prendre en bouche, mais son cul se trouve particulièrement exposé. Le tatoué en profite pour venir lui caresser le fessier, il lui doigte la chatte, pendant que le grand est en train de picoler au bar.

– Prend la plus profond, salope! Éructe le barbu, en lui appuyant sèchement sur la tête.

Elle fait ce qu’elle peut, mais le gland disproportionné vient buter au fond de sa gorge, ça lui provoque des hauts le cœur. Elle essaie d’emboucher ce sexe énorme sans succès, elle sent bien que ça ne va pas plaire au barbu. Elle a déjà les larmes aux yeux à cause de ses tentatives!

Le barbu lui attrape les poignets, il lui retourne les bras dans le dos et les saisit d’une seule main. Elle est complètement sans défense, de l’autre main, il lui attrape la chevelure, il amplifie lui-même les va-et-vient de la bouche de Marie sur son sexe. Elle ne peut plus se débattre, elle doit essayer d’accompagner au mieux les mouvements, elle refuse toujours que ce sexe immonde kayseri escort franchisse la barrière de sa gorge.

Concentrée sur la fellation, elle ne sent pas arriver le tatoué, celui-ci lui défonce la chatte d’une poussée brutale, il s’enfonce de toute sa longueur dans son puits d’amour. De surprise, elle tente de crier, mais le barbu, qui n’attend que cela, met à profit son cri muet pour forcer sa gorge. Son sexe entier disparait dans la bouche de la pauvre Marie, il distend sa gorge et bloque complètement sa respiration.

Le barbu rugit de plaisir. Elle est en état de choc, le nez dans les poils pubiens du barbu, la gorge torturée par le sexe qui l’encombre, incapable de respirer à nouveau. Ses jambes l’abandonnent, cependant le tatoué lui maintient fermement les hanches pendant qu’il la baise, ce qui l’empêche de s’effondrer sur le sol.

Elle commence à défaillir par manque d’air et à cause de la souffrance, son corps est pris de tremblements. Un voile noir lui obscurcit sa vue quand le barbu retire finalement son sexe de sa gorge. Toujours maintenue par les cheveux, les poignets et les hanches, elle vomit ce qui restait dans son estomac par terre, tout en aspirant goulûment une bouffée d’air, elle crache et tousse tout ce qu’elle pouvait.

– Tu vois que tu peux tout prendre si on t’aide un peu.

Il fourre à nouveau son sexe dans sa bouche, directement au fond de sa gorge. La deuxième fois est un peu moins douloureuse, mais c’est toujours un cauchemar, le barbu se met à aller et venir au plus profond de sa gorge. Elle est en larmes, secouée de spasmes à chaque fois que le gland franchit la barrière de sa luette, en panique pour essayer de respirer à chaque fois qu’il se retire un peu. Le tatoué finit par éjaculer dans sa chatte, elle ne s’en rend même pas compte tellement sa gorge la fait souffrir.

Du coup, elle ne voit pas non plus le grand revenir derrière elle, une bouteille de bière de soixante quinze cl à la main. L’ayant décapsulée et la maintenant fermé d’un pouce, il se met à la secouer énergiquement, attendant le signal du barbu. Celui-ci sent arriver la vague de sperme dans ses couilles, quelques secondes avant de jouir, il hurl.

– Maintenant!

Le grand plante le goulot de la bouteille sous pression dans la vulve humide de Marie. Un geyser de bière sous pression lui inonde le vagin, ça lui procure des sensations inouïes qui lui déclenchent un orgasme monumental.

Elle écarquille les yeux de surprise et de jouissance, râlant silencieusement son plaisir, au moment même où le barbu éjacule au plus profond de sa gorge dans un grognement sourd. Elle se met à trembler de tout son corps, le cerveau déconnecté par la jouissance, elle s’écroule au sol quand les deux gars relâchent leur prise. De longues giclées de bière s’échappent de son vagin défoncé, un filet de sperme coule de ses lèvres.

Les trois loubars se congratulent, en se tapant dans les mains.

– Putain, c’est un coup de malade, cette gonzesse. je me demande ce qu’on peut encore lui faire?

– T’inquiète pas, on va bien trouver, la nuit est encore longue.

Lui répond le grand. Ils se servent un coup pour reprendre des forces.

Caché sur la mezzanine après en avoir terminé avec le cul délicieux d’Angèle, Jérôme n’a rien raté de la dernière scène, il a tout enregistré sur smart phone. Il se demande ce qui va bien pouvoir sortir de l’imagination de ses sadique créanciers.

Les deux jeunes femmes ont plus que remboursées la dette de Jérôme tout le restant de la nuit qui a été une orgie d’orgasme pour ses femmes. Les trois loubars ont même fait venir trois collègues pour assouvir leurs perversités. Ils ont même fait saillir les deux femmes par un chien, elles en garderons un souvenir inoubliable.

Au petit matin Jérôme ramène sa belle mère à l’appartement. Elle est dans un état lamentable, sa bouche, sa chatte et son cul sont enflammés, irrités, d’avoir trop été utilisés. Sa bouche a des relents de sperme, ses autres puits d’amour suintent encore de sperme.

– Voilà! Ta dette est bien remboursé mon chéri!

– Hein? Comment tu sais? – Le barbu me l’a dit au bar avant d’aller chez Angèle. – Et tu y as quand même été chez Angèle? – Je l’ai fait pour toi mon chéri, je ne savais pas ce qu’il allait me faire subir, mais je ne regrette pas cette nuit ou j’ai joui comme une folle plusieurs fois. Je vais me couché? Je suis fatigué! Marie va se couché nue sous sa robe avec autour du cou un collier à chien avec la laisse qui descend dans son dos sous la robe.

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Sabrina

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Je ne suis pas l’auteur de ce texte, il vient d’un site d’histoires érotiques fermé depuis longtemps. Je reposte ces textes pour qu’ils en tombent pas dans l’oubli.

Moi et mon meilleur ami Mathias avions des vues sur Sabrina : une brune assez sage avec une paire de seins énormes et des lèvres superbes elle était très belle et nous la désirions tous les deux.

Pendant toute la soirée on lui offrit à boire et elle ne refusait jamais un verre, nous incitant à en faire pareil. Au bout d’un certain temps Sabrina était complètement ivre et ne se rendait même pas compte que nos mains se faisaient baladeuses, tantôt sur ses cuisses, tantôt sur sa poitrine, mais Sabrina jouait la sainte nitouche : un coup elle se laissait faire, un autre elle nous repoussait. Exaspéré par ce petit jeu, Mathias me dit qu’il avait ramené des States une pilule qui rendait chaude et qui faisait perdre les mémoires le temps d’une soirée. Déjà ivre moi aussi, j’acceptai et offris à Sabrina un verre de vin où j’avais glissé la gélule miracle.

Mais le résultat fut qu’elle commença à s’endormir à tel point que, discrètement, nous éclipsant de la soirée vers une chambre, nous portions Sabrina avant de la jeter sur le lit sur le dos. Elle souriait, elle ne dormait pas vraiment et était dans une semi- inconscience. Assis autour d’elle, nous avions été frustrés par son petit jeu et terriblement excités par la situation, nous voulions en profiter un peu.

Je commençais par ouvrir les boutons de sa chemise pour découvrir sa belle poitrine, un 95 D que je libérais au plus vite de l’emprise de son soutien-gorge. J’ai commencé par lui lécher ses gros seins ce qui eut pour effet de la faire gémir. Les yeux clos, elle était réceptive à nos sollicitations sans pouvoir les repousser.

Trop kuşadası escort excité pour m’arrêter là, je sortis mon sexe pour le coller contre l’un de ses seins. Je n’en pouvais plus, Sabrina était là, soumise et à ma disposition, elle ne se rendait pas vraiment compte de ce qu’il lui arrivait.

Je me mis au-dessus de ses seins et placé ma queue en la serrant autour de ses seins, on ne m’avait jamais branlé ainsi, Mathias se masturbait fortement et retira vite la culotte de Sabrina qui ne bougeait plus que par intermittence. “C’est le pied, on peut lui faire ce qu’on veut” “Tu es sûr, lui dis-je d’un ton qui indiquait que je n’avais pas vraiment envie d’arrêter ma masturbation entre ses seins.

“On va se la faire comme une pute et réaliser tout ce dont on a envie lui dis-je “.

Entièrement déshabillée, nous avons léché Sabrina. Sa chatte, son cul étaient triturés dans tous les sens tandis que nous continuions à nous branler en se servant d’elle ; nous nos caressions sur ses mains ses seins son cul.

L’envie de la pénétrer était trop forte, je m’approchais de sa bouche en l’embrassant à pleine langue et, à ma surprise, elle me rendit la pareille. Surpris par sa réaction, j’approchais mon sexe de l’entrée de sa bouche, forçant le passage de ses lèvres avec mon gland. Une fois à l’intérieur de sa bouche, elle reprit son jeu de langue comme s’il ne s’agissait que de ma langue mais c’était bien ma bite qui entrait et sortait doucement de sa bouche. A chaque pénétration, elle entourait mon gland avec sa langue bien chaude.

Mathias, halluciné, vint se mettre de l’autre coté et à tour de rôle nous lui pénétrions la bouche. La situation était vraiment bandulatoire, nous l’insultions copieusement kocaeli escort : “Elle aime ça la salope” dit Mathias, et c’est vrai qu’elle semblait apprécier ce va et vient de nos sexes dans sa bouche. ” Qu’elle bonne suceuse de bites tu fais Sabrina, tu es la meilleure et je vais te baisser la bouche”. “Tu as déjà éjaculé dans la bouche d’une fille, lui dis-je, parce que moi j’en rêve depuis longtemps “. ” Attend “, me dit Mathias. Il se place derrière Sabrina et éjacule sur ses lèvres puis lui soulève la tête alors que je mets mon sexe de nouveau entre ses seins de telle façon que ma bite lime entre les seins pour finir dans la bouche de Sabrina. Mathias la tient et pousse sa tête sur ma bite, ce bruit de succion permanente m’excite à mort, je n’en peux plus, prend sauvagement la bouche de Sabrina pour y fourrer ma bite avec force, je sens mon gland heurter le fond de sa gorge, sa bouche est chaude et humide. N’en pouvant plus, j’éjacule dans sa bouche ouverte en regardant avec bonheur mon sperme gicler et venir s’écraser dans le fond de la gorge de Sabrina. Mon éjaculation est copieuse et lui remplit la bouche rapidement, je me retire et remets mon sexe à l’intérieur de sa bouche. C’est chaud, mon sexe continue à déverser quelques gouttes de sperme, elle avale goulûment, je me retire pour laisser la place à Mathias qui éjacule alors sur ses gros seins.

La situation est trop excitante et me fait rebander immédiatement. Cette fois je veux prendre son cul. Pour dilater son anus tout sec je le badigeonne du foutre qui coule de sa bouche et qu’elle semble avaler sans vraiment sans rendre compte. Je la retourne et commence à m’immiscer dans son intimité anale sans y avoir été invité. Mais Mathias veut aussi la fourrer allongé konya escort sur le lit. Je pose Sabrina sur le ventre de Mathias pour qu’il prenne sa chatte. Une fois installé, je reprends ma sodomie lentement et profondément je lui défonce la rondelle, les insultes reprennent au moment où notre double pénétration s’accélère “Ah, c’est bon de te baiser Sabrina, t’aime ça ma salope, t’aime sentir nos bites toutes chaudes te fourrer” “Pétasse, salope, putain” tout y passe!

Mathias se retire pour ne pas éjaculer dans sa chatte, il crache sur son corps. Je ne tarde pas à vouloir de nouveau éjaculer me retire et me couche sur elle pour venir mettre ma bite entre ses seins déjà couverts de sperme, je me branle comme un fou entre ses gros nichons pour finir par me branler et lui juter sur la gueule. Sabrina bouge à peine, elle est couverte de sperme et des tremblements viennent parcourir son corps “Aurait-elle apprécier son enculade” me dis-je intérieurement.

Puis tous les deux nous lui avons fait prendre une douche en la lavant du sperme qui la recouvrait. Même sous la douche elle ne se réveillait pas. Nous en profitions pour nous masturber une dernière fois en jouant avec son corps. Pour nous finir, je me place au-dessus, d’elle lui ouvre la bouche avec ma main en la maintenant près de mon sexe pour pouvoir lui offrir une double éjaculation qui la recouvre une fois de plus de sperme chaud, “Hum, un délice…”.

La nuit passée, nous avons dit à Sabrina qu’elle était bourrée et qu’elle avait vomi, d’où la douche. Ne se souvenant de rien, elle ne nous dit jamais rien, et nous non plus ; mais depuis Mathias et moi on la regarde d’une autre façon surtout par exemple quand elle boit à la bouteille.

Vous comprenez pourquoi avoir droguer une fille pour la ne me rend pas particulièrement fier, même si nous avons toujours pris soin de ne pas lui faire mal et de ne pas éjaculer dans sa chatte pour ne pas la mettre enceinte. Mais quel pied ce fut sur le moment de pouvoir jouer ainsi avec son cul, son sexe, ses gros seins et sa bouche!

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La Queue de Sirène Ch. 02

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Bonjour, aujourd’hui, le texte que je fais paraître n’est pas de moi. C’est une traduction d’un auteur en langue anglaise de nom de Corvid. Je l’ai trouvé sur le site ravishu. Je l’ai adoré. Avec l’aimable autorisation de l’auteur, j’en ai donc fais la traduction. Il a écrit pas mal de textes du même genre, que je traduirais également. Je tiens à signaler que ce texte très violent, est basé sur le viol. Il est imaginaire, et toutes ressemblances avec des personnages existants, dans la même situation, serait purement fortuite. Toutes les personnes sont majeures, et personne n’a été réellement blessés. Tout les personnages sont majeurs. Pour ceux qui n’aime pas les histoires violentes, ou de viols, passé votre chemin. Pour les autres, j’espère que vous prendrez autant de plaisirs que j’en ai eus. Bonne lecture.

J’ai volontairement laissé certaines expressions, bien que traduite, dans leurs mots d’origines, quand leurs traductions en français a un sens. Pour les unités de mesures, j’ai là aussi laissé les unités anglo-saxonne, mais je donne leurs équivalent en mesure européenne.

Il y a eu une accalmie momentanée. Il n’y a aucun moyen que quelqu’un dans la “Queue de Sirène” ce soir-là se trompe sur l’invitation de Paulo. Mais c’est une chose de voir un homme violer une femme, et même d’encourager l’homme, et une autre d’accomplir un tel acte vous-même. Les habitués ont dû faire une pause pour regarder dans leur cœur et se demander: étaient-ils si excités, en colère ou les deux? Pourraient-ils vivre avec eux-mêmes, et les conséquences de ce viol, demain?

Comme la plupart des moments, cependant, ce ne fut pas très long.

Alors que les hommes qui l’ont tenue pendant que Paulo lui tendait et détendait le trou du cul, Kurt et Sam étaient les plus proches. Comme étant les hommes qui avaient été les plus proches des gémissements et des pompages, des secousses et des gifles, ils étaient probablement aussi les plus affamés d’elle.

« Puis-je aller derrière le bar, Gus? » Sam a demandé au patron.

Gus incline la tête d’un côté à l’autre pendant un moment, réfléchissant. « Allez-vous commander quelque chose? »

« Bien sûr! Faisons un tournée générale pour tout le bar. » Sam arbore un éclair de dents en forme de belette, montrant Tan Man dans sa flaque de pisse et de sang. « Vous pouvez le mettre sur sa carte. »

Gus glousse, se penchant en avant. « Est-ce que cela va vous convenir, monsieur? Vous payez pour ce tour? »

L’homme gémit. Red John attrape ses cheveux et hoche la tête de Tan Man de haut en bas. « Assurez-vous d’inclure un pourboire généreux pour Nancy. Je suis sûr que votre client se sent une certaine culpabilité d’avoir été piquée par elle plus tôt. »

« Eh bien, c’est vraiment généreux de votre part, monsieur », répondit Gus, sa voix presque aussi joviale que menaçante. « Vous nous beurrez comme ça, pourquoi pas, nous pourrions changer notre opinion de vous avant la fin de la nuit. »

Nancy a levé le loquet de la porte à charnières au bout du bar, puis elle et Sam ont échangé des places, alors que Nancy fait un circuit pour prendre les commandes de boissons. Sam est retourné à l’endroit où la rousse sanglote derrière le comptoir du bar. Elle lève la tête du zinc, commençant à agiter ses mains pathétiquement vers lui, quand Sam tend la main pour commencer à tirer la chemise ouverte de son dos. Kurt, riant de l’étalage, commence alors à poser une autre série de gifles dures sur son cul gonflé. Sam a supporté la frappe pendant un moment alors que ses cris deviennent de plus en plus forts. Finalement il lui relève la tête, jusque à ce que son visage de putain soit contre le sien, sa bouche sur l’oreille de la rousse.

« Ferme ton clapet et reste immobile, salope! Comprend bien que tout ce qui t’arrive c’est déjà produit avec d’autres! Mais pour toi, c’est entièrement de ta faute! »

Vous pouviez voir Nancy se raidir un peu quand Sam l’a dit, mais elle a continuée à prendre des commande. Je n’étais pas allé au bar cette nuit-là, il y a six ans, lorsque Nancy avait fermé l’endroit et qu’elle et Sam étaient restés debout à tirer en arrière. Elle n’était ensuite pas venue travailler pendant une semaine, quand elle est revenue, la serveuse a laissé Gus servir Sam pendant la plus grande partie de l’année.

Sam a finalement enlevé la chemise des bras de la rousse, l’a tordue et l’a utilisée pour attacher ses avant-bras ensemble derrière son dos. Elle babille hystériquement alors que Kurt la soulève par les hanches, la retournant pour lui faire face; avec l’aide de Sam, ils l’ont positionnée de sorte que son torse se cambre au-dessus du comptoir, ses jambes eskişehir escort pendantes du côté de Kurt, sa tête suspendue au-dessus de celle de Sam. C’était la toute meilleure vue de ses seins que la plupart des clients du bars n’ont pas pus apprécier auparavant, surtout avec ses épaules tirées en arrière par la retenue impromptue des bras de Sam. Les marques rouge des tâtonnements, des pincements, des gifles de Paulo se détachent nettement sur la peau claire et légèrement rougit qui s’étend sur le haut de sa poitrine et de sa cage thoracique, il y avait des sifflements et des chuchotements sur le nombre de stigmates que l’homme a fait sur ses sacs de plaisir.

L’une des bouteilles de Heineken avait été éjectée du bar quelque temps auparavant, au cours de l’altercation précédente; Sam attrape l’autre, maintenant, il fait basculer une partie de son contenu sur le visage de la rousse, dessinant un autre cri pour cet acte.

« Rien de tout cela, maintenant. » Sam grogne. « Question simple, entrejambe de feu. Si ma bite va dans ta bouche, vas-tu essayer de la mordre? »

« Ah, non … » La rousse gémit, essayant de s’asseoir. « Non, pas plus, s’il vous plaît …! »

Sam a planté sa main sur sa poitrine et l’a tirée vers le bas, faisant glisser sa main vers le haut, pour qu’elle s’enroule autour de sa gorge.

« Ce n’est pas une putain de réponse ça. Ce que j’ai besoin d’entendre, c’est si ma camelote va rencontrer vos dents sur leur chemin vers votre goélette. »

« Tu ne peux pas- »

Son gémissement est devenu un gargouillis alors que la main sur sa gorge se resserre puissamment.

« T-tu … ne peux pas…! »

Plus de bière renversée sur son visage; cela l’éclabousse, la putain en avale un peu et elle tousse.

« Je peux voir que tu ne m’entends pas. Permettez-moi de poser une question différente: quelle quantité de cette bouteille pensez-vous que je pourrais bousculer dans votre con, si j’y mettais toute ma force? »

Kurt soupire, exaspéré, alors qu’il ouvre la mouche de son jean et commence au poing, à caresser sa bite déjà dure, son autre main serrant la cuisse de la rousse par anticipation. « Arrête de jouer avec ta nourriture, Sam. Je ne veux pas recommencer à rebondir jusqu’à ce que vous vous trouviez. »

« Hé, dumbass! » Sam a aboyé de l’autre côté du bar. « Votre petite amie sait-elle comment sucer la bite? Ou passez-vous tout votre temps à vous faire les ongles les uns les autres? »

Sur le sol, la tête de Tan Man s’est allongée apathiquement d’un côté, les yeux à moitié ouverts, et un filet de sang a coulé de sa bouche, provenant de l’une de ses nombreuses dents cassées.

« C’est bon, Sam … » Kurt grogne.

« Très bien … » Sam siffle. « Salope, si tu ne veux pas te faire baiser par une brasserie néerlandaise, montre-moi en ouvrant ces lèvres qui doivent engloutir ma bite et en les gardant ouvertes, c’est juste la merde pour toi maintenant. »

Elle a fait quelques petits gémissements de plus, mais je suppose que le message est passé. Ses lèvres pulpeuses se séparent, et bientôt la tête non circoncise de la bite de Sam s’écrase entre elles, alors qu’il jette la bouteille dans le seau à ordures.

« Ouais … C’est vrai, la viande. Vous pensez juste à la façon dont vous pouvez faire de votre bouche un bon trou de merde pour Sam, et peut-être que vous et votre garçon pourrez sortir d’ici quand nous aurons tous terminé.

« Marché? » Kurt renifle. « Ne faites pas de promesses. »

« Rampez, alors. »

« Êtes-vous là-dedans, déjà? » demande Kurt.

Sam a donné un grognement bas alors qu’il pousse ses hanches contre le visage de la fille, et la rousse a fait un bruit de reniflement humide, son torse tremblant alors que son dos se cambre dans l’étreinte des hommes.

« Ouais … Vas-y . allez-y. Donnez-le-lui. Dit Sam à Kurt de l’autre côté du comptoir.

Kurt n’a pas besoin qu’on le dise deux fois. Serrant l’intérieur de ses cuisses dans une prise rugueuse, il plante la tête de sa matraque épaisse contre les pétales de sa chatte et pousse fort. La pénétrant difficilement.

« awhuuuuhuuuuhh-! »

Le bruit de sa gorge bourdonnant autour de la bite de Sam est triste et douloureux. Kurt sourit, glissant ses mains vers le haut de ses cuisses pour s’enrouler autour de ses hanches, pour obtenir une meilleure prise, et pousse à nouveau en elle, cette fois avec plus d’emphase. Ses genoux se soulèvent, ses ongles d’orteils peints en écarlate se serrent et s’étendent dans ses escarpins à bout ouvert, alors que ses mollets s’agglutinent, que ses cuisses tremblent avec la gaziantep escort pénétration.

« Comment vous va cette chatte, Kurt? » Demanda Cal, se léchant les lèvres en souriant à son petit ami.

« Sacrément serré », retourne Kurt, tout en secouant ses hanches à travers la chienne, alors qu’il commence déjà à trouver son rythme. « Je dirais que la princesse ici ne s’étire pas beaucoup, elle a pas dut connaître beaucoup de bites, surtout pas des grosses… »

« Eh bien, je dirais que nous allons résoudre ce problème, avant la fin de la nuit. » Red John rit.

« Peut-être, si je ne fais pas exploser sa de boîte à bébé avant que vous ayez une chance. »

Il y a des huées et des sifflets à celui-là. Même Nancy s’est arrêtée sur le chemin du retour vers le bar pour donner de la voix, une fois de plus. Kurt, elle ne l’a jamais eu, pour autant que je sache, pourtant il est connu pour donner un bon moment aux dames.

Non pas qu’il s’embête avec de telles plaisanteries ce soir.

Sam a ses mains sous les aisselles de la rousse, maintenant, aidant à se maintenir en place alors que les mouvements de Kurt poussent la femme d’avant en arrière comme si elle était utilisée pour polir le comptoir. Sam enfonce sa bite profondément dans sa tête, maintenant, et Kurt ne semble pas se plaindre de la façon dont elle se tord quand cela pompe le fond de sa gorge.

« Sam, tu es un bâtard », a déclaré Jerry du bout du bar, « Je ne pense pas que cette fille va avoir une carrière de chanteuse, si tu continues ça. »

Les clients ont ri et Sam a souri.

« Oh, tu veux l’entendre chanter? »

Se branlant hors de sa bouche, Sam lève un bras puis claque sa main dans une patte fermée sur l’un de ses seins bien mutilés – pas tout à fait un coup de poing, mais plus dur et plus méchant qu’une gifle, et délicieusement gratuit après les attentions cruelles que ses nibards avaient reçues de Paulo.

« EH-WHUHHH…! *KORFF!* *KORFF!* » La salive éclabousse de sa bouche alors qu’elle s’étouffe, essayant de capter de l’air autour des crachats et des mucosités.

Sam s’agite, sa main remuant d’avant en arrière sur le monticule tourmenté.

« Je n’ai pas l’impression qu’elle se dirigera vers Broadway de sitôt. Je vais juste continuer à malmener sa boîte vocale, si c’est la même chose pour toi…? »

Les spectateurs ont crié, mais Sam est déjà de retour pour faire gonfler et crever ses joues avant d’attendre une réponse.

Ses cuisses étaient serrées contre la taille de Kurt, maintenant, pas tant par passion, que pour avoir quelque chose à quoi s’accrocher, car elle est pilonnée des deux côtés. Le ciel sait que cela ne semblait pas ralentir Kurt. Le battement régulier de ses cuisses contre le comptoir est accompagné d’un anneau plus doux du rail de laiton, placé sous et devant le bord du bar, marquant incongrûment musicalement le martèlement brutal du sexe de la rousse.

Sam a continué à plaisanter et à se prélasser alors qu’il parcoure la bouche et la gorge de la rousse, mais Kurt s’est juste calmé alors que sa baise devient plus intense, violente et méchante. Bientôt, il se lève alors qu’il se retire, soulevant le bassin de la rousse seulement pour le pilonner sur la barre alors qu’il se porte en elle, cherchant une pénétration plus profonde de sa chatte accrochée, pour frapper son ventre et faire palpiter et faire palpiter et faire mal sur toute la longueur de son passage féminin avec son assaut.

Jerry soulève son chaudronnier du bar après avoir vu un bon éclat rebondir hors du verre. Il l’a pris dans la foulée, cependant, appelant Nancy pour un autre tout en lui donnant un coup fringant sur la croupe alors qu’elle part le chercher, ses yeux ne laissant pas la femme arquée au-dessus du zinc. Il peut voir que sa peau claire rougit de toutes sortes de façons intéressantes, alors que les hommes compactent sa colonne vertébrale, ces magnifiques seins continuant leur rebond persistant, alors que son estomac serre frissonne et béguait.

Puis son cou a commencé à bouger d’avant en arrière, son estomac s’est creusé violemment.

« awukk- kikkk! kixxx-! Ufffittt- Ufffit…! »

« Aw … Ah, mec…! » Kurt grogne, respirant fort alors qu’il rentre dans ce corps outragé à l’arraché. “… C’est bien! »

« Sam … » Gus intervint avec avertissement. « Cette fille est vraiment sur le point de gerber. Putain, je te préviens, qu’elle ne salisse pas mon comptoir! »

S’il y a une chose à faire confiance à un barman, c’est de savoir quand quelqu’un est sur le point de vomir. Sam attrape la serviette de bar que Gus lance dans sa direction giresun escort et se libère de la gorge de la rousse, mettant la serviette ventouse sur sa bouche, juste à temps pour voir le tissu s’assombrir avec l’humidité – et la fille recommencer à avoir une respiration sifflante, alors qu’une partie de la matière déviée retourne directement dans sa bouche.

Kurt a continué à la baiser alors que les cordes de son cou s’avance et que son visage commence à devenir rouge; quelles que soient les réactions sympathiques qui auraient pu se produire dans sa chatte, il semble qu’elles étaient OK avec lui pour ne pas apparaître. Sam a pris un moment pour s’assurer qu’aucune des vomissures ne s’est, par mégarde, retrouvée sous sa tête, avant de remarquer à quel point son visage devient rouge, la rousse tourne presque de l’œil.

« Hé, hé-hé. » Il s’adresse à elle, claquant des doigts devant son visage. « Regardez-moi. »

Il semble que ses yeux sont bombés, ils et commencent à reculer alors que son corps continue à s’incliner, mais elle a un semblant de réaction, pour légèrement suivre son ordre.

« Toussez fort, deux fois. »

Elle l’a fait, et une tache de quelque chose a vole hors de sa bouche et s’est collé à la chemise de Sam. Il ne semblait pas le remarquer.

« Maintenant, respirez, lentement. »

Sa tête plonge, rebondissant sur son cou. Son premier souffle est une autre respiration sifflante, mais son prochain semble plus clair.

« ahh- ssss … ahhhh! ssss. Arrêtez-vous… Guh… euh…! S-stop… »

Kurt n’a certainement montré aucun signe de le faire; au contraire, il semble même qu’il s’enfonce plus fort en elle, peut-être pour compenser la tension soudainement diminuée après l’arrêt de sa crise d’étouffement.

« Non, » rétorqua Sam. « Je vais te casser complètement, maintenant, Salope. »

Son gémissement désespéré fut étouffé alors que la bite de Sam revient dans sa bouche.

Gus a trouvé un autre chiffon et l’a mouillé, essuyant les morceaux de vomi restants des joues et des cheveux de la rousse, plus un acte esthétique qu’un acte humanitaire. Nancy a continué à livrer des boissons aux habitués de plus en plus tapageurs, et je serais damné si je ne commence pas à remarquer un peu de rougeur sur son propre visage. Paulo est à une table, prenant de grosses gorgées de rhum et d’amer, se penchant en avant, souriant comme un sauvage, alors que les deux hommes secouent le corps de la fille d’avant en arrière. Quant à l’homme Tan, eh bien, il n’est plus clair, d’après son expression, s’il reconnaît entièrement ce qu’il voit; sa tête n’arrête pas de tomber vers l’avant comme s’il veut s’évanouir, puis se branle pour rester conscient, avec un gémissement de douleur.

Kurt renifle, renifle comme un taureau, et les pieds de la rousse lui donnent des coups de pied sur les genoux alors qu’il le lui met profondément, méchamment. Il se dirige clairement vers un point culminant, en supposant qu’il n’a pas cassé la barre autour du comptoir, avec le bassin de la salope qu’il viole, d’abord.

« Hé, copain-garçon, » se moque Cal de l’homme sur le sol. « Est-ce que votre chienne prend la pilule? »

La mâchoire de Kurt est devenue rigide alors qu’il conduit sa bite jusque au col de l’utérus de la chienne, se tenant complètement contre elle, tout son corps frissonnant, le rire aigu de Sam portant au-dessus de la braise du public.

« … Eh bien, je suppose qu’il est trop tard, maintenant. » dit Cal au copain de la jeune et belle femme sauvagement violée.

Kurt est assez bon pour la maintenir en place pendant que Sam la baise jusqu’à sa propre conclusion, lui tenant le nez alors que ses joues gonflent avec l’éjection de son sperme.

« Avalez-le, ma fille. Avalez tout », se moque Sam. « Vous n’êtes pas lâché jusqu’à ce que vous avaliez, et il serait dommage que votre tête gonfle et éclate après tout ce que vous avez traversé. »

Des larmes strient son front inversé alors que sa gorge bouge, ses joues s’enfoncent, ses lèvres tordues parviennent en quelque sorte à transmettre son dégoût total, même partiellement obscurci par le tronc velu de Sam.

« Ouais … » Sam ronronne, souriant à Kurt alors qu’il retirait lentement son anatomie de la rousse avec un filet de confiture de perles. « C’est tout. Une bonne fille avale le sperme de son maître. C’est une bonne et méchante fille, là. »

Gus hoche la tête alors qu’il passait devant lui pour sortir de derrière le bar.

« Ouais », a accepté Kurt, serrant l’un de ses seins maintenant immobiles. « Dommage pour vous, c’est une nuit pour que les bonnes filles soient punies. Ce n’est que le début pour toi, salope». Il lui dit ça, tandis qu’un filet de sperme, rougit par les multiples déchirures qu’il lui a infligé s’écoule de sa chatte martyrisée. Kurt se tourne alors vers la foule, et crie :

« Au suivant ». Aussitôt un gémissement d’horreur sort de la bouche de la belle putain nue.

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L’ouvrière Soumise Ch. 07

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Ass

Les trois jours passent très vite et au petit déjeuné de ce samedi matin mon mari m’apporte ses derniers conseils pour la soirée.

– Je veux que tu sois la plus sexy possible, ta petite robe noire, tu sais la courte et légère que j’adore.

– T’est pas bien, elle est trop sexy pour cette soirée, en plus elle dévoile trop mes formes.

– Justement, ils n’en pourront plus et tu seras irrésistible, ils ne pourront rien te refuser.

– Tu abuses et ensuite je mets quoi?

– Je veux que tu mettes des bas à couture, ça embelli tes magnifiques jambes, tu mettras aussi ton petit string noir affriolant en dentelle.

– T’est fou ou quoi, que vient faire là mon string, tu ne vas quant même pas leur montrer mon intimité?

– Mais non, çà c’est pour moi tout seul, j’aurais le plaisir de te savoir aussi désirable alors qu’eux n’en sauront rien, je trouve çà excitant pas toi?

– Si çà te fait plaisir, t’en pis pour toi mon chéri.

– T’inquiète pas, je gère et j’aimerai aussi que tu ne porte pas de soutien gorge, ta poitrine est très belle, tu es bien plus féminine quant tu ne porte rien.

– Ben voyions, les seins nus en plus, tu ne crois pas que tu abuse?

– Mais non, mais non, crois moi tu vas adorer, çà va te chauffer toute la soirée, c’est moi qui vais en profiter après leur départ.

– En profiter après leur départ, tu es sur de ce que tu dis là?

Je n’en crois pas mes oreilles, mon mari va me jeter dans la gueule du loup, il veut que je m’habille comme une vrai salope, rien que pour les séduire, vraiment il n’imagine pas ce qui peut se passer, n’ayant aucune idée de ce qu’ils sont capables de faire, ces deux là.

Mais après tout, en cas de dérapage cela peut m’arranger, je peut toujours lui dire que c’est de sa faute, qu’il m’a trop exhibée et comme tout homme qui se respecte, ils ont craqué et ont abusé de la situation, moi je l’avais prévenu.

La journée passe très vite et mon excitation est à son comble, je ne peut que penser à ce que ces deux pervers vont me réserver.

Je prends un bain pour me relaxer, je vérifie mon épilation pour maintenir ma peau douce jusqu’à ma vulve que j’ai rasé l’autre jour, elle est tellement douce sans aucun poil disgracieux, aucun homme ne peut y résister.

Brushing aérien, parfumé et bien maquillée, je me sens très belle et désirable.

J’enfile donc un mini porte-jarretelles avec des bas de soie noir couture, comme convenu je ne met pas de soutien gorges laissant mes seins à l’air libre, mais je désobéis tout de même en ne mettant pas de string car Marcel me préfère totalement nue sous mes robes.

Je me mets devant la glace de la chambre, j’y vois une très belle femme, apprêtée comme un cadeau que l’on va offrir, mon corps ainsi orné, appelle aux plaisirs de la chair.

Ensuite j’enfile cette fameuse petite robe noire, bien trop courte qui épouse parfaitement mes formes, comme je le crains, on distingue mes seins et les pointes qui s’érigent déjà sous le plaisir naissant, c’est plutôt osé mais c’est mon homme qui le veut ainsi.

Je mets enfin mes plus beaux escarpins en vernis noir qui viennent parfaire ma tenue de femme fatale.

Si ce n’est que moi, je n’oserais jamais me présenter devant d’autres hommes ainsi vêtue surtout en présence de mon mari, c’est une véritable invitation au crime, s’il veut qu’ils abusent de moi, il n’a pas fait mieux.

Je l’ai prévenu, je ne peut répondre de rien, tant pis pour lui.

Mon homme quant à lui, il a préparé les festivités, si je puis dire, traiteur pour le repas, champagne prévu de l’apéritif jusqu’au dessert et pourtant il sait qu’il me monte trop rapidement à la tête.

Il a prévu une table ronde pour le dîner, il m’a dit que cela sera plus convivial.

Il est presque l’heure lorsqu’il me dit :

– Tu es prête ma chérie? Vient me faire voir comment tu es belle.

Je le rejoint dans le salon en me déhanchant comme les mannequins lors d’un défilé.

– Waouh ! Quelle beauté, tu es vraiment appétissante, je ne sais pas si nous allons pouvoir nous retenir ce soir.

– Comment ça? Tu ne compte pas faire de bêtises, chérie rassure moi?

– Mais non mon amour, c’est juste pour te dire qu’ils n’auront d’yeux que pour toi, il ne peut pas en être autrement, mais rassure toi, je suis là, il vient m’embrasser affectueusement sur la joue.

Dring… Dring…

– A les festivités vont commencer.

Il me met une tape amicale sur la fesse et me dit :

– A toi de jouer ma belle, va leur ouvrir la porte.

C’est avec le cœur battant que je me dirige vers l’entrée, anxieuse et impatiente à la fois de revoir mes deux amants.

J’ouvre la porte, Marcel dit de suite :

– Bonsoir, que tu es ravissante !

Repris immédiatement par son ami Jean.

– Tout ça en notre honneur, nous ne méritons pas tant de beauté

– Je vous en pris messieurs, veuillez entrée je vais vous présenter à mon époux.

Ils me laissent passer devant, ils en profitent pour me caresser les fesses au passage histoire de mettre l’ambiance pour le reste de la soirée.

Je rougis immédiatement elazığ escort comme une pivoine, la découverte de leurs mauvaises intentions confirme mes craintes et décuple mon excitation.

Marcel me chuchote à l’oreille :

– Je constate que tu ne porte pas de culotte, j’apprécie ce geste.

– Bonsoir messieurs.

Reprend mon mari qui se pointe au bout du couloir

– Bienvenus chez nous, c’est un réel plaisir que de vous rencontrer.

– Il en va de même pour nous, surtout avec une aussi jolie femme que la votre.

Marcel me regarde du coin de l’œil pour vérifier m’a gène. Ne voulant pas que cette discussion s’éternise au risque de toucher les points sensibles, je leur coupe la parole : – Vous êtes tous des charmeurs mais passons au salon pour prendre un apéritif.

– C’est vous la reine de cette soirée nous ne pouvons que vous obéir.

Là encore, ils laissent mon mari passer devant en direction du salon, ils en profitent pour me peloter outrageusement les fesses tout le long du couloir.

Rien que ces petits gestes déplacés suffisent pour allumer le feu dans mon ventre, encore cette fameuse peur mêlé au plaisir pervers que j’aime tant.

Je réussis néanmoins à leur échapper de crainte qu’ils n’aillent trop loin et surtout trop vite.

– Installez vous je vais vous servir

Mon homme se pose dans un des fauteuils du salon, laissant ainsi nos invités sur le grand canapé face à la cheminé, puis il leur propose :

– Que désirez-vous boire messieurs? Si je peux me permettre nous nous serons au champagne toute cette soirée, Nicole adore çà et j’aime lui faire plaisir.

– Cela nous convient aussi, le champagne est une boisson agréable, d’ailleurs cette boisson divine transforme les femmes, rajoutant à leur beauté la légèreté du cœur.

– Mais vous êtes un vrai poète et vous allez faire rougir mon épouse.

– Mais votre épouse n’a pas besoin de champagne au regard de sa beauté.

Tout en riant mon époux repend :

– Il va falloir que je la surveille si je comprends bien, tu entends çà ma chérie ?

– Je te l’ai bien dit que ce sont des charmeurs, mais intraitables au travail.

Nous trinquons aux travaux, à nos amours, au bout d’un moment mon mari me demande de m’asseoir.

– Chérie assied toi un instant, tu me donne le tournis en restant debout

Sauf que la dernière place disponible se trouve dans le fauteuil face à nos deux compères.

Je m’installe donc dans le profond fauteuil ce qui remonte immédiatement ma robe presque à la limite des bas, ce que personne ne peut louper ni même mon mari.

La scène est impudique, la rougeur de mes joues s’accentue rapidement alors que mon mari regarde fièrement nos invités que ma position ne laisse pas insensibles.

Mon mari remplit de nouveau nos verres.

– Alors messieurs, mon épouse m’a dit que vous dirigez son atelier, c’est bien ça?

– Effectivement, nous avons cette chance, de travailler avec de très belles femmes.

– Cela doit être très agréable de voir travailler toutes ces jolies ouvrières.

– Oui bien sur, il y a peu d’ouvrières, aussi de belles que votre magnifique épouse.

Marcel rapporte toujours les discutions vers moi comme pour me mettre mal à l’aise, c’est vraiment gênant vis-à-vis de mon mari qui pourtant prend très bien tous les compliments qu’il peut faire sur mon physique.

– J’ai effectivement beaucoup de chance d’avoir une si belle femme et croyiez moi, elle est très convoitée si j’en crois les regards que les hommes portent sur elle.

Là encore je dois intervenir pour éviter que les discutions ne dérapent.

– Messieurs, nous ne sommes pas au travail et on peut parler d’autre choses, non?

– Mais, mon amour, au contraire c’est très intéressant, je découvre ton univers au travers de nos hôtes et quoi de plus agréable que de parler de toi.

– Tenez, vos verres sont déjà vides, tient ma chérie, je sais que tu aime çà.

– Doucement, tu sais bien que je ne tiens pas l’alcool.

– Oui, mais elle te rend encore plus désirable

Marcel en profite à son tour :

– Faites attention, plus désirable que çà et nous ne répondons plus de rien.

– Tu vois ces messieurs sont d’accord avec moi, trinquons à ta beauté.

Nous discutons ainsi un bon quart d’heure, les verres se vident et se remplissent sans discontinuer, mon mari sympathise avec mes deux amants, ils rient des blagus sur les femmes

Je l’ai rarement vu aussi détendu avec des inconnus, on peut presque croire qu’ils se connaissent déjà, pour ma part l’alcool commence à me chauffer les tempes, ce qui me libère aussi de tout tabous.

Je ris avec eux, me penche en avant pour mieux les écouter, je laisse ma robe remonter jusqu’à dévoiler le haut de mes bas, mon décolleté laisse entrevoir mes seins.

Les deux invités n’en ratent aucune miette, devant mon mari et sans aucun complexe ils redoublent de compliments sur ma beauté, surtout sur mon corps, mon époux semble aux anges, naïf ou incrédule?

Malgré mon état de gaieté lié à l’abus d’alcool, erzincan escort je me rends compte que Marcel détaille très précisément mes courbes, mes formes anatomiques tout en parlant, mon mari le suit avec beaucoup d’intérêt mais sans rien dire.

Jean se tourne vers moi pour me dire :

– Ma chère Nicole, se serait agréable d’avoir un petit fond musical pendant ces intéressantes discutions.

Je regarde mon mari comme pour lui demander son avis mais il est toujours concentré sur le discours de Marcel, alors je me lève pour mettre un CD de jazz qui me semble approprié, je me dis qu’effectivement ce fond musical rend le moment plus agréable.

En retournant me rasseoir, le Jean me fait signe en tapotant sur l’accoudoir du canapé près de lui et me dit :

– Ma chère Nicole, ne me laisser pas seul, venez là près de moi.

Je regarde de nouveau mon mari, l’air surprise comme si je n’ai pas compris la demande formulé.

– Vous avez bien entendu, ne vous préoccupez pas de nos amis, ils sont trop occupés dans leurs bavardages, venez là à mes cotés, nous avons tant de choses à nous dire.

Sans savoir si je dois le faire ou pas, je m’approche doucement avec de nouveau cette angoisse malsaine qui me porte au cœur, je regards vers mon mari réclamant sûrement ce que je dois faire.

Mais mon homme ne semble pas percuter ce qui se trame, il est totalement concentré sur le discours de Marcel, qui tout en parlant me regarde avec des yeux gourmands, cherchant à me faire comprendre que les choses sérieuses vont commencer.

C’est la boule au ventre que j’avance vers Jean, celui qui a abusé de moi chez Marcel, il ne va pas abuser de moi devant mon mari, il n’osera quand même pas?

Arrivée à sa hauteur, il me dit :

– Restez donc là, debout près de moi et ne craigniez rien nous sommes dissimulés par votre magnifique bouquet de fleurs.

Effectivement regardant vers les deux autres j’aperçois que le grand vase de glaïeuls sur la table base fait comme un rempart visuel entre nous et eux.

Je reste donc là tel un décor, regardant toujours vers mon homme comme pour me rassurer, lorsque il me chuchote :

– Vous savez bien que vous n’avez pas le choix, alors pourquoi réfléchir?

Je suis horrifié en entendant ses mots, il est fou, quoi qu’il fasse mon mari va forcément réagir il ne peut pas en être autrement.

Tout en restant fixée sur mon mari qui écoute toujours Marcel, je sens une main remonter sous ma robe jusqu’à venir me peloter les fesses, je suis en stress total le cœur battant et la peau moite.

Je ne bouge pas d’un centimètre espérant que mon mari ne s’aperçoive de rien, par contre je sens très bien cette main qui me fouille carrément sous la robe. Des doigts inquisiteurs font des vas et vient dans le sillon de ma vulve et entre mes fesses tout en badigeonnant le liquide poisseux qui dévoile malgré moi le plaisir que me procure cette situation.

Toujours en chuchotant il reprend :

– Je vois que vous êtes toujours aussi réceptive.

Sa main parcoure plusieurs fois mes jambes, caressant le voile des mes bas pour venir se poser sur la chair de mon entre cuisse, me procurant a chaque passage d’agréables frissons.

Puis glissant un doigt sous une jarretière, il remonte jusqu’au bord de ma vulve qu’il parcoure lentement appréciant sûrement l’absence totale de pilosité.

Son doigt s’immisce ensuite dans ma fente humide, séparant mes grandes lèvres qu’il décolle facilement, il le glisse ensuite lentement au travers du sillon en direction de ma rosette jusqu’à venir sur ce petit trou interdit.

Il fait cela avec une telle discrétion, semblant de rien il regarde lui aussi vers nos deux interlocuteurs qui ne se doutent de rien.

Poursuivant son discours Marcel n’en est pourtant pas dupe, il me regarde de temps en temps par-dessus l’épaule de mon mari, cherchant à deviner sur mon visage ce qui peut bien se passer sous ma robe.

Moi j’entre petit à petit en transe, le traitement que ce pervers m’inflige presque à la vue de tous commence à porter ses fruits, j’ai du mal à rester calme et immobile.

Ce salaud doit bien le sentir, car il décide de poursuivre sa fouille, mouillant son doigt dans ma chatte à plusieurs reprises, il retourne appliquer ce lubrifiant naturel sur mon petit trou, pénétrant a chaque fois un peu plus dans mon anus.

Après quelques vas et vient il entre la totalité de son doigt et reste ainsi sans bouger quelques instant comme pour habituer mon cul à cette visite anormale.

Au plaisir est venu se joindre la honte, l’humiliation d’être ainsi doigtée devant mon mari qui fait toujours comme si de rien n’était. C’est irréel, comment peut il ne s’apercevoir de rien, serait-ce ce point particulier qui m’excite autant.

Je sens maintenant le doigt qui coulisse dans mon cul, cherchant à aller toujours plus profondément dans mes entrailles, le mouvement est facilité par l’abondance de ma lubrification à tel point, qu’il y a joint un deuxième, puis un troisième doigt à la fête.

Ma corolle s’ouvre sans problèmes avalant erzurum escort tout ce qui se présente avec une facilité déconcertante, cela m’humilie encore plus.

Il joue ainsi quelques minutes, m’arrondissant littéralement le trou du cul, tout en faisant semblant de suivre leur conversation.

J’ai les yeux mi-clos savourant mon plaisir, quelle salope je suis donc devenue, non seulement je prends un plaisir indescriptible à tromper mon mari, mais là, je suis presque en train de jouir devant lui sous les caresses d’un véritable pervers.

Une fois que mon cul est bien dilaté il vient ensuite faire le même traitement à ma chatte dans laquelle il entre beaucoup plus facilement tellement je suis humide.

Sans le vouloir, en me fouillant il touche à plusieurs reprises mon clitoris qui sous ce traitement à immédiatement déclencher les vibrations et des frissons qui me mennent vers la jouissance.

Ayant compris que je parts pour le septième ciel, il a stoppe immédiatement la vague dévastatrice en me pinçant fortement le clitoris. Il me provoque ainsi une douleur très vive et insupportable qui stoppe effectivement net ma jouissance, cependant je ne peux retenir un petit cri de surprise.

– HUMM !

Reprenant mes esprits j’entends enfin mon mari.

– Et bien chérie, vous faites bande à part? Vient donc resservir nos verres.

– Ne bouger pas je vais le faire.

Répond Jean.

C’est tout naturellement, comme si de rien n’était, qu’il se lève et remplit leurs verres, se tournant vers mon mari il lui dit :

– Votre épouse et moi, nous refaisons le monde, elle est fâchée que vous ne parliez que de travail.

– Je la reconnais bien là, continuez donc à refaire le monde, nous nous discutons de votre nouvelle fonction, ainsi que de la future nomination de mon épouse à la fonction de cheffe d’équipe.

Mon mari a du boire pas mal de verres car il semblE comme sur un nuage avec un comportement naïf que je ne lui connaît pas, d’ailleurs je réussis à apercevoir le clin d’œil que Marcel fait à Jean, alors qu’il revient vers moi ce qui me laisse à penser que le pire est encore à venir.

Jean se rassoit à sa place il replace immédiatement sa main sous ma robe pour se remettre à me doigter la chatte de plus belle.

– Vous voyez que vous n’avez rien à craindre

Il me doigte pendant d’interminables minutes, il me maintient au bord de l’extase sans pour autant me laisser jouir, je suis tellement excitée que ma liqueur coule le long de mes cuisses.

Au bout d’un moment malgré ma tête dans les nuages je l’entends dire :

– Voulez vous que je vous baise?

Ais-je bien entendu?

Décidément là, il pousse le bouchon trop loin, je lui réponds le plus doucement possible pour que personne d’autre ne m’entende.

– Vous êtes complètement fou, me caresser en cachette passe encore, pour le reste ce n’est pas possible.

– Je ne vous demande pas si c’est possible, juste si vous en avez envie.

– Oui, bien sur, avec ce que vous me faite subir depuis une heure.

– Alors venez allons dans votre cuisine.

– Mais non ? Vous n’êtes pas sérieux ?

Sans attendre il se lève et passe devant les deux autres, il leur dit :

– Pendant que vous vous amusez, nous nous allons préparer le repas.

Mon mari le regarde et en souriant il lui dit :

– Je vous en prie et faites ça bien, votre ami et moi nous nous occuperons du dessert.

Il ne pense pas si bien dire, le Jean me tend la main en disant :

– Venez ma chère, nous avons du pain sur la planche.

Je le rejoints sans dire mot, espérant me faufiler sans que personne ne me remarque, alors que je passe juste devant mon mari, il se lève, me prend dans ses bras pour m’embrasser en me tapotant la fesse.

– Je compte sur toi mon amour, prépare nous un bon repas

Puis en se retournant vers Marcel, il lui dit :

– Venez Marcel, avec tout ça il faut que je vous montre mes photos

Ils se dirige vers le bureau pendant que Jean me prend par la taille en m’emmenant dans la cuisine.

Notre cuisine est ouverte sur le salon avec un grand meuble type bar qui fait office de séparation, en étant accoudé à ce bar, on a la vue sur la totalité du salon, de l’entrée et du couloir qui mène aux chambres ainsi qu’au bureau.

L’endroit est stratégique pour maintenir une surveillance en cas de retour de mon mari, ainsi mon profiteur compte bien se servir de cet avantage pour abuser un peu plus de ma personne.

Ça ne loupe pas, sans dire un mot, il me pousse contre le meuble en pliant mon bassin de façon à relever mes fesses. Je reste ainsi appuyez sur mes avants bras, le regard fixé sur le couloir d’où mon mari peut surgir.

Je sens ses mains sur mes fesses, les caressant comme un bel objet. Il relève doucement ma robe sur mes reins faisant apparaître la blancheur de mes chairs contre lesquelles, il vient frotter son sexe bandé au travers du pantalon.

Se retirant il m’écarte les jambes pour dégager la vue et le passage vers ma vulve sur laquelle, il passe délicatement une main vérifiant du coup l’état de lubrification qu’il a provoqué quelques minutes avant.

Tout doit être comme il le souhaite, car je sens ses doigts écarter mes lèvres et de suite me les mettre profondément dans la moule, quelques vas et vient au ralenti finissent d’étaler ma cyprine sur toute la surface de mes parties intimes.

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Le Joeut Sexuel du Patron Ch. 01

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Bbw

Mon patron fait de ma femme, son jouet sexuel Ch 1.

Wife Deborah Is Taken By The Boss Ch 1

Coulybaca / wifelvrman

J’étais piégé.

J’avais du régler plusieurs factures dont l’hypothèque de la maison et, pour faire face j’avais détourné de l’argent de ma compagnie.

J’avais l’intention de rembourser d’une manière ou d’une autre, je ne m’en faisais pas pour cela, j’avais assaini notre situation, tous nos dettes étaient réglées, rien que des bonnes nouvelles.

C’est alors que mon patron découvrit le pot aux roses

Dan me passa un coup de fil un après-midi, me demandant de passer à son bureau.

Il n’avait jamais fait cela, aussi dès ce moment j’eus peur qu’il n’ait dé-couvert mes malversations.

Et en fait, il les avait constatées.

Il me dit qu’il pourrait me faire arrêter, mais qu’il voulait me donner une chance, mais je devais rembourser la totalité des fonds détournés très rapidement.

Je n’avais aucun moyen de le rembourser intégralement sur-le-champ. Dan jubilait, il me renvoya à mon travail m’informant qu’il me rappellerait plus tard.

Il le fit une longue paire d’heures plus tard.

– “En rentrant chez toi ce soir, tu raconteras à ta femme tes ce que tu as fait! … Je passerai vous voir à 19 heures et nous discuterons tous trois de la situation! … J’ai un plan qui devrait nous satisfaire tous trois! …”

Je rentrai chez moi vers 17 heures et demi, Déborah était déjà là, je lui racontais tout.

Elle était furieuse après moi, j’essayais de lui démontrer que c’était le seul moyen de garder notre maison, mais elle se contentait de crier.

Nous avions terriblement peur que je hatay escort sois arrêté, que je perde mon bou-lot et que je me retrouve en taule.

Dan arriva à 19 heures pétantes. Il s’assit avec nous à la table du salon.

– “J’ai un plan…” commença-t-il

– “Cela te permettrait d’éviter la prison, de garder ton boulot si tu es l’acceptes et que tu suives désormais mes directives! ….

– “Bien sûr! … Nous ferons n’importe quoi pour… ” avons nous ré-pondu tous deux en chœur.

– “J’adore cette attitude! … Elle te permettra d’éviter de te retrouver en taule! …. J’ai de solides preuves contre toi! .. Je les transmettrai à la police demain matin si vous refusez mes conditions! …”

Nous étions toutes oreilles, aussi Dan annonça alors :

– “Je rembourserai graduellement la somme totale que tu as détour-née, mois après mois, jusqu’à ce que tout soit réglé… Je déciderai moi-même de la somme que je rembourserai chaque mois et tu déposeras la somme sur le compte de la compagnie, afin que rien ne puisse me relier à cette affaire! … Je te rendrai toutes les preu-ves prouvant ton forfait lorsque tout sera remboursé! ….”

Au début nous ne parvenions pas à en croire nos oreilles, quelle chance nous avions.

C’est alors que survint la chute.

– “Bien sur, en contrepartie vous devrez faire certaines choses pour moi! … Déborah tu devras m’obéir quoi que je te fasse faire! …George t’aidera en s’occupant des enfants, ou en s’acquittant d’autres tâches selon mes désirs! … Comprenez-vous ce que je dis? …. Avez-vous des questions? …”

Déborah demanda :

– “Que veut dire ığdır escort tout ce que vous voulez? ….”

Dan s’approcha d’elle, posa une main sur son épaule et l’autre ses ni-chons lui expliquant :

– “Nous en reparlerons, mais si je dois repartir sans votre accord to-tal, j’appellerai la police dès mon retour chez moi! …”

On paniqua, on n’avait jamais envisagé qu’il fasse cela! …

Déborah est une splendide femme de presque 50 ans, Dan a tout au plus 40 ans.

Cela fait de nombreuses années que nous sommes mariés, je l’avais épousée vierge, trois de nos enfants ont déjà quitté la maison, le dernier est au collège.

Déborah est une femme très conservatrice, je dirai même vieux jeu, pu-dique et assez guindée.

Nous en discutâmes quelques instants, elle me demanda :

– “Que faire? …” pour conclure finalement :

– “Je suis bien obligée de lui obéir! …”

J’avais récupéré mon calme, nous regardâmes Dan et Déborah avança :

– “Il semble bien que n’ayons pas grand choix! ….”

Dan se releva et commenta :

– “Bon cela me semble un bn marché! …” on se serra les mains pour sceller notre accord.

Puis Dan m’intima :

– “George, déboutonne le corsage de Déborah et enlève-lui son sou-tien-gorge… »

J’obéis docilement.

Déborah tremblait comme une feuille, cela lui semblait très dur de de de-voir se laisser faire sans protester.

Dan se tenait devant Déborah, il lui roula ne pelle et lui caressa les ni-bards. Il suça un de ses mamelons, puis l’autre.

Elle dut alors s’asseoir et dégrafer son pantalon.

Je savais ce qui allait se passer.

Je ısparta escort savais qu’elle ne voulait pas le faire.

Elle avait toujours refusé de me sucer, j’étais sûr qu’elle refuserait de le sucer.

Mais avait-elle la possibilité de refuser? …..

Elle sortit sa bite de son caleçon et la lécha, bien qu’à contrecœur elle obéit.

Elle lui mâchouilla ensuite les burnes, lécha sa hampe dardée, il lui inti-ma alors de le prendre en bouche.

Elle hésitait.

– “Obéis ou j’appelle la police! …” la menaça-t-il sévèrement.

Comme elle l’embouchait et entreprenait de le sucer, il réitéra ses mena-ces :

– “A la moindre hésitation, à la moindre protestation, j’appelle la po-lice! … T’as bien compris! … Et ce jusqu’au règlement complet de votre dette! …. C’est bien compris, ou tu préfères voir ton mari en taule? ….”

Je voyais sa bite prendre de l’ampleur dans la bouche de Déborah, elle était bien plus grosse que la mienne! …

Il tint sa tête en la prévenant :

– “Je suis sur le pont de jouir, tu ferais bien d’avaler mon foutre! …”

J’aurai pu dire quand il jouit, il tenait fermement sa nuque et lui intimait de serrer les lèvres sur sa hampe tandis qu’il se vidait les couilles dans sa gorge.

Elle avala son foutre avec dégoût, quelques filets de semence s’étalèrent sur ses nichons, il me dit de les lécher.

– “Prends ta tenue de nuit, tu vas la passer avec moi, ma femme est absente pour la nuit! …. George te reprendra demain matin… “

Déborah se tenait debout, sidérée, comme en état de choc et se remit machinalement à enfiler son soutien-gorge.

Dan lui ordonna de le laisser là, ainsi que son corsage, d’enfiler quelque chose pour se couvrir et de se grouiller.

Quelques instants plus tard, ils étaient partis.

Le 16 juillet 2007

Traduction en français de Coulybaca,

avec l’autorisation de l’auteur wifelvrman (Literotica)

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Imprudence 1/2

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Anal

Je venais d’avoir dix-huit ans lorsque je commis l’erreur qui

modifia ma vie.Fille ainée d’un couple qui, pris par ses occupations personnelles, ne s’occupait que peu de moi et de ma petite sœur Hélena, je fis sans m’en rendre compte une erreur qui me fut fatale.

Par internet, j’étais entrée en contact avec un homme qui

me disait n’avoir que trente-cinq ans, et me proposait de le

rencontrer afin de faire connaissance. Je n’avais jamais à ce jour

prêté attention à l’un ou l’autre garçon, et étais restée vierge sans que cela me pèse. Mais je commençais à m’intéresser au sexe après avoir découvert les plaisirs de la masturbation.

L’homme, à qui j’avais imprudemment envoyé sur le net une photo de ma personne, disait avoir envie de me rencontrer, et me fixa un rendez-vous dans un café de faubourg.

Fière de l’intérêt que j’avais sans le vouloir éveillé, j’acceptai de le rencontrer et me fis belle pour ce premier rendez-vous.

Je savais que j’étais une jolie fille, cheveux noirs, yeux bleus, lèvres gourmandes, et un corps qui venait de s’épanouir. une belle poitrine qui serait opulente dès qu’elle aura finie poussée, je fesais déja un bon 90C.J’étais prête à découvrir un monde qui m’était encore inconnu, mais eus soin de cacher la chose à ma famille.

L’homme que je rencontrai ne me déçut pas. Il était blond, souriant, et d’allure sportive. Il sut me charmer, me félicitant pour mon charme, et la conversation qu’il me tint m’empêcha de réaliser le danger auquel je m’exposai. Il commanda pour nous deux cocktails et je goûtai le mien comme si j’en avais l’habitude, sans me méfier le moins du monde.

Malheureusement, je dus m’éclipser pour aller à la toilette, et

quand je revins, je vidai mon verre. Mais pendant mon absence,

l’homme avait déversé dans mon verre une poudre dont les effets furent immédiats. Je perdis connaissance.

Quand je me réveillai, comme pour me rassurer, j’étais couchée

sur un lit avec à côte de moi une jeune femme qui me souriait. Je regardai tout autour de moi, me croyant dans un hôpital. Mais

j’étais dans une petite chambre ont l’unique fenêtre me permit de découvrir un immense parc. La jeune femme, une rousse aux

yeux verts, me caressa alors le front et m’expliqua ce qui se

passait: “Bonjour, Charlotte, puisque c’est ton nom. Je suis heureuse de découvrir que tu es aussi belle que me le disait mon mari. Il a fait un excellent choix, tu seras une recrue de luxe une fois prête à ce qui t’attend” Son mari entra alors et dit à son épouse:

“Voyons, ma chérie, ne perdons pas de temps. Tu sais que pour fin de semaine, il nous faudra présenter cette jolie demoiselle à Victor qui deviendra son maître. Et, je voudrais vérifier l’état de la marchandise, et pouvoir ainsi la préparer à ce qui l’attend. A toi, Janine, de t’en occuper.”

Je vis le visage de la femme se durcir. Elle retira le drap qui me

couvrait et me fit me lever. J’obéis sans aucunement me méfier, et une fois debout, je reçus un ordre bref et brutal .

” Et maintenant fous-toi à poil, comme tu vas désormais l’être souvent durant les prochaine années “.

Je refusai avec véhémence, et reçus une gifle en retour. La femme me menaça : « Obéi, ou,je fais venir un garde qui se chargera avec plaisir de t’arracher les fringues.»

Prudemment, je retirai mon pantalon et ma blouse, saisie

subitement d’une frayeur qui ne faisait qu’augmenter.

Janine gronda à nouveau : ” J’ai dit à poil, Je veux voir tes nichons et ta fente, totalement à poil!!! “

Je ne m’étais jamais montrée nue à quelqu’un, sauf à ma mère,

évidemment. Mais ici, je sentis que je n’avais pas le choix. Et

honteuse de ce qui m’arrivait, je retirai mes derniers vêtements.

Janine me sourit alors, et me dit:” Mon mari ne s’est pas trompé, T’ as de belle mamelles qui n’ont pas encore totalement fini de pousser, Victor ne s’en plaindra pas”.

“Couche-toi à nouveau sur le lit, et écarte les cuisses, ça aussi, tu le feras souvent pour le reste de ta vie. J’ai quelque chose à vérifier.” Je n’avais pas le choix, et fis ce qu’elle attendait de moi. Son mari s’était approché et sans se gêner, posa sa main sur ma toison et dit à son épouse ” N’oublie van escort pas, notre ami Victor veut une femme nue, totalement nue. Il te faudra donc avant ce soir virer tous les poils de sa moule”.

Pendant ce temps, Janine avait plongé un doigt dans mon vagin et s’arrêta net, venant de buter contre mon hymen. Le commentaire ne se fit pas attendre ” Cette pouffiasse est encore vierge. Tant mieux. Cela augmentera le prix de la transaction ” et glissant à ma grande honte un doigt dans mon anus “Là aussi, elle est encore intacte” Mais elle me semble fort étroite, et pour pouvoir satisfaire à Victor, elle devra subir une importante préparation.» Son mari éclata de rire, et lui répondit

“Aucun problème. tu sais que ce sera avec plaisir que je lui éclaterai le fion”. Épouvantée par ce que je venais d’entendre, je demandai qui était Victor dont je n’avais jamais entendu parler. Et ce fut Janine qui me répondit ” C’est notre meilleur client, et tu seras le troisième achat qu’il fera chez nous”.

Indignée, je me redressai et criai « Mais je ne suis pas à vendre. Je veux rentrer chez moi, de suite ou je me plaindrai à la police ». Janine éclata de rire: «Cela me semble fort difficile. Personne ne sait que tu es ici, et dans quelques jours, la police se contentera de te considérer comme une personne disparue, que bien entendu elle ne retrouvera pas. Toute résistance est donc superflue, et nous n’hésiterions pas à te punir sévèrement si tu joues encore à la petite rebelle.

Mais je crois devoir t’expliquer ce qui t’attend. Tu te trouves ici dans une propriété bien isolée, et tu seras régulièrement louée par nos soins à des hommes fortunés, désireux d’éviter des problèmes familiaux, et qui par conséquent souhaitent avoir à leur disposition de jolies femelles qui ne seront jamais susceptibles de leur poser le moindre problème quand ils veulent une chatte dans laquelle ce vidé les couilles. Tu vas donc rejoindre deux autres jeunes filles qui sont dans le même cas que toi et dès ce soir, une fois totalement épilée, tu perdras ton premier pucelage dans les bras de Victor. Et demain, ce sera ton cul qu’il explosera. En fait, tu vas découvrir ici beaucoup de choses dont tu ne soupçonnes même pas l’existence. tu devras accepter de ne devenir qu’un jouet dans les mains de nombreux hommes, te mettre à poil et ouvrir les jambes sur un claquement de doigt, deviendra comme une évidence pour toi, Victor sera heureux de pouvoir louer ta jolie petite chatte à des amis, ou même à des clients de passage. Et pour ma part, je serai heureuse de profiter de l’aubaine. Mais je vais maintenant te faire visiter les lieux où tu vivras désormais.» Je dus me plier à ses exigences. Elle me plaça au cou au collier de cuir, un bracelet à chaque poignet. Elle relia ces bracelets

au collier par des chaînettes métalliques, de manière à bloquer

mes mains à hauteur de mes seins.

« Et voilà, tu es maintenant prête à visiter ton nouveau monde».

Elle donna un coup de sonnette, et un homme vêtu d’un uniforme pénétra dans la chambre. Elle lui sourit et lui dit

« Bonjour Louis, voici la demoiselle dont tu devras désormais te

charger. Bien entendu, lorsqu’elle ne sera pas au travail, tu pourras l’utiliser comme tu le voudras, une fois préparée comme mon mari et moi allons le faire. Je sais quelle partie du corps féminin t’attire plus particulièrement, et je te garantis que tu pourras faciliter l’accès à son cul. Regarde comme elle est serrée par là! Je sais que tu prendras beaucoup de plaisir à élargir cette petite ouverture.» Janine me fit me pencher en avant, présentant mon cul au garde qui n’hésita pas à y glisser un doigt inquisiteur. Je râlais de ne pouvoir m’y opposer, et rougis de honte quand le garde fit son premier commentaire :

« C’est vrai, Madame, qu’elle est étroite. Mais ce sera un plaisir de dilater cette mignonne rosette, après que Monsieur Victor aura comme, il le fait si bien ouvert le chemin.» Janine éclata de rire et conclut « Bien sûr. Nous allons maintenant laisser Florence découvrir son futur paradis. Mais il faudra avant tout la sortir dans le parc, et l’amener là où elle pourra se soulager. Et je ne voudrais pour rien au monde rater ce joli spectacle.»

En fait de spectacle, yalova escort ils furent servis. Je fus emmenée au fond du parc, où se trouvaient de nombreux arbres. Janine donna un

ordre, et Louis s’arrêta. Il détacha les chaînes du collier, et s’assit

par terre à côté de Janine qui n’avait pas attendu pour s’installer

sur le sol à quelques mètres de moi. Et sans dire un mot, tous

deux me fixaient, s’amusant de ma gêne. Je ne pus attendre et

honteuse comme je ne l’avais jamais été, je laissai se vider mes

intestins. Et ma vessie suivit le mouvement, bien sûr cuisses grande ouvertes. J’étais dans l’incapacité de me nettoyer, et je dus donc ainsi les suivre jusqu’au bâtiment. En fait de bâtiments, il y en avait quatre. Le grand bâtiment où j’étais d’abord entrée, et où se trouvaient réfectoire, bureaux divers, cuisine, salles d’eau et un grand living bibliothèque. On m’y fit descendre dans une cave où se trouvaient plusieurs cages. Deux d’entre elles étaient occupées par de jeunes femmes, nues comme moi. Janine me les présenta

« Tu vas apprendre à les connaître. Voici Léa, la plus jeune, à

peine seize ans. C’est aussi la plus vicieuse. Elle va passer deux

années ici, et plus tard, nous espérons la vendre à un bon prix.

Ce devrait être le cas, car elle a vraiment le vice dans la peau.

Quoi qu’elle prétende, elle adore être punie et préfère ce qui est rare la cravache au fouet.»

Janine ouvrit alors la porte, et me fit pénétrer dans la cage.

Celle-ci, qui faisait au maximum trente mètres carrés, ne

comprenait qu’un lit, une chaise, une tinette et un lavabo. Janine

donna un ordre, et Léa pencha son torse en avant, me montrant

en évidence son cul. Je fus stupéfaite par les dimensions de son

anus, et Léa me parut fière de l’agrandir encore en écartant

davantage ses cuisses. Je n’en croyais pas mes yeux, et Janine se moqua de moi :

« Dans quelques jours, ma chérie, ton trou de cul sera pareil à celui-ci, et acceptera les plus grosses des queues. Tu auras régulièrement à te frotter la chatte contre celle de cette petite pute, en public, et tu verras comme elle est adroite de sa langue, qu’elle se fera un plaisir de te glisser dans le cul.»

La fille qui se trouvait dans la cage voisine était une forte

blonde, bien en chair, des seins énormes et des fesses bien

rebondies. Elle avait les larmes aux yeux en me regardant

« Voici Suzon. Elle pleure parce que dans trois jours elle nous

quittera. Un de nos clients, du Moyen Orient, vient de nous

l’acheter. Elle sait qu’elle se retrouvera dans un pays où les

femmes ne servent qu’au plaisir des hommes, et qu’elle risque de s’y voir mutilée. C’est à dire “bye-bye le clito” et coudre l’une à l’autre les grandes lèvres de sa chatte. Elle ne pourra

plus que se faire prendre dans le cul, et elle déteste cela.

Je vais maintenant te faire visiter un des trois bungalows où se

retrouvent clients et putes, comme vous trois, 20 heures par jour. Tu verras, tout y est prévu. Tu ne t’y ennuieras jamais. Déjà avec Victor, tu y passeras pas mal de temps la semaine prochaine. Ce que je découvris m’ahurit littéralement. Les bungalows m’avait dit Janine étaient semblables, et je fus un peu effrayée de découvrir ce qu’ils étaient en fait. Visiblement, ils ne manquaient de rien pour permettre à un couple de s’y adonner à d’étranges plaisirs. Tout se passait au niveau du rez-de-chaussée : un petit hall y donnait sur une grande chambre munie d’un lit géant, de nombreux miroirs. Il y en avait même au plafond. Séparée de cette chambre par un muret, une salle de bains offrant un jacuzzi, une douche, un bidet et une immense vitrine présentant toute une gamme de sex-toys : godes de toutes dimensions, boules de geisha, cravaches, fouets divers, pinces; rien n’y manquait. Cachée derrière un paravent, il y avait aussi une toilette. Mais il y avait aussi de l’autre côté du hall une salle dont le contenu était explicite : une croix de Saint André, un pilori, un carcan, plusieurs chevalets de différents modèles, un fauteuil pour examens gynécologiques, une machine à baiser. Plusieurs chaînes pendaient du plafond, et de nombreux çorlu escort crochets étaient fixés aux murs. La seule porte de cette salle donnait sur la grande chambre. Pas besoin d’un dessin : je compris tout de suite que très vite j’aurais l’occasion d’étrenner ce qui me faisait penser à une salle ressemblant à celles où œuvrait jadis l’inquisition. Aucune fenêtre. Tout était clos, hermétiquement clos. Janine voyant ma stupeur se mit à rire et fit mine de me rassurer :

« Ne crains rien. Ici, tu pourras hurler ta jouissance à ton aise : personne ne pourra t’entendre car ces murs sont parfaitement isolés. Comme prévu, demain soir tu accompagneras ici Victor, et jusqu’au petit matin, tu découvriras d’étranges plaisirs. Car je le connais : avant de te déflorer, il te fera profiter de tous ces jolis jouets. Il te réchauffera d’abord le cul à main nue, puis, il t’attachera au pilori pour offrir ton corps à la cravache. Et quand tu seras bien échauffée, il te placera sur un chevalet et viendra par derrière te péter la chatte. Quand ce sera fait, il profitera de ton corps selon son inspiration du moment. Mais comme il ne manque pas de ressources, toute cette séance devrait durer quelques heures. Et pour finir la nuit, tu iras avec lui au lit et là, de sa bouche, il te fera jouir. Au petit matin, tu pourras prendre un bain avant de prendre dans le frigo un petit déjeuner qui sera le bienvenu. J’ignore ses projets suivants, mais sais que durant le week-end suivant, il te sodomisera encore et qu’une fois ouverte des deux côtés, il te prêtera aux quelques amis qui seront invités à assister à tes première sodomie. Ensuite, il te ramènera ici où j’établirai ton agenda pour les jours suivants. De nombreux clients, qui ont admiré tes photos envoyer à mon mari, ont déjà réservé une séance avec toi, et je crois que tu ne chômeras beaucoup durant les semaines qui suivront. Je suis convaincue que tu feras une excellente pute, et que notre collaboration sera fructueuse. Pour moi du moins, car toi tu n’auras durant ta présence droit à aucune pourcentage sur tes passe, c’est nous qui avons les frais, toi, tu n’as juste qu’a ouvrir les cuisses et te faire sautée. J’étais littéralement épouvantée. Dans ma naïveté, j’avais imaginé rencontrer un homme qui deviendrait mon amant, et s’en contenterait. J’avais imaginé découvrir l’amour, et je ne découvrais que du sexe vénal, dans un endroit qui me semblait devenir une prison. Bien sûr, je découvrirais certains plaisirs inconnus, mais je venais d’apprendre qu’il me faudrait pour cela accepter certaines souffrances auxquelles je ne m’étais pas attendue. Janine me souriait toujours et me dit :

« Maintenant, nous allons rentrer chez moi, où nous attend mon

mari. Nous allons prendre le dîner, puis nous nous coucherons

tous ensemble dans un grand lit. J’attends avec impatience de

t’enseigner l’art de la pipe qui te sera utile lorsque tu te

retrouveras au lit avec tes futurs clients. Puis, tu me feras jouir en me léchant la chatte, si tu le fais bien, je te rendrai la politesse. Nous essaierons, mon homme et moi, de ne pas trop te fatiguer. Il faut que le lendemain tu sois en forme pour résister aux assauts de Victor, ton futur maître, que tu vas découvrir demain.» Tout se passa comme Janine l’avait planifié. Je fis le nécessaire pour la satisfaire. Après avoir pris en charge son mari et avoir réussi à lui procurer une solide érection, je le laissai décharger dans ma bouche son foutre que je parvins à avaler sans marquer le moindre dégoût. Janine me remercia en s’occupant de mon clitoris, et me procurant deux orgasmes. Elle avait inversé l’ordre de nos actions, et ce fut à moi de lui rendre la pareille. C’était la première fois que je m’appliquais à faire jouir une femme, et ma foi, j’y pris goût. J’étais super excitée et quand par après elle me demanda de lui lécher l’anus, je le fis sans manifester la moindre répugnance. J’en fus félicitée

« Décidément, tu as tout pour devenir une parfaite gagneuse, et Victor en sera heureux.»

Je ne connaissais pas ce qualificatif, et elle dut m’expliquer le

sens de ce mot que je ne connaissais pas. Curieusement, lorsque j’eus compris sa signification, je me sentis fière. Plus sûre de moi aussi. Ce que visiblement Janine attendait de moi ne me rebutait plus. Bien au contraire, j’y trouverais une source de nouveaux plaisirs. Et ce fut presque avec impatience que j’attendis le moment où je découvrirais mon maître, celui qui au final ferait de moi une femme complète.

Fin de la partie 1

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L’enfer de Naira Ch. 03

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Blonde

Ceci est une fiction, aucun des personnages de ce texte n’est réel. Les personnages irréels de ce texte sont tous consentants à y apparaître. Une fois le texte terminé, ils sont tous retournés à leur vie inexistante sans aucune séquelle ni blessure. Un peu comme n’importe quel personnage imaginaire d’un livre, d’un conte, d’une nouvelle…

Ce texte étant quand même très très violent, je ne le recommande qu’aux amateurs du genre. Pour les non amateurs, vous pouvez bien entendu le lire, mais prenez alors vos responsabilités. Après, si c’est pour commenter que ce texte est violent, voire très ou trop violent, que cela se termine mal, que cela vous choque, que c’est mal ou des trucs du genre, ben oui, je viens de vous le dire.

Il est réservé à un public majeur, tous les personnages sont majeurs. Il contient, suivant les chapitres, toutes les perversions les plus abjectes de la zoophilie à ce que vous pouvez imaginer de pire. Donc, si vous n’aimez pas ça, ne lisez pas. Après, ne venez pas dire que je ne vous avais pas prévenus.

Pour les amateurs du genre et mes fans, je vous souhaite bonne lecture.

Le lendemain matin, Éloïse est déjà levée quand les filles se lèvent. Toutes passent à la douche. C’est Lena qui demande:

– On doit mettre les tenues de stagiaires?

– Oui, c’est obligatoire pour que votre statut dans l’entreprise soit reconnaissable au premier coup d’œil.

Toutes le mettent donc. Maelly est rassurée quand elle passe sa tenue. C’est un tailleur sage, dont la jupe arrive au genou. C’est bien plus court que ce qu’elle met d’habitude, mais cela ira. C’est surtout classique et absolument pas sexy. Outre la jupe, il y a un chemisier et une veste de tailleur. Ensuite, Éloïse guide les huit jeunes femmes au réfectoire pour un petit-déjeuner continental. Café, thé, jus de fruits, viennoiserie, fruits, pain, beurre, confitures, j’en passe et des meilleurs. C’est plus que complet et il y en a pour tous les goûts.

Avant la fin du petit-déjeuner, Miguel les rejoint. Il entre dans le réfectoire en compagnie d’une Rosetta très fatiguée. Elle marche en boitant bas et en marchant les jambes arquées. Toutes lisent, sur le visage de la magnifique italienne, la douleur que lui impose le simple fait de marcher. Stéphanie Commente aussitôt :

– Cela sent une nuit torride avec sodomie.

– Beurk

C’est Lena qui vient de faire ça. Toutes les autres filles rigolent. Elles ne se connaissent pas depuis longtemps, mais suffisamment pour savoir que si une pratique sexuelle dégoûte Lena, c’est que ce ne doit pas être au top. Stéphanie est étonnée.

– Tu ne pratiques pas la sodomie?

– Non. C’est le seul truc dans le sexe qui me dégoûte. Une éjac faciale, je veux bien, mais ça, non. Plutôt crever. Et toi?

– J’ai essayé avec mon ex-mari. Mais il n’est jamais rentré, alors, cette pratique, on l’a abandonné.

Après un sondage, auquel même les vierges participent, elles se rendent compte d’un nouveau point commun : toutes sont vierges de l’anus. Sauf Naira, bien entendu, mais elle fait la fille vierge de l’anus pour ne pas avoir à parler de son horrible viol anal dont elle porte encore les séquelles aujourd’hui.

Lena se met à pouffer. Stéphanie l’interroge alors:

– Il y a quoi de drôle?

– On a toutes pensé que Miguel était pédé, à priori, vu la démarche de Rosetta, je peux vous dire qu’il est tout sauf pédé.

Stéphanie et les autres pouffent également. Cette dernière rajoute alors:

– Ou alors il a juste voulut savoir si le petit trou d’une fille est différent de celui d’un garçon. Dans ce cas, Rosetta marche comme Lucky Luke pour rien!

Ignorant pourquoi les filles rigolent, Miguel s’approche du petit groupe. Il regarde Éloïse qui n’ose pas le regarder dans les yeux.

– Éloïse, vous pouvez disposer. Je m’en occupe jusqu’à l’attribution de leurs maîtres de stage. Vous les reprenez en main à midi pour le déjeuner.

– Bien, Monsieur.

Éloïse regarde le petit groupe de stagiaires:

– Je vous dis à tout-à-l’heure mesdemoiselles.

Toutes la salut quand elle les quitte. Miguel prend une tasse de café et s’assoit en attendant que les jeunes femmes finissent. Rien n’est pressé, l’attribution se faisant à huit heures trente du matin, et il n’est que sept heures quarante-cinq.

À huit heures précises, tous se retrouvent dans la grande salle de réunion de l’étage trois des étages de direction. Bien que l’immeuble compte cinquante-trois étages, du cinquante-et-unième au cinquante-troisième, le nom est différent. Ce sont les étages directionnels trois à un. Les trois comptant les cadres dirigeants les moins importants, le un comptant les plus importants. Rapidement, une femme brune à la peau mate, typiquement espagnole entre dans la pièce. La cinquantaine, elle est encore très belle. Elle rayonne aussi bien par son physique que par la froideur qui en ressort. Ce qui pour une Hispanique est assez rare. Naira voit que même Miguel est impressionné par la femme.

– Je suis Lucia trabzon escort Alvarez. Je fais partie du conseil d’administration de la société Pablo Nino. Je fais partie de ce que vous entendrez appeler les « Cinq ». Avez-vous une idée de ce que sont les cinq?

Personne ne répond, alors la femme reprend:

– Pablo Nino est le 1 bis de la société. Le numéro un étant le propriétaire Igor, PDG de Igor International, dont vous avez sûrement entendu parler.

Là, tous acquiesce de la tête. Qui n’a pas entendu parler de la seule société française en pleine expansion qui commence à se rapprocher rapidement des plus grandes multinationales du monde.

– Pablo est entouré d’un conseil d’administration de cinq membres qui le seconde dans chaque décision importante à prendre, même si Pablo reste le seul décisionnaire final. On appelle ce conseil les Cinq. On est tous, à égalité, les numéros deux de cette entreprise. Il y a quatre hommes et une femme, moi. Supervisant les ressources humaines, vous dépendez donc toutes de moi. On sera souvent en contact, il faudra m’appeler madame et me donner la plus grande déférence si vous voulez un jour avoir une chance d’être embauchée chez nous.

Bien sûr, il n’y a pas que son apparence qui soit froide, sa personnalité est glaciale, pense une Naira impressionnée par la dirigeante.

– Miguel vous a déjà sûrement parlé de la Société. Vous vous êtes sûrement renseigné sur Internet. Mais sachez que les chiffres que vous avez vus sur votre ordinateur sont largement minorés. Au total, la société Pablo Nino emploie vingt-cinq mille employés. Dont quinze mille en Espagne, sur nos sites de Madrid, Barcelone, Séville, Valence, mais aussi dans de nombreuses succursales dans d’autres villes et villages. Nous sommes aussi présents en Argentine, en Colombie, au Mexique et aux USA pour la forte population hispanique se trouvant là-bas. Nous avons des succursales assez importantes dans chaque pays non cité auparavant et dans chaque grande ville d’Amérique du Sud et Centrale. Nous avons une société sœur, avec laquelle nous menons des actions essentielles, de lobbying notamment, située au Portugal. Elle supervise et est implantée dans les pays lusophones, dont le Brésil. Le siège est à Lisbonne, mais cette société compte des sites comme le nôtre à Porto et Rio notamment.

Ils sont vraiment impressionnés par une telle réussite dans un monde en crise.

– Tout cela a été possible suite à notre rachat par « Igor International » il y a sept ans maintenant. Jusqu’à eux, nous n’avions que huit cent employés, dont beaucoup étaient inutiles. Maintenant ici, de la balayeuse à Pablo Nino, chacun et chacune a son importance. Vous avez six mois de stages pour faire vos preuves. Nous allons vous superviser, vous étudier, vous décortiquer. Suivant ce qui en ressortira, on pourra vous offrir un poste mineur, comme agent d’accueil, à un poste de cadre dirigeant à l’étage 1 de la direction. Dans tous les cas, vous aurez un bon salaire et un logement pas cher. Mais si nous ne sommes pas satisfaits, on mettra immédiatement fin à votre stage avec renvoi immédiat chez vous. Que vous en ayez encore un ou pas. Rien n’est fermé, c’est à vous de jouer.

Naira, comme les autres, n’a pas le choix, elle va donner le meilleur d’elle-même pour aller le plus haut possible. Et si elle doit finir balayeuse, elle le fera, au moins elle aura un salaire et un logement.

– Sur les dix dernières années avant le rachat, la société Pablo Nino a eu sept fois un bénéfice net de cinq millions d’euros, deux fois de sept millions. Avec l’affaire qui nous a frappé, qui a débouché sur la condamnation de l’ex-femme de Pablo, ainsi que de plusieurs ex-employées, la dernière année avant le rachat, nous avons accusé une perte de cinquante millions d’euros. Nous étions au bord du dépôt de bilan, l’existence de la société n’étant assurée que pour les trois mois suivants. Le rachat, en plus d’une bouffée financière, a amené un professionnalisme que nous n’avions pas. Quatre ans plus tard, nous avons atteint le milliard de bénéfice, tout en multipliant par quinze nos effectifs. Ces années, pour le huitième bilan après le rachat, nous allons dépasser les deux milliards de bénéfices.

Naira pose une question intelligente ou presque.

– Combien cela va rapporter aux actionnaires?

– Zéro, nous n’avons pas d’actionnaires. La multinationale « Igor International », toutes ses branches ou sociétés lui appartenant, ne sont pas cotées en bourse. Les bénéfices sont partagés en quatre parts. Un quart pour tous les employés et dirigeants de la société bénéficiaire, un quart pour Igor et les patrons des sociétés tierces lui appartenant. Un quart est envoyé dans les caisses d’Igor International. Là, toutes les sommes des entités bénéficiaires sont partagées en trois, un tiers pour Igor, un tiers pour tous les employés et dirigeants, un autre tiers va dans les caisses de la multinationale. Tout comme le dernier quart des bénéfices de Pablo Nino va dans les caisses tunceli escort de l’entreprise.

– Pour les employés, cela ne doit pas faire beaucoup…

Commente Stéphanie.

– Stéphanie, c’est ça?

– Oui, c’est ça.

– En France, par exemple, en moyenne, combien un technicien de surface d’une multinationale a-t-il eu de participation au bénéfice?

– Je ne sais pas, je dirais mille euros.

– La plupart du temps, zéro, pour les autres, une centaine d’euros. Chez « Igor International », il a touché en primes environ vingt-quatre mille euros, soit une deuxième année de salaire. C’est ce que l’on touche, une autre année de salaire si les bénéfices sont bons. Bien entendu, plus votre poste est élevé, plus votre salaire est fort, plus votre deuxième année est importante.

Rêveuse, aucune des filles ne commente. Plusieurs personnes entrent alors dans la pièce. Lucia ne les présente pas.

Lucia reprend:

– Bon, on va passer à vos postes. Miguel ici présent dirige le service du personnel avec François, un de vos compatriotes, mesdemoiselles. Anna et Océane iront avec lui. Il vous placera lui-même dans un des services qui dépendent de lui.

Les deux filles se mettent donc près de Miguel.

– Stéphanie Tu iras au service paie. Tu vas être sous les ordres de Juan, Sofia, tu iras aussi au service paie, avec Ali.

Deux cadres à l’air sympathique leur font signe, elles s’en approchent.

.

– Lena et Amina, vous allez aller à la Résidence. Vous serez logées sur place, il y a également un réfectoire. Lena tu seras sous les ordres d’Alberto, Raul et Julian. Ils sont les responsables du service loyer.

Trois sexagénaires lui font un signe de main. Elle qui espère un jeune et beau chef de service ou un cadre dirigeant, ben c’est raté.

– Amina Pour toi, ce sera avec Meyer, au service Relations clients. Vous serez logées dans un deux pièces. Il y a également un réfectoire à l’étage. Vous ne perdez pas aux changes, c’est également un grand chef qui s’occupe de la cuisine.

Lena sourit, l’homme qui va la superviser est aussi vieux que les siens. Amina et elle se rapproche de leur superviseur.

– Pour finir, Maelly et Naira, vous serez avec moi. Maelly, tu m’auras comme superviseur au service Ressources humaines. Plus précisément, au service recrutement. Quant à toi, Naira, ton superviseur qui dirige le service discipline est en vacances, donc pendant les trois prochaines semaines, je te supervise. Jusqu’à son retour.

Comme les autres, Maelly et Naira se rapproche de Lucia Alvarez. Consciente que de toutes, elles sont les moins bien loties. Leur superviseur a l’air d’un dragon comparé aux autres. Aucune des deux ne se doute qu’elles sont bien en dessous de la vérité.

Lucia n’en a pas fini :

– Mesdemoiselles, je vous ai parlé des primes qui peuvent atteindre une année de salaires. Cela peut aussi vous concerner. Souvent, quand on est sur un projet à mener à bien, il faut faire des heures supplémentaires. Chez Pablo Nino, nous n’aimons pas payer d’heures supplémentaires. Donc voilà, cela se passera pour vous comme pour une personne embauchée. Soit on vous paie toutes vos heures sup’, ce qui correspond en moyenne à cent cinquante heures par an, soit on ne vous les paie pas, et vous serez éligible aux primes sur les mois de votre présence. Le choix se fera pour vous, avant de commencer quoi que ce soit, auprès de vos superviseurs.

Stéphanie qui a vraiment besoin d’argent demande:

– Si on refuse le paiement des heures supplémentaires, on aura donc une prime sur un an à mille euros, divisée par deux vu que l’on ne fait que six mois ici?

– Non. Votre salaire est un salaire de stagiaire. Si vous participez à des projets, les revenus desdits projets ne seront pas ceux de stagiaires, mais de pro. Nous vous donnerons donc le minimum salarial d’un employé sur ce projet. Et sur l’année complète. Donc, au minimum, si le salaire des participants à ce projet est de deux mille euros, vous toucherez les vingt-quatre mille euros de primes intégralement. Si vous participez à un projet où le salaire minimum des participants est de trois mille euros, ce sera donc trente-six mille euros de primes.

Aucune des filles ne revient de ce qu’elles viennent d’entendre. Toutes savent qu’elles vont refuser le paiement des heures sup’ pour passer au système de primes.

Lucia termine sa conférence:

– Vous aurez, quelle que soit votre réussite, une ultime épreuve. Passé en rendez-vous personnel avec notre patron, Pablo Nino. Cette entrevue décidera de votre grade et de votre contrat. Elle aura lieu dans les derniers jours de votre stage, pour celles qui seront encore parmi nous. Mesdemoiselles, en attendant, c’est le début officiel de votre stage. Vous devez avoir la tenue que l’on vous a remise dès que vous êtes en dehors de vos quartiers. Si cela rassure certaines, vous pouvez les rallonger ou les raccourcir pour les plus audacieuses. Amina et Lena, vous allez chercher uşak escort vos affaires, vos superviseurs vont vous accompagner. Océane, tu changes de chambre et tu passes avec Stéphanie et Anna. C’est tout pour moi. Naira et Maelly, suivez moi, que je vous présente à mes équipes, ce sont elles qui vont vous gérer pour l’instant. Pour les autres, suivez vos superviseurs. Bonne journée et bonne réussite pour vos stages.

De toutes, Lena est la plus déçue. Non seulement elle a trois superviseurs, contre un seul pour les autres. Donc, son plan de proposer une pipe contre un contrat vient de tripler, il en faudra au moins trois. Mais en plus, les trois papy, comme elle les appelle, n’ont pas fait preuve d’une joie folle, en voyant qu’ils allaient devenir les chefs de ce canon blond aux yeux verts et au corps de fou. Ils seraient pédés que cela ne l’étonnerait pas. Mais par contre, ce qu’a dit Lucia n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Elle peut raccourcir sa tenue. Lena décide d’employer les grands moyens. S’ils sont hétéro, il est possible que ses trois superviseurs aient une crise cardiaque en la voyant. Sinon, cela peut être mort pour elle.

Une fois arrivées à leur chambre, Amina et Lena remettent leurs affaires dans leurs sacs-à-dos et leur valise. Les superviseurs les attendent dans la pièce à vivre du milieu. Amina est la première à finir. Elle regarde son amie :

– On y va?

– Vas-y, je finis et j’arrive de suite.

– OK, tant pis pour toi si je deviens leur préférée pour ne pas les faire attendre.

La phrase de la Black fait rire les deux nouvelles amies. Dès que la porte se referme, Lena sort une paire de ciseau de sa valise. Des ciseaux de couture. Elle se met en face d’un miroir. Elle met la lame des ciseaux pour déterminer la hauteur à laquelle elle va couper. Elle pense : « Je vais faire salope là-dedans. Mais je me sens déjà si pute par rapport au toubib, que je ne pourrais jamais le refaire. Même pour un job, je ne vais pas pouvoir en sucer un seul. Alors risquer qu’ils me demandent de coucher… Alors je vous en prie, mon Dieu, faites qu’en me voyant dans cette tenue, cela soit suffisant. Amen. » Lena détermine ce que l’on appelle une longueur ras-la-moule et commence à couper. Tant pis si les trois font une crise cardiaque.

Quand elle ressort, Lena estomaque tout le monde, les hommes se mettent à bander. De face, on voit le petit triangle correspondant à la naissance de son string. De dos, ce sont les boursouflures correspondant à la naissance de ses fesses que l’on découvre. Elle n’a plus que sa veste de tailleur, laissant voir les côtés de ses seins. Elle est plus qu’un appel à la baise. Lena ne le sait pas encore, mais elle vient de faire la pire erreur de sa vie, celle qui va la précipiter dans un enfer sans nom.

Naira et Maelly suivent Lucia. Elle marche d’un pas rapide et décidé, sans se préoccuper de savoir si les deux stagiaires la suivent ou pas. Tant bien que mal, les deux jeunes femmes y arrivent. Devant l’ascenseur, sans se retourner, Lucia leur explique :

– Dans la partie que je dirige, vous allez devoir me prouver que vous méritez d’évoluer. Au début, cela va vous paraître lassant, inutile. Mais si vous vous donnez à fond, il n’y aura pas de limites à vos succès.

Maelly, très timide, n’ose rien dire. Mais Naira se lance :

– Aucune limite? Vraiment?

– Pour l’instant, je suis la seule femme dans les cinq. Pour une seule raison, nous avons été les seuls à soutenir Pablo lors de la crise. Mais il croit vraiment à ce qu’il fait maintenant, à donner sa chance aux femmes. C’est pour cela qu’il y en a quatre-vingt-quinze pour cent dans la société. Par remerciement, Pablo ne va jamais changer les Cinq. Par contre, il va s’agrandir, on sera six l’année prochaine. Et ce sera une femme. Si vous le méritez, vous pouvez être cette personne. Surtout que dès que l’un des cinq prendra sa retraite, à ce moment, la parité sera réelle, avec trois hommes et trois femmes. Donc il y a même des termes de la place pour vous deux. Un conseil, ne me décevez pas. Je vous ai choisies, car je pense que vous serez les deux meilleures du groupe. Mais j’accorde toujours une seconde chance. Je ne vais pas vous arrêter à la première bourde, par contre à la seconde, ce sera la rue. Compris?

En chœur, Naira et Maelly répondent à Lucia:

– Compris, Madame.

– Bien, j’espère que c’est sincère. Dans ce cas, l’avenir sera à vous.

Aucune des deux jeunes filles ne se doute qu’elles vont se jeter dans la gueule du loup.

Pour celles qui restent au siège, la première semaine de travail est assez chiante. Entre photocopie, café et trucs ennuyants, aucune ne fait vraiment rien d’intéressant avec son superviseur. Mais cela leur permet d’apprendre à connaître les gens de leur équipe. Si les six filles s’entendent bien, des affinités se font, surtout entre binômes. Une amitié est en train de naître entre toutes les filles du siège, tandis que Amina et Lena, isolées à la résidence, deviennent amies, surtout entre elles deux. Naira découvre en Maelly une jeune fille douce et gentille. Issue d’une famille très catho, les choses du sexe la gênent donc elle n’en parle jamais. Ce qui arrange bien Naira, car depuis son viol anal et buccal, le sexe la dégoûte. Rien que d’y penser… Beurk.

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Clémence, une jeune Aristo (01)

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Clémence, une jeune Aristo

Une jeune prof est invitée à l’anniversaire d’une de ses élèves.

Préambule.

Ce récit commence lentement. J’ai voulu décrire en profondeur, le cadre, l’ambiance et la psychologie des personnages afin de donner plus de vie, de corps à l’histoire et rendre les passages érotiques vraisemblables. (La réalité dépasse souvent la fiction). Par ailleurs je tiens à préciser que la fiction que je vous présente aujourd’hui, ne fait aucunement l’apologie de la violence et doit être lue comme telle.

Cependant je préviens les lecteurs qui n’aimerait pas les thèmes abordés ici ; coercition, humiliation, punitions, afin qu’ils ne s’aventurent dans ce récit sous peine de se trouver mal à l’aise.

Par contre, pour les amateurs du genre, je leurs souhaite une agréable lecture.

Comme toujours, les commentaires, suggestions critiques et notations sont les bienvenus

Personnages principaux

• Anna Sophie Pasquier de la palme, élève, 19 ans

• Julien Pasquier de la palme, élève, jumeau.

• Clémence Ambourg de Boudry, élève, 20ans

• Pierre Henry Barraud de La Lombardière, élève, 19 ans

• Nicolas Fromont de la Romery, élève, 19 ans

• Geoffrey de la Jarretière, élève, 20 ans

• Magalie 27ans sœur de Geoffrey

• Ophélie Moirant, professeur, 29 ans

• Florian Moirant, éleve,18 ans

1) Le lycée Charles-Auguste

Professeur de Mathématique dans le Lycée Charles-Auguste de Toulouse depuis 2 ans, Ophélie s’est imposée comme une enseignante, rigoureuse, calme et près de ses élèves. Elle est à la fois proche des meilleurs et soucieuse de ceux en difficulté. Elle prend du temps pour les accompagner.

Le lundi généralement, cette jeune femme de vingt-neuf ans, de taille moyenne, au corps longiligne qu’elle essaye d’entretenir par de longues séances de footing, avec une longue chevelure ébène, un visage au teint frais, une paire de petites lunettes rondes sur un nez mutin, et de grands yeux noisette derrière, fait un point sur les acquis. Au cours de ces 15 minutes de face à face, elle se préoccupe aussi bien des avancées des uns et des autres que des soucis rencontrés. Elle peut apparaitre concentrée, sévère et sérieuse mais aussi détendue et joyeuse avec son sourire à la « Julia Roberts » qui irradie toute la classe. Par contre elle est de nature anxieuse, même si par ailleurs elle cache ce trait de caractère par sa personnalité avenante, à l’aise avec les autres. Toujours dans la communication, cette femmes vive d’esprit et très créative, n’hésite pas à faire preuve d’une grande franchise, au point parfois de heurter.

Ophélie est aussi très élégante. Elle aime plaire, et ses tenues sont ses péchés. Qu’elle soit chez elle ou à l’extérieur, au travail ou dans une fête, tout le monde peut la remarquer grâce à ses habits. Elle aime les couleurs vives, et chaque jour sa couleur préférée est différente selon son humeur. Si Ophélie assiste à une fête entre amis ou famille, elle porte une robe de soirée élégante, de préférence verte ou bleue, souvent courte ou très courte, dos nu en été, un foulard Hermès décorant son cou parfois, et des escarpins noirs de soirée à talons hauts. Par contre au travail, elle porte des robes de différentes couleurs et de formes diverses, plus sage, même si elles ne sont pas toujours conventionnelles. Ses élèves se sont familiarisés avec ses différents look. La jeune femme est un rayon de soleil.

Cependant cette après-midi elle les surprend tout de même. Ce week-end, la température a atteint des sommets et la semaine à venir promet une chaleur étouffante, avec des pics à 38° comme le prévoit les météorologues. Aussi ce matin lorsqu’elle choisit sa tenue pour la journée, Ophélie se décide pour cette robe aérienne. Au moment de l’enfiler, elle n’a cependant pas le courage de mettre un soutien-gorge. C’est la première fois qu’elle prend cette décision, mais là, elle considère ce choix comme un cas d’urgence. En outre elle pense pouvoir s’en passer sans que cela ne soit flagrant, ses seins sont de taille moyenne, en poire certes, mais avec un bon maintien. Elle s’est parée d’une Robe bohème rose à l’imprimé abstrait, courte et légère avec une coupe évasée. Bien évidemment, la tenue ne dévoile pas son corps, l’habit est décent.

Au lycée, elle ne décèle aucun souci jusqu’en fin de matinée. Or en début d’après-midi il fait beaucoup plus chaud que prévu, extrêmement chaud. A 15h dans cette classe il n’y a pas d’air. Sans climatisation, la température frôle les 35°c. Tous les élèves transpirent à grosses gouttes. Ophélie n’échappe pas à cette fournaise. Comme tout à chacun, elle subit cette canicule. Inexorablement elle devient trempée. L’éventail qu’elle agite devant son visage lui donne quelques instants de répit mais ne peut empêcher les perles de sueur de se former et ruisseler entre ses seins. Ophélie s’en rend compte. Le tissu adhère dangereusement à sa poitrine, or elle ne peut rien y faire sans alerter ses élèves. Le mieux se dit-elle, est de paraitre indifférente pour urfa escort ne pas attirer l’attention.

Mais pour les élèves, le galbe est bien visible. La coupe croisée sous la poitrine est fortement ajustée et, si le regard est attentif, comme peuvent l’être ceux de jeunes aux hormones en fusion, il est possible d’imaginer la forme des seins sous le tissu vaporeux. Les filles sont presque jalouses de l’attention qu’Ophélie provoque. Evidemment les garçons ne manquent rien du spectacle. Ils ont les yeux qui dérivent des longues jambes dévoilées aux hanches dessinées pour finir inexorablement aux rondeurs moulées par la robe.

Cette après-midi beaucoup d’étudiants ont besoin de ses conseils…. elle navigue de table en table pendant plus de 15 minutes, résolvant individuellement les problèmes.

Au cours des deux années elle n’a rencontré aucune difficulté avec ses élèves, ou tout du moins, elle n’en a pas le souvenir. Pourtant ce n’est pas l’avis d’Anne Sophie. En effet celle-ci est marquée par un entretien humiliant avec sa prof.

Surprise par sa professeure dans les toilettes des dames alors qu’elle suce son frère, Anne Sophie doit retrouver Ophélie en fin de journée pour s’expliquer. Celle-ci lui fait la morale, la sermonne, et évoque le départ du lycée. Anne Sophie emploie tout son talent de comédienne, pleurant à chaude larme, suppliant de ne pas ébruiter l’incident, implorant pour qu’elle n’en parle pas à ses parents. Et cela marche, Ophélie a pitié.

Depuis cette journée, il y a plus d’un an, Anne Sophie fait bonne mesure devant sa professeure, montrant même parfois de la sympathie. Tout cela est une vulgaire mascarade. Manipulatrice, Anne-Sophie s’est octroyée les bonne grâce de sa prof dans le seul but de pouvoir se venger plus tard, sans éveiller sa méfiance.

« Comment peut-elle me juger cette garce!!! De toute façon ce n’est pas une fille d’ouvrier qui va me dire ce que je dois faire » dit-elle à sa meilleure amie au téléphone, le soir de l’entretien. Clémence est de son avis d’autant qu’elle connait la relation fusionnelle d’Anne-So avec son jumeau et que par ailleurs il lui est arrivé pratiquement la même expérience. En Effet Clémence lui a détaillée en long et en large l’amour incestueux qu’elle a eu l’été dernier avec son cousin Geoffrey. Comme elles l’ont évoqué toutes

les deux, à plusieurs reprises, dans leurs familles nobles, les incestes ont toujours existé, le principal est que cela ne sorte pas du sérail. Il n’y aurait pas de pire honte.

Au lycée Charles-Auguste de Toulouse tout le monde n’y rentre pas. Lycée select par excellence est réservé à l’élite de la société. Par contre, depuis cinq ans, avec l’obligation de diversité, cet établissement privé s’est ouvert aux gens modestes. Les admis, en petit nombre, doivent avoir un dossier excellent et réussir le très sélectif test d’entrée ou encore pouvoir bénéficier d’un parrainage. Florian, issu d’une famille d’ouvrier, fait partie des quelques étudiants privilégiés qui ont intégrés l’école en première, suite à ses résultats excellents et un examen de passage ou il finit premier. Par pur hasard, l’établissement recherchait dans le même temps, un professeur de mathématique. Ophélie s’est démenée pour avoir ce poste. C’est pour elle une opportunité de carrière. Mais c’est aussi le moyen d’aider sa famille. En effet, elle sait combien ses parents se privent pour donner à son frère la possibilité d’étudier au lycée Charles-Auguste sachant que de surcroit, il faut louer un studio et payer toutes les dépenses de vie. C’est donc tout naturellement qu’elle propose à ses parents d’accueillir son frangin pendant les deux années à venir. Elle est célibataire et n’envisage pas pour le moment de changements. Ses parents débordent de joie à cette nouvelle, cela leur enlève un poids financier non négligeable. De plus ils sont rassurés, leur fils se nourrira correctement, n’aura pas de mauvaises fréquentations et surtout comme ils s’entendent bien tous les deux entre frère et sœur, Florian aura un cadre de repos et de travail propice à d’excellents résultats.

2) L’anniversaire

L’anniversaire de Clémence est un vendredi de début Juillet. À cette occasion son père a prévu pour elle un repas en grande pompe. Elle n’a pas 20 ans tous les jours! Aussi, presque deux mois auparavant, il fait appel à un traiteur pour s’occuper de la confection et du service à table. Monsieur Pierre Hambourg de Boudry ne pourrait pas organiser un repas dans son château sans avoir recours à des professionnels. Non seulement il n’a ni les compétences, ni le temps et, vu son rang, les amis qu’il a conviés, ne comprendraient pas. En effet, il doit rendre des invitations et profite de cette fête pour convier trois couples de ses relations ; les Pasquiers de la Palme, les Barraud de La Lombardière ainsi que les Fromont de la Romery, respectivement parents d’Anne-Sophie ainsi que son frère Julien, de Pierre-henry et de Nicolas. En plus, Pierre invite son frère et sa femme ainsi que la marraine de sa fille, Marthe, la grande sœur sivas escort de sa défunte. Avec ses invités, plus les différents jeunes que sa fille a convié, ils seront environ 30. Cela lui parait bien.

Cependant, trois semaines avant, il apprend qu’il doit se rendre à un conseil d’administration à Paris, le samedi matin. Il ne sait pas comment faire. Il en discute avec sa fille le dimanche matin lors du petit déjeuner. Clémence l’écoute attentivement, réfléchit quelques minutes, puis trouve les arguments pour qu’il puisse partir sans pour cela annuler la réception.

« Tu décales ton départ pour le dernier tgv de 22h30, tu dors sur Paris et tu seras sur place pour ta réunion de 8 heure… Tu seras là pour l’arrivée des invités et tu t’éclipse vers 21h…. Tes amis comprendront. Et puis, il y aura toujours tonton Luc avec tatie Marie-Claire pour discuter avec tes amis. Ils les connaissent bien. En plus j’aurais Marraine. Tu vois! tu n’as pas besoin de te tracasser » explique-t-elle avec un grand sourire.

Comme il ne peut rien refuser à sa fille, il adopte cette solution. De son côté Clémence est presque soulagée que son père ne dorme pas au château. « Cette réunion sur Paris est un événement inespéré, on va pouvoir faire la fête plus longtemps!!!» pense-t-elle.

En ce qui concerne les couples invités, elle sait quoi faire pour qu’ils ne restent pas jusqu’au bout de la nuit, et pour ses oncles et tantes, les connaissant ils seront pressés de rejoindre leur lit.

Toute contente, elle téléphone à son amie Anne-So pour l’informer. Elle lui explique la discussion qu’elle a eu avec son père et comment elle a trouvé les arguments pour leur assurer une fin de soirée sans adultes. Son amie la félicite pour sa vivacité d’esprit, échange avec elle sur les derniers potins, puis raccroche.

C’est dans l’après-midi, en discutant avec son frère, qu’un déclic lui ouvre la solution de sa vengeance. Anne-Sophie est plus petite que son frère avec ses 1m 60. Elle a une ossature très fine avec néanmoins une poitrine raisonnable, des hanches fortement dessinées et des fesses pleines. Sa taille très étroite relève d’autant plus ses courbes, aussi elle apparait comme une jeune femme aux formes voluptueuse. Elle a presque tout d’une méditerranéenne, cheveux longs noirs et ondulés sur un visage rond, des iris marron foncé, une petite bouche aux lèvres ourlées et un air angélique et sage que dément la silhouette pulpeuse aux formes affriolantes. Par contre, il ne faut pas s’y tromper, cette jeune femme sous la façade d’un ange, est un démon.

Le père d’Anne-So, le duc Pasquier de la palme, propriétaire des plus grandes lainières de Roubaix, d’un domaine de 4 mille hectares de bois dans les landes, ainsi que de multiples intérêts dans l’aéronautique, possède une énorme influence dans la région. Sa fille a très vite saisi toute l’importance qu’elle pouvait en retirer. Aussi, charmeuse, vicieuse et manipulatrice, elle s’est arrogée la figure de proue de son groupe d’amis. Que ce soit Pierre Henry Barraud de La Lombardière, Nicolas Fromont de la Romery, Geoffrey de la Jarretière ou encore son amie Clémence Hambourg de Boudry. Toutes et tous lui mangent dans la main. Personne ne s’avise à la contredire, même son jumeau fait profil bas. Tous ont en mémoire la tigresse qu’elle est devenue lorsque Pierre Henry, le plus Hardy de tous, a voulu s’opposer à une décision contestable. Anne-Sophie n’a jamais supporté la contrariété, tout le monde lui a toujours fait toutes ses volontés, cédé à ses caprices. Sa mère n’a jamais eu de prise sur sa fille, même petite. Si elle n’obtenait pas ce qu’elle voulait, Anne-Sophie allait se réfugier dans les jambes de son père, pleurant à chaude larmes. Celui-ci cédait alors sur tout.

Anne-Sophie garde une haine tenace envers sa professeure. Depuis l’année dernière, ne faisant rien paraitre, elle attend le moment propice pour se venger. Elle a conçu plusieurs plans, mais lorsque sans le savoir, Clémence lui fournit l’opportunité de réaliser le scénario de la honte, elle se dit qu’il lui reste largement de temps pour planifier efficacement chaque détail. Avec plus d’une année écoulée depuis cette journée, sa prof ne se méfiera pas et sa vengeance sera plus surprenante, plus inattendue et imprévisible, plus douloureuse aussi. « La punition sera de l’humiliation que tu m’as fait subir… sale garce! » se dit-elle, le sourire aux lèvres.

Il y a trois semaines, Clémence est restée à la fin des cours pour inviter Ophélie à son anniversaire. Au début celle-ci a refusé l’invitation, prétextant qu’elle ne se sentirait pas à sa place dans une fête étudiante ; « Ce n’est plus de mon âge » lui répond elle. Cependant Clémence ne désarme pas devant ce refus. Pendant vingt minutes, avec son sourire désarmant et son air innocent, elle lui explique que ce n’est pas une soirée étudiante, mais un repas avec une trentaine de personne, quelques couples d’amis de son père, son oncle et sa marraine et d’une quinzaine d’étudiants de terminale. « On fêtera mon anniversaire bien sûr, mais aussi la tekirdağ escort fin de l’année et le BAC! » précise Clémence « En plus lorsque mon père a organisé le repas, il m’a demandé de vous inviter. Il ne vous connait pas, mais a beaucoup entendu parler de vous. Il a d’excellents retour sur votre intégration dans l’école et en plus, il ne tarit d’éloge envers celle qui est responsable de la première place de sa fille en mathématique. » ajoute-t-elle, persuadée que ses arguments font mouche.

« Oh! Je ne suis pas responsable de votre classement Clémence…. C’est votre travail » précise- t-elle, plus troublée qu’elle ne le voudrait. Elle essaye de ne pas le montrer, mais les paroles du père de Clémence la touchent profondément. Rencontrer une personnalité telle que Monsieur Hambourg de Boudry est un événement en soi, presque l’étoile que tout le monde veut découvrir.

« Bon d’accord, je viendrais. » répond elle, masquant son plaisir.

« Oh, super… mon père va être tellement contant!!! » réplique Clémence

.

« Et ce sera où? Vous ne me l’avez pas dit! »

« Oui c’est vrai! Ce sera chez nous, au château » énonce Clémence « Par contre, mon père est conventionnel, il est attaché aux us et coutumes. Pour lui une soirée au château est obligatoirement en tenue de soirée… j’espère que cela ne vous pose pas de problème » précise-t-elle.

« Non, bien sûr » s’empresse de répondre Ophélie.

3) La soirée

Ophélie ne sait pas comment s’habiller. Elle a encore cette robe noire qu’elle a acheté sur un coup de tête il y a presque dix ans, mais elle n’est pas sure qu’elle lui ira encore. Elle doit pourtant l’essayer car c’est la seule qui répond aux exigences d’une soirée comme celle-ci. Elle ne veut surtout pas dépareiller et encore moins passer pour une provinciale. Elle fouille donc dans son armoire et sort la robe de sa housse, puis l’enfile.

Cette robe est constituée de tulle dont deux bandes de tissu passent sur ses seins laissés libres et sont nouées derrière la nuque. Le tout met en valeur un décolleté vertigineux avec un dos-nu abyssal. Lorsqu’elle se regarde dans la glace, Ophélie est heureuse de voir que le bas de la robe, lui-même dans ce tissu vaporeux, arrive à mi-cuisse en dévoilant ses belles jambes. Par contre elle constate que sa robe est plus ajustée que lors de ses 20 ans, et surtout au niveau de ses seins, qui ont pris une taille supplémentaire. Avec le regard qui s’attarde, justement sur sa poitrine, elle s’aperçoit que l’on peut voir la plastique de ses seins mais plus dérangeant, ses larges aréoles sombres sur la peau claire à travers le tissu arachnéen. Aussi elle remédie à ce point en posant des caches tétons. Elle est satisfaite.

Arrivés au château avec son frère vers 19h30, on les conduit vers le grand salon où ils prennent un apéritif avec les convives. Apres avoir été présentés aux adultes, la majorité étant les parents de ses étudiant, Ophélie est happée par ses élèves. Une vingtaine de jeunes sur les cinquante de ses deux classes de terminale se trouvent là réunis pour l’anniversaire de Clémence mais aussi, heureux de fêter la fin d’année et bien sûr, boire à la réussite du bac. Pendant une heure la prof est accaparée par l’un ou l’autre et à force de trinquer, elle ne s’aperçoit pas qu’elle a ingurgité trois verres de Punch. Il faut dire pour sa défense qu’il fait chaud et la boisson fortement alcoolisée est très fraiche, voir glacée. De plus Pierre Henry, Nicolas ou Geoffrey se relai pour remplir son verre à chaque fois qu’il diminue. Elle ne doit son salut que lorsque tous les invités sont conviés à se mettre à table.

Pendant ces années universitaires elle a participé à des soirées étudiantes ou le cannabis côtoie l’alcool et se consomme sans modération. Pas assez méfiante, aillant fumée avec ses copines, elle s’est laissée embarquée par des garçons peu scrupuleux. Certes ils ne l’ont pas forcé à boire, mais l’ont encouragé quand ils se sont aperçus qu’elle aime s’amuser, l’alcool aidant, son comportement n’a plus de barrières. Elle devient incontrôlable. Deux fois elle est tombée dans le piège malgré elle. Ophélie s’est jurée par la suite, de ne plus avoir à vivre ces lendemains de beuverie. Pendant les jours qui suivent, honteuse, elle doit affronter tous les souvenirs émergeants de sa mémoire : exhibitionnisme, striptease, fellations en public et aussi…beaucoup plus.

Par la suite, elle s’est méfiée. Connaissant ses travers, elle n’a plus jamais fumé de cannabis et n’abuse pas d’alcool. Ophélie sait qu’elle ne doit pas trop boire, car elle se rappelle trop comment l’alcool agit sur son comportement. Elle en a fait l’expérience trois fois à ses dépens. Le lendemain ou plusieurs jours plus tard elle se rappel des événements. Morte de honte, elle revoit la chronologie de sa nuit avec tous les débordements scabreux, se remémore les jeux « no limite » auxquels elle participe et souvent provoque. Ce soir, elle a laissé ses inquiétudes à l’entrée de la réception. Le lieu est bien trop guindé pour qu’elle risque quoique ce soit et, entourée de son frère et des étudiants qu’elle connait depuis longtemps, son cerveau n’émet aucune alerte. Il n’y a aucun moyen que cela se produise, et puis tout ceci s’est passé il y a plus de dix ans. À vingt-neuf ans elle a plus de contrôle, se convainc-t-elle en acceptant la coupe.

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Domination Familliale 01

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Ass

La mère…

Sophie Guillet de Saint-Hilaire sortit de son bureau et se dirigea vers celui de son patron, Monsieur Christian Panaris, qui l’employait depuis 2 ans comme secrétaire intérimaire dans son Cabinet. Maitre Christian Panaris est avocat à la Cour…Un avocat renommé qui possède une clientèle triées sur le volet. Membre de la haute bourgeoisie de Bordeaux. Sophie est mariée depuis plus de 20 ans à Jean-Yves Guillet de Saint- Hilaire, héritier d’une grande Famille bordelaise, également avocat à la Cour et surtout concurrent de Maitre Panaris. Au début, quand Sophie avait trouvé ce poste de secrétaire chez son principal rival en affaire, Jean-Yves n’avait pas apprécié du tout mais Sophie avait insisté pour qu’il la laisse avoir ce poste. Bourgeoise oisive s’ennuyant dans leur grande maison isolée sur les hauteurs de Bordeaux, elle n’avait rien à faire a part disputé leurs domestiques et notamment leur jardinier sénégalais qu’elle n’hésitait jamais à rabaisser. Leur fille, Ambre, jolie brune de 18 ans, étudie le droit à la Fac de Bordeaux. Sophie s’arrêta devant la porte et frappa trois coups discrets.

– Entrez!

La voix de son patron la fit frissonner. Monsieur Christian Panaris est un homme assez autoritaire notamment avec les femmes. On murmure dans les couloires du Cabinet. Des rumeurs qui parlent de droit de cuissage. Mais ce ne sont surement que des rumeurs se dit Sophie en pénétrant dans le bureau directorial. Maitre Christian Panaris la dévisagea avec un air sévère quand elle entra. Elle fut étonnée qu’il ne lui propose pas de s’asseoir mais ne dit rien restant debout devant le bureau. Il ne dit rien pendant quelques secondes, la détaillant de la tête aux pieds, ce qui accentua son malaise. Il lui sembla que son regard s’attardait sur ses jambes gainées de nylon noir. A 45 ans, Sophie Guillet de Saint-Hilaire est une belle femme, son corps étant parfaitement entretenu par des soins qu’elle peut se payer dans des instituts de beauté. Christian Panaris lui dit soudain.

– Vous m’avez déçu, Sophie…

Elle sursauta et se senti rougir.

– Mais…bafouilla-t-elle, comment Monsieur?

– Comment avez-vous pu me trahir?

Sophie Guillet de Saint-Hilaire eut l’impression que son cœur s’arrêtait de battre et elle blêmit sous son maquillage. Il savait! Mais comment l’avait il découvert se demanda t’elle, angoissée.

– Vous avez abusé de la confiance que j’avais placée en vous! cria-t-il soudain en se levant brusquement. Alors que j’avais eu la gentillesse de vous embaucher…Vous, l’épouse d’un concurrent! Vous imaginez bien qu’en temps normal je n’aurais jamais accepter.

Il sembla se calmer d’un coup et continua d’une voix plus douce…

– J’ai découvert que vous aviez donné des informations confidentielles sur certains de nos clients à votre mari pour qu’il puisse gagner des procés. Je vais être obligé de porter plainte, Sophie, je pense que vous serez condamné à une peine de prison. Vous et votre mari. En tout cas, il sera radié par l’Ordre des Avocats et ne pourra plus exercer…

Sophie Guillet de Saint-Hilaire, effondrée, cru qu’elle allait fondre en larmes. Regrettant amèrement le jour ou son mari, Jean-Yves, lui avait effectivement demandé de lui fournir des renseignements sur certains clients de Maitre Panaris ; Elle pensait avoir été prudente mais ce n’était visiblement pas le cas.

– Mais…parvint ‘elle a articulé entre deux sanglots refoulés, ont peut peut-être trouver un arrangement…

Quand elle vit passer la lueur de triomphe rize escort dans le regard de Maitre Christian Panaris, elle comprit qu’elle venait de franchir un pas et qu’elle ne pourrait plus revenir en arrière.

– Je peux « oublier » ma chère Sophie, reconnut Maitre Christian Panaris, mais alors, j’exigerais de vous une obéissance sans faille, il faudra exécuter le moindre de mes caprices! Êtes-vous prête à accepter cela?

Sophie cru qu’elle allait s’évanouir…il était facile de comprendre de quoi il s’agissait. Christian Panaris voulait qu’elle devienne son esclave….Mais c’était ca ou la prison et pire que tous, le déshonneur et la ruine.

– Je suis d’accord, souffla t’elle dans un murmure presque inaudible.

Christian Panaris fit le tour de son bureau et s’approcha d’elle. C’est un bel homme de 50 ans aux tempes argentés qui plait aux femmes, surtout aux bourgeoises de province qui s’ennuie à la maison. Il parait qu’il a plein de maitresses et que parfois quand le client ne peut payer ses honoraires, très élevés, il se fait payer en nature. Il s’arrêta à quelques pas de Sophie qui regarde ses pieds n’osant plus lever la tête, terrifiée. Il pose ses mains sur ses hanches, la caressant. Elle ne proteste pas, elle a simplement un sursaut. Ses mains remontent vers le chemisier de soie et s’empare de ses seins. Elle supplie :

– Non, je vous en prie, je vous donnerai de l’argent…

– Votre fric ne m’intéresse pas Mme de Saint-Hilaire, c’est votre cul que je veux!

Qu’il l’appelle par son nom est encore plus humiliant. Il malaxe ses seins à travers la soie, les triturant….Les malaxant…Sophie Guillet de Saint-Hilaire, les joues rouges, subie cette infâme attouchement sans rien dire, soumise, vaincue. L’avocat descend ses mains et remonte la jupe du tailleur, découvrant les bas et le porte-jarretelles. Mme de Saint-Hilaire aime la lingerie fine. Le souffle court, la respiration oppressée, Sophie sent la main de son patron lui caresser les jambes et remonter jusqu’au string…Il l’écarte et s’aventure dans son intimité. Il lui caresse la vulve tout doucement. Puis, il introduit un doigt dans sa chatte, le faisant aller et venir de plus en plus rapidement. Il le retire et oblige Sophie à le sucer pour le nettoyer. Au bord de l’évanouissement, écœurée, elle s’exécute sortant timidement sa langue pour sucer sa propre mouille.

– Vous aimez ca, le gout de votre cyprine?

Christian Panaris a un regard triomphateur! Il prend visiblement un sale plaisir à rabaisser cette bourgeoise, à l’avilir…Il se recule et observe Sophie, jupe troussée…

– Veuillez ouvrir votre chemisier, Mme Guillet de Saint-Hilaire…

Maitre Christian Panaris prend beaucoup de plaisir à l’appeler par son nom si distinguée et à la vouvoyer, cela donne encore plus de piment à la situation. Sophie commence à déboutonner son chemisier en tremblant…Elle l’ouvre découvrant un soutien-gorge en dentelle…L’Avocat pervers s’approche et lui baisse les balconnets du soutien-gorge, dégageant son opulente poitrine, les bouts des seins sont dressées. Il s’en empare et commence à les tordre. Sophie gémit presque malgré elle. Il malaxe les seins, les soupesant, les laissant retomber. Il les triture encore un bon moment en soufflant puis il s’arrête et recule de nouveau.

– Mettez vous à genoux…

Sophie croit avoir mal entendu…

– Pardon? bafouille-t-elle.

– A genoux! A mes pieds, salope! hurle Christian.

Terrorisée, elle s’exécute, sakarya escort se mettant à genoux devant lui. Il s’approche et il l’a saisi par les cheveux, il l’oblige à marcher à quatre pattes dans son bureau. Elle avance se faisant mal aux genoux malgré la moquette. Ses seins ballotent par le chemisier ouvert. Il baisse le string dévoilant sa fente. Il s’assoie à son bureau et lui demande d’attendre un peu en attendant qu’il signe des papiers. Sophie Guillet de Saint-Hilaire prosternée à ses pieds, le chemisier ouvert, la jupe relevée, obéit…Elle à l’impression que son attente dure des heures. Puis, Maitre Christian Panaris fait pivoter son fauteuil…

– Vous allez me faire une petite pipe…

Il la tire de nouveau par les cheveux et la contraint à se positionner entre ses cuisses.

– Qu’attendez-vous? Ouvrez ma braguette vous-même, comme une bonne petite pute…

Sophie s’exécute, elle tend ses doigts aux ongles vernis et ouvre la braguette de Christian. Son sexe jaillit comme un ressort. Il a une érection impressionnante. Il est encore plus gros que celui de son mari, pense, honteuse, Sophie. Il appui sur sa nuque et sa bouche descend vers la bite de Christian. Elle a un mouvement de recul mais, impitoyable, il appuie encore plus et l’oblige à prendre son membre entre ses lèvres pulpeuses. Il donne des coups de bassin, faisant coulisser sa bite. Il observe avec délectation la tête monter et descendre le long de sa bite. Il appui dessus enfonçant sa queue dans la bouche de Sophie et celle-ci émet une protestation etouffée. Bâillonnée par cette matraque de chair, elle ne peut se plaindre. Christian Panaris lui donne des directives :

– Plus vite, enroule ta langue, salope…T’as jamais sucé ton mari ou quoi? Ca ne se fait pas dans ton milieu? dit-il en ricanant.

Elle s’active sur la queue, salivant dessus. La bave coule sur son menton. Il fait coulisser sa bite entre ses lèvres. Elle enroule sa langue, lui titille le gland. Il lui ordonne d’arrêter pour lécher ses couilles et elle obéit, soumise…Sophie passe sa langue sur la hampe de chair et de nouveau replonge dessus. Soudain, Christian lui dit d’arrêter. Il la relève et la courbe sur son bureau. La croupe cambrée, les seins écrasés sur le bois du bureau. Elle sent qu’il lui écarte le string et lui enfonce deux doigts dans sa chatte. S’emparant du clitoris, il commence à la branler. Les cheveux dans la figure, elle pousse un gémissement et supplie :

– Non, non, je vous en prie, pas ca…

Christian Panaris lui donne une claque sur ses fesses dodues.

– Tais-toi, trainée!

Il lui prend les hanches et s’enfonce dans son vagin en poussant un « Han ». Il lui donne de violents coups de reins et la traite de tous les noms. Ce qui l’excite encore plus et humilie encore plus Sophie Guillet de Saint-Hilaire, prise en levrette dans le bureau de son patron. Son ventre claque contre ses fesses. Il la besogne avec une telle violence que le bureau bouge tout seul! Sophie halète sous les coups de boutoir de Christian. Elle gémit…Maitre Panaris se retire par moment pour replonger dedans avec encore plus de violence. Sophie, le ventre en feu, pousse un cri quand elle sent le membre de son patron s’enfoncer encore plus dans sa chatte. Elle s’agrippe au bureau pour ne pas tomber sous les coups de reins puissants de Maitre Panaris. Il s’arrête soudain et se retire, la laissant frustrée. Il lui ordonne d’avancer dans le bureau. Il lui donne de nouveau des instructions :

samsun escort Avancez! Tournez vous! Baissez vous et touchez vos pieds…

Elle obéit et se penche parvenant à toucher avec le bout des ses doigts ses escarpins. Elle doit rester dans cette position pendant que Christian ayant fait le tour lui enfonce un objet dans sa chatte! Elle pousse un gémissement sourd ce demandant ce qu’il lui a enfoncé…Il la relève et l’entraine vers un miroir…Il la tourne et tournant la tête, elle découvre horrifiée que Maitre Panaris lui a enfoncé un gode rose dans son vagin.

– Vous allez le garder dans votre chatte de pute, chère Mme de Saint-Hilaire quand vous retournerez travailler.

Elle ne répond pas, mortifiée. Ce n’est pas possible comment peux t’elle garder cet objet en elle toute la journée?

Elle doit de nouveau s’exhiber devant Maitre Panaris. Elle prend ses seins à pleines mains et les soulèves pour pourvoir elle-même sucer leur pointes. Il l’a contraint à s’allonger par terre pour se caresser la chatte. Elle déniche le clitoris et se masturbe devant lui. Il lui ordonne d’arrêter chaque fois qu’il voie qu’elle va avoir un orgasme, la laissant pantelante. Elle doit avancer à quatre pattes, le gode dépassant de sa chatte, dans le bureau. Maitre Panaris a retiré sa ceinture et lui assène quelques coups sur les fesses pour la faire avancer plus vite. Elle a le cul qui rougi et elle souffle en avançant maladroitement sur la moquette. Par moment, il manipule le gode le faisant coulisser dans sa chatte dégoulinante. Puis, elle doit se relever et sautiller sur place. Ce qui amuse beaucoup Maitre Christian, qui se réjouie de voir ses seins balloter dans tous les sens. Elle manque de tomber déséquilibrer par ses talons aiguilles. N’en pouvant plus, Christian lui ordonne de se mettre de nouveau à quatre pattes. Il lui retire le gode et l’oblige à le nettoyer. Elle donne de petits coups de langue, léchant sa propre sécrétion vaginale…Puis, Panaris s’enfonce brutalement dans sa chatte la limant avec brutalité. Elle pousse un gémissement subissant les assauts de Christian. Il la bourre violemment agrippés à ses hanches grasses. Il lui enfonce soudain un doigt dans son anus et Sophie Guillet de Saint-Hilaire pousse un cri strident.

– Quoi, Mme de Saint-Hilaire, voulez vous me faire croire que vous êtes encore vierge du cul à votre âge!

Il fait coulisser le doigt dans son cul et Sophie halète partagée en la souffrance d’avoir un doigt dans son cul et le plaisir qu’elle ressent d’être envahi par le membre imposant de Christian Panaris. Les coups de reins sont de plus en plus violents et l’avocat bafouille :

– Ah salope, je vais tout te larguer sur ta petite gueule de bourge…

Se retirant, il se positionne rapidement devant le visage ravagée de Sophie et se masturbe au dessus d’elle…De longues trainées de sperme jaillissent soudain de son pénis avec violence allant s’étaler sur son front, coulant sur ses joues et ses lèvres. Il lui enfonce sa bite dans la bouche, lui demandant de le nettoyez et elle obéit, totalement avili…Elle se relève et comme promis, Maitre Panaris lui enfonce profondément le gode dans sa chatte. Elle doit renfiler son string pour éviter que le gode ne tombe et remettre la jupe de son élégant tailleur.

– Allez! Retournez travailler Mme de Saint-Hilaire, lui lance Panaris, en lui donnant une claque sur les fesses. Ce soir, avant de rentrez chez vous, vous repasserez me voir et vous me remettrez votre gode. Que vous porterez demain…

Sophie Guillet de Saint-Hilaire sort du bureau, choquée, et avance dans le couloir. Gênée par le gode qui s’enfonce chaque fois qu’elle marche. Elle croise des collègues et rouge de honte, elle se demande si on peut se rendre compte que sa chatte est envahi par ce corps étranger.

A suivre…

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La Découverte ou l’Ignorance

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Bbw

Lors de mon séjour cet été-là, Éric m’a montré un objet. Objet de la taille d’une carte de crédit, de couleur rouge. Sur l’une des faces une phrase en lettre d’or sur l’autre des symboles et des chiffres romains. Les explications données avaient été succinctes.

Après la séance avec Thierry, Pierre avait fini de me faire découvrir ses amis, partageant avec lui cet amour du vice et de la soumission. Nos relations étaient toujours aussi chaotiques lorsque la femme de Pierre était là alors je ne le voyais plus, plus de coup de fils, plus de petits mots. Lorsqu’elle était absente alors il était là présent et viril.

On ne parlait plus de dressage, il me le faisait vivre. Variant les positions et les ordres. Il me dominait et je sais cela parait très bizarre d’aimer cela, mais tant pis, j’avoue j’aime.

Ma soumission était forte et de plus en plus complète. François en effet ne participaient plus à nos orgies. Je n’étais pas exclusivement réservé à Pierre. Certes il dirigeait mais tous en profitaient.

Pierre m’en a de nouveau parlé plus tard à l’automne. Il avait le même objet. Les chiffres et symboles étaient différents. Pierre m’en dit un peu plus. C’est un signe qui se reconnaît. Entre les membres de son groupe d’amis. Un objet qui pour moi et pour d’autres femmes signifiait l’obligation d’obéir.

Pierre m’avait mentionné cela dans le passé. Notre relation était basée sur un choix que je pouvais faire à chaque instant mais si je partais je ne le reverrais plus.

Ce samedi, après une longue après-midi de voile et une douche plutôt fraîche. Le bâtiment du club n’est plus très neuf. Je finissais de ranger dans le local du club. Pierre était parti pour deux semaines. Il reviendrait mardi. Il pleut doucement en ce soir de novembre. Enfin, je rentre chez moi. Je finis de ranger mes affaires dans mon coffre. Une voiture roulant au pas s’arrête à ma hauteur sur le parking du club. Deux hommes en descendent. Je crois déjà en avoir vu un au club ou peut-être lors de la régate que l’on avait organisée au printemps.

• Le club est fermé, il faudra repasser demain après 09h00. Je leur annonce.

• Lucie? ça va?

• Oui et vous?

• Oui merci

La voiture s’éloigne.

• Lucie, on peut vous montrer ceci.

L’homme le plus proche de moi, pas très jeune, cheveux gris, me tend un petit étui en cuir brun. Le deuxième homme est clairement plus jeune, mon âge peut-être mais je ne le reconnais pas.

Je le regarde intriguée

• Regardez son contenu.

C’est un porte carte, à l’intérieur une carte rouge. Je la sors, la regarde attentivement. Je les regarde…

• Lucie, pouvez-vous nous suivre.

• Euh…

Mon regard passe de l’un à l’autre. Ils me font signe de les suivre.

-Puis-je prendre mon sac?

– Oh oui bien sûr, allez-y. Cependant je vous prie de me rendre ma carte.

Ce que je fais.

Je prends mon sac d’un geste peu assuré. Je referme mon coffre et ils me font signe de les suivre, vers la sortie du parking. La pluie commence à tomber. Il me semble que la voiture vient de finir kütahya escort le tour du club et reviens maintenant à notre hauteur.

Je m’ approche de la voiture pour y déposer mon sac et rentrer à l’arrière.

L’homme âge qui m’avait parlé précédemment s’ approche pour ouvrir la porte et la main sur la poignée de porte, m’ annonce.

• Lucie je vais devoir vous mettre en retenue. C’est dans mon pouvoir comme vous le savez. Merci de vous exécuter et de prendre la position réglementaire.

• Euh…

• Posez votre sac et mettez les mains dans le dos, s’il vous plaît.

• Attendez, mais qui êtes-vous?

Alors que j’allais me retourner, le deuxième homme me plaque contre la voiture. Celui qui me parlait me prends les poignets et en quelques secondes je sens le fer des menottes se refermer sur mes poignets. Je n’ai pas le temps de me débattre ou même de crier. Ce qui n’aurait pas servi à grand-chose, ce côté du club est sombre et peu fréquenté, surtout à cette heure.

• Lucie, comme on vient de vous le dire, on vient de vous placer en retenue. Merci de nous obéir. Le ton est péremptoire.

Je suis assise dans la voiture et le plus âge est assis à côté de moi. On démarre.

• Lucie, encore une chose. Vous imaginez bien que l’on ne peut pas tout vous dire. Je vais donc vous couvrir les yeux durant le trajet. C’est la procédure habituelle.

Je crois que je suis encore trop surprise pour réagir lorsqu’il me place un cache sur les yeux.

• Vas-y démarre on y va, annonce le plus jeune

• C’est parti, annonce le conducteur.

Non en fait c’est une conductrice. Je ne l’avais pas vu. Le silence se fait dans la voiture.

Mon voisin reprend la parole au bout de quelques minutes.

Lucie, votre réaction lors de la mise en retenue était simplement inacceptable. Je vais faire une note à ce sujet. Vous comprenez je ne voudrais pas avoir d’ennuis. C’est un sujet sérieux.

• Qui êtes-vous?

• …

• Où va t’on?

• ….

• Mais enfin, je peux savoir où l’on va?

Mon voisin me met la main sur ma cuisse de manière ferme.

• Je ne peux pas vous le dire. Je dois aussi vous dire qu’en présence de Maitres vous nous devez le silence. Vous le savez. Lucie encore une fois cela sera rapporté. Je vous demande de vous comporter comme une vraie soumise.

Frustrée je me tais et le temps passe. Nous ne restons pas autour du club. Je pense que nous sommes maintenant sur l’autoroute. Ma position est inconfortable. Je n’arrive pas à relâcher la tension dans mes épaules. Je crois que je finis par m’endormir. Plusieurs fois je me réveille en sursaut, mais on est encore en route.

La voiture ralentit. Cela doit bien faire une heure que je suis avec eux, peut-être plus. On s’arrête enfin.

Ils sortent. Je reste seule. Où suis-je?

L’air frais me fait sursauter. La porte est ouverte et l’on m’aide a sortir de la voiture. Ils ne retirent pas les menottes et aveugle je ne peux voir ou je vais mais la main ferme de mon accompagnateur ne me laisse pas manisa escort d’autre choix que de le suivre.

-vous voilà enfin.

– Un peu de retard mais rien de grave. On la met dans la numéro deux?

– oui allez y

Après quelques arrêts et quelques marches que je descends de manière mal assurée mais guidé toujours fermement par mes accompagnateurs. J’entends une porte et il me retire ce qui me cachait les yeux, je suis totalement éblouie et en perd presque l’équilibre.

• Voilà, ta cellule, elle est bien équipée comme tu vois. On attend de toi un comportement parfait. Nous allons revenir bientôt.

Ils me libèrent les poignets et referment la porte derrière eux.

Ou suis-je, merde mais c’est quoi cet endroit. Je prends peu à peu mes marques dans la petite pièce. Très petite pièce. Il y a un banc ou peut être un lit et un wc sur une petite table avec une bouteille d’eau. J’en suis encore à essayer de jauger ce lieu lorsque la lumière s’éteint.

Je demande que la lumière revienne puis je tape sur la porte, plusieurs fois sans succès. Le calme revient et c’est à tâtons que je réussis à rejoindre le wc et à me soulager.

Quittes à rester dans le noir, je prends quelques gorgées d’eau et je m’assoupis sur le banc.

J’ai dû m’endormir à nouveau car c’est en sursaut que je me réveille. Du bruit, des pas, la lumière revient, la porte s’ouvre. La lumière est très forte. J’essaie de voir qui est là. Une, peut-être deux ou trois personnes sont à la porte. On me demande de sortir, d’avancer un peu, d’accord un peu à gauche, recule et touche un mur.

• Lucie arrête toi ici.

L’éclairage est un peu plus doux mais l’une des personnes m’éclaire le visage avec une lampe ou un projecteur je ne devine que des silhouettes, même en tournant la tête de tous les côtés.

• Lucie, calmez-vous. Je comprends votre réaction mais je vous demande de nous obéir sans rébellion cette fois. J’espère que vous saurez vous comporter correctement. Je vais vous poser une question, merci de me répondre.

• Quelle est la tenue d’une soumise devant ses Maîtres.

Silence de ma part, je cherche encore à découvrir qui est là. La voix ne m’est pas connue. Ce n’est pas Pierre c’est sûr. Je crois deviner que l’homme près de moi qui me parle à un masque, ou des lunettes.

• Lucie,….

• Euh, devant ses Maîtres, une soumise doit être nue, Monsieur

• C’est très bien comme réponse. Tu as un peu d’expérience je vois. Maintenant que tu nous l’as dit, exécutes toi.

• ….

• Maintenant vite. Complètement. Ne nous oblige pas à te corriger.

• Oui Monsieur.

Je retire lentement mes vêtements en commençant par mon sweater gris. Une main se tend pour les récupérer.

• Ne te cache pas, mains sur la tête s’il te plait.

• …

• Vite. Et tourne-toi. Faces au mur.

Je m’exécute.

• C’est un corps superbe que tu as. Musclé c’est bien.

• Lucie, comme on vous l’a indiqué vous avez été mise retenue comme nous l’autorise votre relation avec Pierre. C’est une décision mardin escort qui n’a pas été prise à la légère et il a été consulté et est d’accord avec nos actions. Mélanie va vous placer des bracelets aux chevilles et aux poignets.

• Mélanie, allez-y.

Ma cheville droite est serrée dans un bracelet de cuir froid, puis la gauche. Sa main me caresse l’avant-bras et me fait sentir de lui laisser prendre en charge mes poignets. Eux aussi reçoivent des bracelets et le clic suivant m’ indique qu’ils sont maintenant fermement maintenus dans mon dos.

• C’est très bien, vous pouvez vous retirer Mélanie.

Comme je viens de vous le dire, vous êtes ici à cause de votre comportement pendant les derniers mois. Je dois peut-être vous rafraîchir la mémoire mais votre contrat avec lui autorise une mise en retenue pendant 48 heures s’il y a une suspicion de rébellion. Cette durée peut être étendue mais seulement par Pierre lui-même. Dans votre cas, nous n’aurons pas besoin de l’étendre. Nous avons déjà mené notre enquête Vous serez donc juge ce soir même par notre assemblée. Nous allons vous y emmener maintenant.

• Attends

• Je veux vérifier sa position.

• Oui, j’allais oublier, vas-y.

Je sens un objet remonter le long de l’intérieur de mes jambes. Il est frais, pas froid et certainement pas métallique. On cherche à le faire monter plus haut, doucement, à caresser l’intérieur de mes cuisses.

• Tu vois c’est ce que je pensais elle les garde trop serrées. Ce n’est pas ce qui est prescrit. L’embout de la cravache devrait pouvoir aller jusqu’ici et tu vois il est bloqué bien 20 centimètres en dessous.

• Humm. Je le note on règlera cela en haut.

• Lucie je vais vous couvrir la tête, c’est la procédure.

• Passe-moi le sac.

Un sac en tissue recouvre ma tête, le noir est total et quelques instants après deux mains tenant fermement mes bras me font pivoter avant de m’entrainer en avant.

• Attention aux marches.

• Lèves bien les cuisses.

Après quelques marches, on marche sur un sol froid, du carrelage peut-être. J’essaye d’entrevoir des changements dans la lumière mais le sac est presque totalement noir. Enfin ! La voilà s’exclame une fois d’homme.

On s’arrête. J’entends des respirations. J’entends des murmures. La même voix reprend.

• Faites-la tourner un peu, qu’on la voit bien.

• Mesdames, messieurs, voici celle que vous attendiez.

• Lentement, lentement, prenez bien votre temps. C’est une très belle soumise. Comme je vous l’ai dit, elle appartient à Pierre. C’est lui qui l’a découverte. Et vous pouvez voir, il a bien choisi. Sportive, regardez-moi ce corps. Pour le visage ce n’est pas pour tout suite.

• C’est bon maintenant, faites-la s’asseoir. Il est déjà tard. Il est l’heure de commencer.

On me manipule. Deux paires de mains sont à l’œuvre. Elles me guident. On me fait asseoir. Les bracelets à mes chevilles sont liés au sol ou à la chaise de chaque côté extérieur des pieds. J’aurais donc les cuisses ouvertes. Mes mains liées dans mon dos sont passées par-dessus le dossier et le lien entre les bracelets reliés à la chaise. Elle est bien en position?

Deux voix répondent oui presque en même temps.

• Mélanie, allez nous chercher du café et du thé je crois que certains en ont demandé. Il est tard et cela pourrait durer un peu.

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